Choix de page

Aller au contenu
Aumilitaire

Classement

Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 13/06/2025 dans toutes les zones

  1. Pour vous tenir au courant, je tenais à vous dire que, comme annoncé sur une autre discussion, j'ai été informé de mon intégration au sein du 2e Régiment de Hussards. Je suis très heureux et ravie car comme vous le dites @BTX, c'est un "prestigieux et très performant régiment". Je me demandais à propos de la signature du contrat, quel durée de contrat serait le plus intéressant? Car j'aimerais faire carrière au sein de l'Armée de Terre, mais si je venais à changer de bord... Enfin, si vous avez quelques conseils à me donner, je serais preneur, notamment à propos de ce régiment précis ! Je tenais aussi à vous remercier, car si j'ai pu construire et me renseigner sur mon projet, c'est en partie (plutôt grande) grâce à ce forum! Merci!
    3 points
  2. Bonjour Youcef, Déjà bien joué pour tes tests, on a à peu de choses près le même profil physique. Ensuite niveau psychotechnique, je pense que ça passera. Mais je ne suis pas le plus calé sur ce sujet pour te répondre avec détails. J'espère donc que ta candidature va finir par être accepté. Concernant ma candidature, j'ai des nouvelles également... J'ai été accepté au 2e RH🥳. Donc j'irai signer monn contrat courant Juilet et je partirai le 5 août à Bitche. Cependant, je n'ai pas eu à passer de tests. Effectivement, mon recruteur m'avait lui rapporté qu'il y avait une semaine de "stage" pour évaluer les candidats, mais aucune nouvelle. Mais aucune idée s'il y a un entretien. J'espère donc que tout se passera bien pour toi et qu'on se retrouvera à Bitche le 5 août ! Moi c'est déjà fait en tout cas. Bonne chance pour ta candidature !
    3 points
  3. Augmentes le volume d'entrainement (4-5 séances/semaine), 2 séances de fractionné (pas moins pour assurer une bonne progression, pas plus pour éviter le surentrainement) et le reste de tes séances à basse intensité sur 45min-1h15. De mon expérience, 25-30km/semaine est le strict minimum pour bien progresser. Dans tous les cas le maitre-mot est la RÉGULARITÉ, s'arrêter 1-2 semaine peut suffire à foutre en l'air une progression.
    2 points
  4. https://www.lemonde.fr/international/video/2025/06/13/les-premieres-images-des-attaques-d-israel-contre-l-iran_6612675_3210.html
    1 point
  5. YANN tout ceci n'a pu se faire qu'avec l'appui des USA même si, officiellement, Israël clame haut et fort que le ou les raids ont été menés en totale autonomie. Israël a bénéficié des renseignements fournis dans l'espace par les satellites d'observation américains, sur terre, notamment dans les localités où ont été "neutralisés" les cadres dirigeants des Gardiens de la Révolution, par une étroite coordination entre le MOSSAD, la CIA et les opposants locaux au régime iranien et enfin, grâce au brouillage/saturation opéré sur les systèmes de défense antiaérien iraniens. BTX Attaque sur l’Iran. Bilan des bombardements par Revue Conflits avec AFP Israël a lancé une série d’attaques contre Téhéran et des sites nucléaires iraniens. Bilan de ces attaques. L’attaque sur l’Iran a mobilisé « 200 avions de combats » et visée une centaine de cibles selon l’armée israélienne. Au moins cinquante personnes, dont des femmes et des enfants, ont été blessées lors de l’attaque israélienne de vendredi en Iran, selon la télévision d’État. « À la suite de l’attaque israélienne, environ 50 personnes blessées ont été transférées à l’hôpital Chamran (à Téhéran), dont au moins 35 sont des femmes et des enfants », a déclaré la télévision d’État après ces frappes, qui ont aussi tué de hauts dirigeants militaires. Bilan industriel Le ministère iranien du Pétrole a déclaré vendredi que les principales raffineries et dépôts de carburant du pays n’avaient pas été affectés par l’attaque meurtrière d’Israël, et que leurs activités se poursuivaient. « Aucun dommage n’a été causé aux installations de raffinage et aux dépôts de pétrole du pays, et actuellement les activités de ces installations ainsi que l’approvisionnement en carburant se