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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 07/01/2019 dans toutes les zones

  1. Sympathique ce reportage, il met en avant les plongeurs démineurs, une spécialité qui reste méconnue hormis des gens ayant une affinité avec la Marine nationale. La guerre des mines en règle générale est un domaine intéressant, et nul doute que le nouvel élan des affirmations de puissance sur les mers va lui donner un nouvel essor.
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  2. Comme l'ont dit tous les autres dans leur réponse et sans les paraphraser il faut bien avoir à l'esprit que les capacités réelles et le vrai fond des gens ne sont visibles que lorsque la zone de confort est dépassée, quand la fatigue efface la capacité de certains à jouer un rôle. Alors dans les reportages on "voit" ce phénomène mais quand on est tranquille dans son canapé on ne sait pas vraiment ce que c'est tant qu'on ne l'a pas vécu soit même. Cette zone, qui est derrière la ligne qu'on n'a jamais franchie révèle nos faiblesses et nos vraies possibilités,certains n'y trouvent malheureusement pas les réponses qu'ils attendaient. Cette zone est le royaume de la réalité où le mensonge et les faux semblants sautent. C'est ici et nul par ailleurs qu' on y ira chercher votre "profil". C'est là que vous pourrez prétendre aux Fs ou pas. Alors s'y préparer pour correspondre à ce fameux profil c'est peine perdue. Bien entendu comme le physique est juste un pré requis obligatoire il doit être à la hauteur. Au delà de la nécessité opérationnelle c'est une question de respect pour l'institution que l'on veut incorporer, et pour les cadres qui vont vous tester. Quelle plaie de voir débarquer un mytho qui se prend pour rambo alors qu'il n'a rien dans le sac. Alors bon courage et bonne chance, on s'entraîne, on progresse, et on reste humble.
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  3. Bienvenue sur ce forum futur "petite fraise des bois" (allusion à ton futur béret si tout va bien) Tous mes souhaits pour tes voeux d'incorporation
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  4. Ya deux point de vu: Le 1er et aautres :"Merde, les gars du 13 ils ont vraiment chouffer ici pendant 2 semaines???" Et le 13:"Merde, ils vont vraiement intervenir ici???"
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  5. http://www.opex360.com/2018/12/26/le-renseignement-militaire-francais-a-au-moins-trois-defis-a-relever/ La Loi de programmation militaire [LPM] 2019-25, comme les deux précédentes, fait du renseignement une priorité. Ce qui passera par le renouvellement des moyens spatiaux [programmes MUSIS qui renforcera les capacités d’observation optique et radar et CERES, pour l’écoute et le renseignement électromagnétique], la mise en service de drones MALE supplémentaires, d’avions légers de surveillance et de reconnaissance, de la charge utile de guerre électronique [CUGE] ainsi que par la commande d’un bâtiment léger de surveillance et de recueil de renseignement [BLSR], qui viendra compléter le Dupuy de Lôme. Au total, 4,6 milliards d’euros d’investissement sont prévus, auxquels on peut ajouter 1,6 milliard consacrés au cyberespace. Le renforcement de ces capacités supposera donc un flux toujours plus important de données et d’informations à analyser. Aussi, pour la Direction du renseignement militaire [DRM], l’un des enjeux sera de recruter suffisamment d’analystes. Et surtout de les garder, sachant que des spécialités sont actuellement déjà déficitaires et qu’il faut par exemple deux ans pour former un linguiste militaire… Mais plus généralement, la « massification » des données est l’un des défis qu’a à relever la DRM. C’est en effet ce que son directeur, le général [air] Jean-François Ferlet, a avancé dans le dernier hors-série du magazine DSI, dédié au renseignement militaire. « La masse des données numériques et la gestion de la connaissance, qui, au-delà du big data ou de l’IA [intelligence artificielle, ndlr], obligent à disposer d’une capacité ad hoc d’exploitation des données », a expliqué le général Ferlet. « La masse des données issue des investigations dans le cyberespace, de capteurs hautement performants, de capacités nouvelles comme la biométrie, des échanges avec les partenaires, ou encore la veille stratégique élargie, pose l’enjeu crucial de leur exploitation et de la construction de la connaissance qui reposera sur le croisement efficace de ces données hétérogènes », a-t-il insisté. Pour cela, le général Ferlet mise évidemment sur la numérisation, le big data et l’intelligence artificielle, ces technologies devant permettre d’automatiser certaines tâches. Cependant, ces dernières ne doivent pas être une fin en soi. « L’analyste doit pouvoir garder son autonomie et ne pas s’en remettre uniquement aux outils, aussi innovants soient-ils. Dans le processus analytique [au sein de la