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Tout ce qui a été posté par Cephalyx

  1. Pour mettre mon grain de sel, connaissant bien le milieu : @Aegise : En France une ville entre 5000 et 40000 hab est normalement dotée d'un CSP. Dans les fait, c'est plutôt 20.000 hab ... Il est dirigé à minima par un commandant EF (fonctionnel). Le lieutenant de police en SP est adjoint d'unité ou chef de bureau de police. Il dirige en général entre 10 et 20 PAX (c'est l'équivalent du CDG/CDS selon dans l'armée, le commissaire de base est plutôt l'équivalent d'un CDU, soit une 100aine de PAX). Pour avoir un niveau colon, il faut regarder vers les commissaires divisionnaires. Typiquement, un chef de DDSP est commissaire divisionnaire ancien (au taquet des échelons) ou commissaire général (depuis peu). Un contrôleur général de la PN est à minima directeur de service régionaux ou nationaux. C'est l'équivalent d'un gouverneur militaire. Après chercher des équivalences PN / Armée n'a pas vraiment de sens ... (c'est souvent la confusion que font les gendarmes qui sont en concurrence avec la PN) étant donné que les missions, fonctions et attributions ne sont pas les mêmes (genre un CDU ne va pas faire de la politique de la ville à ses heures perdues alors que c'est le quotidien d'un officier de police en SP).
  2. Je confirme. L'accès SOR > OR est déterminé selon les besoins de l'UER (places dispo, car l'accès à l'épaulette peut se faire au détriment de la FA, puisqu'un militaire de réserve n'a aucune obligation de durée de service envers l'unité s'il déménage par exemple), notations, diplômes scolaires et qualifications militaires. Comme dans l'active, si tu es un bon, disponible, repéré par ses chef et désireux de devenir OFF, alors c'est possible (rappel que la possibilité de postuler en direct n'est plus ouverte pour la voie CDT, et bientôt plus pour la voie EM). Dans la pratique c'est quand même le potentiel + la disponibilité qui vont orienter un accès au SD. Il faut savoir qu'être chef de section en UER demande une grande dispo hors service (no rémunérée, bien évidemment) : état des présences/dispo, des qualifications, préparation ops ... autant d'éléments qui font que les prétendants sont judicieusement sélectionnés.
  3. Salut laetitia, je connais très bien l'UER du 2eRH. N'hésite pas à me contacter en MP.
  4. Avis du juriste du coin : En France, le port d'une arme, quelque soit la catégorie, répond au principe de nécessité (qui n'est pas à confondre avec le principe de légitime défense). Une arme blanche est une arme de catégorie D (non soumise à autorisation). En conséquence, et sauf ordre contraire, oui le port d'une arme blanche est possible pour un militaire de sentinelle (moi-même ayant tourné en Vigipirate dans les temps anciens, nous avions encore la baïonnette F1 au ceinturon). En revanche, son utilisation sera soumise aux conditions de la LD ou des articles du CSI.
  5. Salut, Tu peux signer jusqu'à 90 jours initialement, sans dérogation, si tu as une fonction ou une mission permanente auprès de ta formation. Typiquement, un OAR ou un RRR qui est là 2 jours par semaine ou une semaine par mois. Maintenant si tu es soldat en UER, les jours sont en général arrêtés par ta compagnie pour des périodes d'activité bien précises (qui pendant les premières années se résument à de la formation et du service). Évidemment, tout cela est tributaire de l'enveloppe budgétaire de ta formation.
  6. Perso à 35 ans ce n'est pas la question de l'intégration dans le groupe qui me poserait problème, mais plutôt le fait de me faire commander par des mecs de 20 ans ...
  7. Tout dépend de comment ton UER a organisé ses périodes d'activité. A toi ensuite de te coller dessus, étant donné que le principe de la réserve repose sur le volontariat et la disponibilité.
  8. Salut, Outre le statut un peu bizarre (les PMS sont sous statut civil), tu peux candidater à tout engagement, concours etc en étant réserviste. En cas de signature d'un contrat d'active, l'ESR est automatiquement résilié. Dans tous les cas, tu ne peux pas cumuler réserve et active ou deux ESR au profit d'armées différentes. C'est soit l'un, soit l'autre.
  9. Après les combattantes de mêlée ça court pas les rues et les rares qui y sont méritent amplement leur place ... Pas de favoritisme et un principe de réalité qui font que ce n'est pas demain la veille qu'on verra du 50/50 dans ces unités. Maintenant il ne faut pas faire dans l'idéologie macho et neuneu. L'histoire a montré que les femmes pouvaient être de très bonnes combattantes dans les sociétés qui leur ont permis de monter au front. Mais là encore le volontariat, l'endoctrinement, la sélectivité et les sacrifices consentis dans des conditions épouvantables ont été la pierre angulaire de ces systèmes. Pas sûr qu'on soit aujourd'hui sur la même longueur d'onde quand on lit les rapports qui prônent l'intégration des femmes au prix d'aménagement totalement déconnectés de la réalité du métier.