poursuivent dans toutes les régions du pays sans interruption », a déclaré le ministère dans un communiqué. Le chef d’état-major iranien, le général Mohammed Bagheri, a été tué dans l’attaque israélienne sur le pays, a indiqué vendredi la télévision d’État iranienne. « Le général de division Mohammad Bagheri, chef d’état-major des forces armées, est tombé en martyr », a déclaré la télévision. L’Iran a averti qu’il avait le « droit légal et légitime » de répondre aux attaques meurtrières menées vendredi par Israël contre plusieurs villes et installations nucléaires du pays. « Répondre à cette agression est le droit légal et légitime de l’Iran conformément à l’Article 51 de la Charte des Nations unies », a déclaré le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué, ajoutant que les forces armées iraniennes « n’hésiteront pas à défendre la nation iranienne avec toutes leurs forces ». Des sites nucléaires touchés L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a confirmé vendredi que le site d’enrichissement d’uranium de Natanz, dans le centre de l’Iran, avait été touché par les frappes israéliennes. « L’AIEA surveille de près la situation profondément préoccupante en Iran », a écrit sur X le directeur de l’agence, Rafael Grossi. « L’Agence peut confirmer que le site de Natanz fait partie des cibles », a-t-il poursuivi, ajoutant que l’AIEA est « en contact avec les autorités iraniennes concernant les niveaux de radiation » ainsi qu’avec ses inspecteurs sur place.
    1 point
  6. https://www.opex360.com/2025/06/13/israel-a-lance-une-operation-militaire-massive-contre-le-programme-nucleaire-iranien/ Israël a lancé une opération militaire massive contre le programme nucléaire iranien Réacteur à eau lourde pour produire du plutonium à Arak, construction secrète d’une usine abritant des centrifugeuses à Fordo [l’Iran sera contraint de reconnaître son existence en 2009, après avoir été mis devant le fait accompli], augmentation des capacités d’enrichissement de l’uranium, relations avec le Dr Kahn, le père de la bombe atomique pakistanaise, traces de radioactivité sur des sites non déclarés, refus d’accueillir des inspecteurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique [AIEA]… Les indices suggérant que le programme nucléaire iranien avait [aussi] une dimension militaire se sont accumulés durant ces vingt dernières années. Pour autant, la priorité a été donnée à la diplomatie pour contraindre les ambitions iraniennes… et empêcher ainsi une course à l’armement nucléaire au Moyen-Orient. Ces efforts ont abouti à l’accord de Vienne [Plan d’action global commun – PAGC], signé par l’Iran et les pays membres du groupe P5+1 [constitué par les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU ainsi que par l’Allemagne]. Ce PAGC [ou Joint Comprehensive Plan of Action – JCPoA] a été dénoncé par les États-Unis en mai 2018, le président Trump l’ayant jugé « désastreux » car, pas assez contraignant, il aurait permis à l’Iran de financer les activités de ses mandataires [milices chiites] au Moyen-Orient grâce à la fin des sanctions économiques qui avaient été prises à son égard. De son côté, n’ayant jamais caché ses doutes au sujet de ces démarches diplomatiques et estimant que les activités nucléaires iraniennes étaient dirigées contre lui, Israël a multiplié les actions clandestines en Iran [cyberattaques avec notamment le virus Stuxnet contre les capacités d’enrichissement de l’uranium, sabotages, assassinats de scientifiques, etc.]