BTX Posté(e) 7 mai Signaler Posté(e) 7 mai https://theatrum-belli.com/dien-bien-phu-journal-de-marche-du-7-mai-1954/ More Majorum Citer Ya Rab Yeshua.
Yann pyromane Posté(e) 7 mai Signaler Posté(e) 7 mai C'est mieux que les "rats de la NAM YOUN" , toute une époque ...çà rigolait pas ,quand à la suite de la bataille j'ai bien étudié tout çà à un moment .Horrible . 1 Citer
piranha Posté(e) 7 mai Signaler Posté(e) 7 mai Je ne suis pas d’accord. Oui, à 10h30, le 7 mai, heure de Paris, le drapeau rouge a été hissé au-dessus de l’abri du commandement de De Castries. Mais de nombreux légionnaires et tankistes du point d'appui "Isabelle" ont réussi à percer les lignes vietnamiennes et, après de durs combats, ont atteint — ou plutôt rejoint à la nage — les leurs à Muong Saï, à la fin du mois de mai. Et ils ne furent pas les seuls. D’autres, sortis de l’encerclement, continuèrent à se battre, bien après ce 7 mai. Mais l’essentiel est ailleurs. La plupart des corps des soldats français tombés à Diên Biên Phu sont restés là-bas : dans les tranchées, sur les positions, près de l’hôpital du docteur Grauwin, le toubib. Ils reposent toujours dans leurs linceuls de soie parachutiste, invisibles mais bien présents — comme un rappel silencieux du devoir de mémoire… et de vengeance. Nous chantons encore d’une seule voix le « Contre le Viet ». Peut-être qu’un jour viendra où justice sera rendue pour les paras de Bigeard et les légionnaires de Gaucher. Peut-être. Il ne me reste que l’espoir, car la France d’aujourd’hui semble avoir oublié cette dette — une dette envers ses morts. Et toute dette mérite d’être honorée. 1 Citer Moi etrangere, moi pas bien francais parler.
Yann pyromane Posté(e) 7 mai Signaler Posté(e) 7 mai Le sujet historique est bien connu. Cependant je vous invite à regarder la crolssance exponentielle du Pays. C'est un boom economique complet avec le retour d'une dispora hautement diplômée formée partout. Le temps a passé mais bien sûr que je connais les souffrances endurées par nos Anciens. J'ai étudié ça pendant des mois.. Citer
BTX Posté(e) 8 mai Auteur Signaler Posté(e) 8 mai "Le 1er mai à 22 h, après une importante préparation d'artillerie, le Viêt-minh lance son offensive générale. Les derniers points d'appui tombent les uns après les autres : le 7 mai, "Claudine", "Éliane" et le PC sont perdus . à 18 h ce jour-là, le cessez-le-feu est annoncé . le 8 mai, après une ultime tentative de sortie des tirailleurs et des légionnaires, "Isabelle" est submergé." http://www.cheminsdememoire.gouv.fr › la-bataille-de-d... 1 Citer Ya Rab Yeshua.
Yann pyromane Posté(e) 8 mai Signaler Posté(e) 8 mai Qui se souvient du suicide du Colonel Charles Piroth ? Toute une époque ...🧐 Citer
BTX Posté(e) 8 mai Auteur Signaler Posté(e) 8 mai Je n'invente rien PIRHANA. La source est officielle mais tu as raison : beaucoup ont continué à se battre avec plus ou moins de réussite refusant de se rendre et surtout pour éviter la "déportation" dans les camps de rééducation du vietminh où la mort pour la majorité d'entre eux était la seule et cruelle issue, au terme de séances de "lavage de cerveau" comme savaient si bien le faire les communistes. Le soldat n'est pas un homme de violence. Il se bat et meurt pour des fautes qui ne sont pas les siennes sachant qu'il est voué à l'oubli. (Alfred de Vigny, Servitude et grandeur militaires). Tu as raison lorsque tu dis que nous avons oublié tout cela, et que peu se remémorent ces pages tragiques de notre histoire contemporaine et celle de notre armée. Même le Président Macron n'y a pas fait directement référence dans son discours le 30 avril à Aubagne. Quand un peuple cesse d'estimer il cesse d'obéir. BTX Citer Ya Rab Yeshua.
piranha Posté(e) 8 mai Signaler Posté(e) 8 mai 1 hour ago, Yann pyromane said: Qui se souvient du suicide du Colonel Charles Piroth ? L'affaire est certes tragique, mais il ne faut pas oublier que le colonel Piroth portait une lourde responsabilité. En tant qu’expert en artillerie, c’est lui qui a gravement sous-estimé les capacités de feu du Viet Minh, tout en surestimant à outrance l’efficacité de notre propre artillerie. La bataille fut perdue sur le terrain — sous les coups de l’artillerie ennemie — et dans les airs — sous l’effet de leur DCA implacable. Dans ces deux échecs critiques, la responsabilité du colonel est entière. Son geste final, la grenade sous la couverture, fut certes noble, presque théâtral, mais s’il avait survécu, il aurait pu encore être utile. Les combats ont continué près de deux mois après sa mort. On peut se demander si l’homme brisé n’aurait pas mieux servi les siens en demeurant à son poste, fût-ce dans l’humilité. Cela dit, nous savons bien d’où provenait tout ce matériel viet. Le soutien logistique n’était ni indigène, ni spontané. D’autant plus savoureux aujourd’hui d’observer les salves précises des pièces CAESAR contre l’ennemi sur le front de l’Est. La dette se paie — avec les intérêts. 1 hour ago, BTX said: Même le Président Macron n'y a pas fait directement référence dans son discours le 30 avril à Aubagne. Oui, le Président a bien évoqué Diên Biên Phu à Aubagne, le 30 avril. Brièvement, certes, mais il l’a fait. Rien ne saurait mieux convenir ici que cette vieille locution, maintes fois répétée : res, non verba. 1 Citer Moi etrangere, moi pas bien francais parler.
Yann pyromane Posté(e) 8 mai Signaler Posté(e) 8 mai Je connais pas mal le sujet et la clé fut en Mars quand la 3/13 DBLE est enfoncée contre toute attente. Mon grand père en faisait partie donc j'ai une dernière lettre ou il sait que c'est fichu. 1 Citer
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