DRM], l’usage de l’AI doit donc être raisonné », a-t-il expliqué. Toutefois, ces outils, pourvu donc que l’on en fasse un usage raisonnable, sont plus que jamais nécessaires au regard des deux autres défis de la DRM. L’un porte sur « le traitement d’une menace accrue sur tout le spectre, à la fois globale, locale et fragmentée, matérielle et immatérielle, liée à des États ou des groupes d’individus isolés », a indiqué le général Ferlet. Or, a-t-il ajouté, cette « menace se rapproche du territoire national » et la « DRM doit appuyer toujours plus efficacement les armée sur les théâtres ouverts, tout en veillant sur le reste du spectre pour garantir l’autonomie d’appréciation des autorités militaires et politiques, éclairer les choix capacitaires et anticiper les déploiements futurs ». En outre, et c’est là un autre défi pour la DRM, de nouveaux « fronts » porteurs de menaces apparaissent, dont, a détaillé le général Ferlet, « l’espace exoatmosphérique, le cyberespace, les armes à effets dirigés et nucléaire, radiologique, bactériologique et chimique. » Selon lui, ces « nouveaux domaines de conflictualité appellent à investir de nouvelles compétences et à appréhender le RIM [renseignement d’intérêt militaire] qui s’y greffe ». En un mot, cela demande le recrutement (ou la formation) de nouveaux spécialistes. Pour relever ces défis, le général Ferlet espère que la DRM aura achevé sa transformation numérique d’ici 2030. « Par ses capacités augmentées, elle sera pleinement investie dans les nouveaux espaces, cyber et spatial », avec une « ressource humaine à dominante militaire multifonction et formée à la statistique et au data mining ». Le tout en se reposant sur un « écosystème stimulant d’entreprises françaises consacré à l’innovation au profit du renseignement », via le pôle de compétitivité « Intelligence Campus », à Creil.
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  6. Si je peux me permettre d'apporter quelques petites précisions pêle-mêle. En premier lieu classement sans suite 21 et rappel à la loi ce n'est pas bon. Le 21 c'est un classement sans suite pour infraction insuffisamment caractérisée, alors que le rappel à la loi c'est aussi un classement sans suite mais c'est motif 56. Il y a normalement une différence linguistique et pratique pour l'administré lambda, tout à fait logique mais les voix de la justice sont..... Cela peut paraître asburde mais c'est bien un classement sans suite pour les 2 cas malgré le fait commis pour l'un et pas pour l'autre mais il y a bien pire,c'est comme ça. On peut ouvrir le débat mais je ne pourrai pas y participer. Pas de casier puisque sans suite donc pas de condamnation. En ce qui concerne le TAJ là c'est la foire à la saucisse pour une question de statistique, si le boulot est fait proprement c'est au procureur de dire s'il doit y avoir inscription au TAJ pour un motif 21 et même pour le motif 11 qui est l'absence d'infraction. En pratique les affaires de viol bidon finissent trop souvent en 21 et non 11 car les procureurs ne veulent pas fermer totalement la porte, en évitant d'être trop catégorique. Pour l'effacement du taj la réponse a été donnée. Pour l'acces B2 au niveau de l'enquête de police c'est, la bible c'est l'identité judiciaire avec le faed et le taj. Puis le B1 par le parquet. Le rappel à la loi verbal n'existe pas juridiquement, car c'est bien un proçès verbal notifié en bonne et due forme, signé avec remise de copie. Pour le reste les réponses ont été apportées.
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  7. Après ""Mes rêves avaient un goût de sel "" ( Itinéraire d'un nageur de combat de la marine nationale), l'auteur vous entraîne avec le 2eme volet, toujours autobiographique , vers des mers lointaines, sur les sites nucléaires français de Polynésie. Ce nouvel ouvrage peut être commandé, chez l'éditeur (Les presses du midi) mais aussi à la FNAC ou Amazon, et d'autres librairies indépendantes. ( Si vous avez une FNAC près de chez vous, pas de frais de port et je crois qu'une remise de 5 % est accordée... à vérifier) Si vous avez aimé le tome 1, j'espère que ce nouveau livre vous plaira et vous entraînera dans un monde sous-marin que vous ne connaissez pas (du moins pour la majorité d'entre-vous). Je suis certain que vous y apprendrez beaucoup de choses sur les habitants de ces îles lointaines, leurs us et coutumes, mais surtout la rencontre avec des animaux qui sortent du commun. Une amie qui a survolé le manuscrit initial a versé une larme à la fin, une autre de la maison d'édition qui a construit le livre a énormément ri, j'en conclus que chacun y trouvera un intérêt en fonction de sa sensibilité... Bonne lecture à tous http://www.lespressesdumidi.fr/livres/lespressesdumidi/product/5538-mission-polynesie-de-jean-pierre-roybon.html?fbclid=IwAR1e4S8cli6ld6N4-qM1ZgOTM143q3Y9SzfGLn_lG019NCqaZ6zScrWUfwc
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