. Dans le même temps, Tsahal s’est très tôt préparée à mener une éventuelle opération militaire massive contre les programmes nucléaires et balistiques de Téhéran, en s’exerçant à mener des raids aériens sur de longues distances, comme elle le fit contre le réacteur irakien Osirak, en 1981. En octobre, et outre les opérations contre les rebelles houthis au Yémen, la force aérienne israélienne fit une démonstration de ses capacités en frappant des unités de production de missiles et de drones ainsi que des systèmes de défense aérienne iraniens, en représailles au tir d’une salve de 200 missiles balistiques par le Corps des gardiens de la révolution islamique. Cela étant, durant ces années, les États-Unis ont cherché à dissuader Israël de lancer une guerre « préemptive » contre Téhéran. C’est d’ailleurs ce qu’ils ont encore fait le 12 juin, après avoir relancé les discussions sur le nucléaire avec un Iran affaibli par les revers subis en Syrie et au Liban. Seulement, Israël est passé outre. Et cela alors que l’AIEA venait d’adopter une résolution condamnant l’Iran pour « non-respect » de ses obligations nucléaires. En effet, dans la nuit du 12 au 13 juin, les forces israéliennes ont mené au moins une centaine de frappes contre les principales installations militaires et nucléaires iraniennes, dans le cadre de l’opération « Rising Lion », appelée ainsi en référence au verset 23:24 du Livre des nombres de la Bible [« C’est un peuple qui se lève comme une lionne / Et qui se dresse comme un lion / Il ne se couche point jusqu’à ce qu’il ait dévoré la proie »]. Au moins 200 aéronefs ont été mobilisés. Une vidéo publiée par Tsahal suggère que des F-35I « Adir », des F-15 Eagle et des F-16I Sufa ont été sollicités. S’agissant de ces derniers, on peut constater qu’ils ont emporté un grand réservoir de carburant, jusqu’à huit bombes planantes GBU-39 SDB et deux missiles air-air AIM-120 AMRAAM. Pour le moment, il est encore trop tôt pour avoir une idée précise du résultat de ces frappes… d’autant plus que l’opération « Rising Lion » devrait « durer autant de jours que nécessaire », a affirmé Benjamin Netanyahou, le Premier ministre israélien, après avoir soutenu que l’enjeu était de « repousser la menace iranienne pour la survie même d’Israël ». « À la fin de l’opération, il n’y aura plus de menace nucléaire. […] Nous sommes dans une fenêtre d’opportunité stratégique. Nous avons atteint le point de non-retour, et il n’y a pas d’autre choix que d’agir maintenant », ont expliqué des responsables de Tsahal à Times of Israël. Le site d’enrichissement d’uranium de Natanz [centre de l’Iran] a été visé [ce qui a été confirmé par l’AIEA, qui n’a pas noté de fuites radioactives], de même que le centre de recherche nucléaire de Tabriz. Des frappes ont été signalées à Kermanshah, à Arak et à Isfahan. En revanche, l’usine souterraine de Fordo et le site de conversion d’uranium et de recherches d’Ispahan ont été, pour le moment, épargnés. S’agissant plus précisément de Natanz, Tsahal a indiqué que les « installations souterraines du site [avaient] été touchées, y compris un hall d’enrichissement à plusieurs niveaux avec des centrifugeuses, des salles électriques et d’autres infrastructures de soutien ». Qui plus est, a-t-elle poursuivi, « l’infrastructure critique du site qui lui permet de fonctionner et de faire avancer le projet d’armes nucléaires du régime iranien a été attaquée ». Des bases militaires ont également été touchées, en particulier celles abritant des missiles balistiques, de même que plusieurs quartiers généraux, dont celui du Corps des gardiens de la révolution à Téhéran. Par ailleurs, au moins deux hauts responsables militaires iraniens, à savoir le commandant du Corps des gardiens de la révolution islamique, le général Hossein Salami, et le chef d’état-major des forces iraniennes, le général Mohammad Bagheri, ont été tués. Ils ont respectivement déjà été remplacés par le général Mohammad Pakpour et le général Abdolrahim Mousavi. En outre, six scientifiques liés au programme nucléaire ont aussi perdu la vie. Peu après le lancement de l’opération « Rising Lion », l’Iran a riposté en envoyant une centaine de drones vers Israël. Seulement, au regard du temps qu’il leur faut pour atteindre leurs cibles, ils n’ont pas représenté une menace significative. Toutefois, Tsahal s’attend à des représailles massives. « Citoyens d’Israël, je ne peux pas promettre un succès absolu. Le régime iranien tentera de nous attaquer en riposte, et le bilan attendu sera différent de ce à quoi nous sommes habitués », a prévenu le général Eyal Zamir, son chef d’état-major. « Nous sommes engagés dans une campagne historique, sans précédent », a-t-il conclu.
    1 point
  7. Certains ont tendance à confondre Bitche avec Beach... à l'oral c'est vrai que ça porte à confusion 🫡
    1 point
  8. Pour connaître le 16 BCP, ça n'est pas.. comment dire.. le même environnement que le 21 Rima à Fréjus ^^
    1 point
  9. Bonjour à tous, Je me présente. Je suis Etan, j'ai actuellement 18 ans et je souhaite m'engager en tant que militaire du rang au sein du 2e Régiment de Hussards. Je suis motivé, j'ai déjà fait énormément de recherches (malgré qu'on ne trouve peu de choses sur ce régiment ou alors que des choses vagues). Je lis depuis maintenant plusieurs mois la plupart des discussions sur ce forum très intéressant et très pertinent. Niveau candidature, j'attends que mon recruteur envoie mon dossier, je suis déjà passé au CSO, avec une dossier "presque parfait" d'après mon recruteur. Niveau sport, j'ai fait palier 10+30 au LL, 12 tractions et 3min20 à la chaise, me classant S1. Concernant les tests psychotechniques, j'ai 10/10 MDR, 10/10 Sous-officier. En anglais j'avais 100 et quelques je crois. J'ai également eu la note maximale niveau comportement (ce qui a bluffé mon recruteur, pas peu fier). Enfin mon recruteur m'a également dit que c'est assuré que je serais accepté au 2eRH, même si je préfère ne jamais être sûr à 100%. J'espère ne rien avoir oublié. Merci d'avoir prété attention à cette présentation!
    1 point
  10. Je réitère mes félicitations sur l'autre post. C'est tout qui voit, il n'y a pas de meilleure ou mauvaise formule, en tout cas rien d'impactant sur ta carrière si tu prends un premier contrat plus court, tu auras l'occasion de resigner pour peu que tu valides tes formations de spécialité et cursus avec brio. Si tu te crashes en revanche, ton lien avec l'institution sera plus long en cas de réorientation.
    1 point
  11. Ca dépend, si tu vas au PRN tu peux avoir ce grand frisson ! 😄
    1 point
  12. Actuellement le régiment est en plein RENS à fin d'action dans la profondeur, donc la spécialité en RSC (creuse de cache) reste plus que d'actualité. Ca reste une spécialité très difficile physiquement (rien à envier à certaines unités des FS qui font de l'URH) et techniquement (les connaissances en TRS par ex) + la conduite de VHL en mode très dégradé. Bref, c'est un régiment de la régulière, mais la formation reste très exigeante, d'où le peu d'élus en fin de formations. Particularité, aucun problème pour accepter des féminines qui ont le niveau attendu (il y en a, peu, mais en général elles cartonnent !).
    1 point
  13. Bonjour général et félicitations à ceux qui nous rejoignent C'est une formation de longue haleine, difficile sur le plan technique et physique, mais le jeu en vaut vraiment la chandelle tant la spé est intéressante (surtout depuis la fusion du RAC/RSC). Superbe régiment et très bonne cohésion!
    1 point
  14. Bonjour, Je candidate également au 2e RH et je suis déjà passé au CSO. Si tu veux regarder mes résultats, je les ai tous écrit sur la présentation pour te faire une idée. Niveau sport, si tu n'es pas encore passé au CSO, avec le peu d'expérience que j'ai, je te conseille de vraiment beaucoup courir. En moins de 5 mois, avec 3-4 séances par semaine de course à pied, je suis passé de palier 8 à 10+30 au CSO (en sachant que je ne pense pas avoir tout optimisé à fond). Cependant dès que je parle avec quelqu'un du 2e Rh qu'il soit dans le monde militaire ou sorti de ce monde, on m'a toujours dit que ce sont comme des FS, donc je te conseille vraiment de tout donner que ce soit sportivement, aux tests psychotschniques et d'anglais (comme le dit h2M) ou même à l'entretien. Pour le reste, je laisse ceux qui ont plus d'expériences sur le sujet. Bon courage et si on est tout deux acceptés au 2e Rh, j'espère qu'on se verra au CFIM!
    1 point
  15. https://www.lecourrierdelatlas.com › deces-deric-denece-... Le brusque décès d’Éric Denécé, un médiatique ancien officier du renseignement de premier plan, directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R), vient mettre la lumière sur une série de mystérieuses disparitions qui frappent les milieux du renseignement français en quelques mois. Habitué des grands plateaux médiatiques, Denecé acceptait également les invitations de médias dits alternatifs Décédé le 11 juin 2025 à l’âge de 62 ans, ses proches tout comme le média Ligne droite se sont aussitôt empressés d’écarter la thèse du suicide. Mais selon les premières informations disponibles, la thèse du suicide a bien été retenue par les enquêteurs qui affirment qu’il a été retrouvé sans vie dans son domicile au XVème arrondissement de Paris. Docteur en science politique particulièrement apprécié par ses pairs, Denecé avait débuté sa carrière comme officier-analyste au Secrétariat Général de la Défense Nationale (SGDN), avant d’exercer différentes fonctions dans le secteur de la défense et de l’intelligence économique : ingénieur commercial chez Matra Défense, consultant pour le ministère de la Défense sur les forces spéciales, ou encore opérateur à l’étranger dans des zones sensibles comme le Cambodge et la Birmanie. Une approche non orthodoxe du renseignement Fondateur et directeur du think tank CF2R en 2000, Éric Denécé en assurait la direction jusqu’à son décès. Ce centre de recherche, indépendant des institutions et des pouvoirs publics, s’inscrivait dans une approche « réaliste » des relations internationales et de la sécurité. Il s’y exprimait avec une rigueur méthodologique reconnue, adoptant une posture considérée comme non-alignée sur les doctrines mainstream. Notamment critique de la vente de la branche énergie d’Alstom à General Electric pour des raisons de souveraineté nationale, il avait également pris des positions divergentes sur la guerre en Ukraine. Il soulignait, avant comme après l’invasion de 2022, les responsabilités croisées des néoconservateurs à Washington et des ultranationalistes à Kiev dans une dynamique qu’il considérait comme ayant précipité l’agression russe. Il ne formulait cependant aucune affirmation qui ne soit sérieusement et solidement étayée. Prolifique auteur et éditeur de pas moins de 29 ouvrages, il a consacré ses travaux à l’histoire du renseignement, aux révolutions arabes, au terrorisme ou encore aux conflits du XXe siècle. Il enseignait l’intelligence économique et stratégique dans de nombreuses institutions, notamment à l’université, à l’ENA et au Collège interarmées de Défense. Toutefois, son décès intervient surtout alors que plusieurs agents de la DGSI ont mis fin à leurs jours ces derniers mois, dans des circonstances distinctes. Ainsi le 3 juin dernier, un officier du service a été retrouvé sans vie dans sa voiture de service à Levallois-Perret. En janvier 2025, deux agents avaient déjà été retrouvés morts : l’un dans les sous-sols de la DGSI, l’autre à son domicile. Après s’être rendu avec un groupe d’experts internationaux francophones dans les pays concernés par le Printemps arabe, Eric Denécé dirige la rédaction d’un ouvrage collectif soutenant que les différentes révolutions arabes auraient été « préparées depuis longtemps avec le soutien des États-Unis ». L’ouvrage avance que, dès 2007-2008, de manière analogue aux Révolutions de couleur, les leaders de ces mouvements assistaient à des conférences organisées par des ONG américaines, comme Freedom House, l’International Republican Institute ou Canvas, des propos repris directement par Éric Denécé dans une interview à La Tribune. Des thèses jugées « peu consensuelles ».
    0 point

© Aumilitaire - Contact - CGU

×
×
  • Créer...