  10. D'où les guillemets. Mais j'imagine que vous voulez dire les OSC (qui comme vous le savez sont les héritiers des ORSA) car les commissionnés n'ont pas de carrière, ni de parcours, d'aucuns diraient de statut ... Ils enchainent les contrats au bon vouloir de l'institution et n'ont aucune possibilité d'avancement, encore moins de cursus ou de formation à accomplir dans celle-ci. Quant à la question du rengagement. Vaste débat. Jusqu'au milieu du siècle dernier, les affiches de recrutement TTA affichaient ostensiblement le "engagez vous, rengagez vous". La formule est logique. Dès l'instant où le contrat est un instrument juridique dans lequel les parties s'obligent mutuellement par l'échange des consentements, le mener loyalement jusqu'à son terme est la preuve que la parole donnée à été respectée. Après, je vous le concède, les exemples contemporains sont loin de ce postulat ... Quoique, si j'en crois le "Servir" d'un certain gal De Villiers, rester l'aurait nécessairement obligé à trahir sa parole. Intéressant paradoxe.
  11. Pour la même raison que les femmes ne concourent pas dans les mêmes catégories dans les compétitions sportives : la championne du monde poids lourd femme se ferait éclater en 5 secondes par le champion du monde. C'est l'extension de l'égalitarisme social au biologique qui permet aux femmes d’accéder à des postes dans les armées. Maintenant si on voulait faire un véritable système égalitariste il faudrait, comme en sport, avoir des places réservées pour les femmes avec barème spécifique et idem pour les hommes. Sauf que, d'une part ça créerait une discrimination et d'autre part, pas sur que l'armée soit gagnante puisque le quota féminin serait dans tous les cas remplis, même avec des individues médiocres et vice versa (alors qu'à l'heure actuelle, si les barèmes sont différents, les places sont communes).
  12. Difficile, mais pas impossible. Je suis le premier étonné de voir que le "partir c'est trahir" qui avait cours encore il y a une dizaine d'année n'est plus en vogue dans les CIRFA. Suffit de voir le nombre de sujets sur les candidats souhaitant se rengager après dénonciation et qui étonnamment y arrivent pour s'en convaincre. Certes, la "carrière" n'est pas la même ensuite.
  13. Aller c'est cadeau ! Encore de l'argent bien dépensé ...
  14. Tu comprends pas quoi ? A chaque catégorie, un plafond. Ca veut dire qu'il y a aura des promus et les autres qui resteront dans leur grade. Vu que le doc d'Aegise ne semble pas distinguer entre la provenance ...
  15. C'est une croyance courante des candidats que de s'imaginer entrer dans une spé, souvent déficitaire, pour ensuite espérer bifurquer par un coup de baguette magique vers une autre spé, souvent ultra demandée. Sauf que ça se passe pas comme ça, que ça soit à l'armée ou ailleurs. A moment donné il faut savoir faire le deuil de son échec (et comprendre pourquoi on a échoué) à intégrer la spécialité de ses rêves. C'est aussi un gage de maturité. Quant aux pseudos voies médianes : l'expérience à prouvé qu'elles étaient plus une source de frustration et de démotivation qu'autre chose, car il n'y a rien de pire que de faire quelque chose qui déplait tout en entretenant de vains espoirs.
  16. Je suis un peu abasourdi par les réactions sur ce thread. Il est évident que M.K n'a jamais eu pour intension d'insulter la police. Bien au contraire ! Eu égard la faiblesse de la prise face aux moyens déployés, M.K a maladroitement fait part de sa déception par quelques encouragements blamatoires malheureux. Bref, tout cela n'est qu'un épouvantable malentendu ...
  17. Si la PMS vaut PMR, alors celui qui échoue à la FIE ou à la FIOR pourra compléter celle-ci par la FCR ce qui lui donnera la FMIR. En tout cas actuellement c'est ce qui se passe pour ceux qui échouent à ces formations, ils sont réorientés. Toutefois vu la sélection, le cas doit être extrêmement rare en dehors d'une blessure qui empêche de finir la formation.
  18. Surpris de l'apprendre, mais tant mieux !
  19. Salut, Le problème quand tu entres linguiste à niveau SO direct, c'est que tu n'as aucune chance de pouvoir prétendre à autre chose que le 54 ou le 44 directement à l'issue de St-Maixent (aller, j'ai ptet vu une fois un hussard) pour la simple et bonne raison que les postes de linguiste en EM/Ecole/Centre etc. sont des postes à minima de sous-off supérieurs ou d'officiers. Le régiment reste donc un passage obligatoire (et nécessaire) pour pouvoir ensuite évoluer vers des fonctions d'enseignement - conception.
  20. Non, le DEM permet de pousser jusqu'à 20 ans car un OSC-E est, comme les officiers de carrière ou les officiers de réserve, obligé de servir en EM après son temps de commandement (alors qu'un OSC-S peut tirer jusqu'à 20 ans sans condition de diplôme militaire). A ma connaissance, l'accès à l'EdG n'est pas ouvert aux officiers sous contrat (sauf récemment aux officiers de réserve qui peuvent intégrer sur titres et mérites). Il n'y a pas que les filières scientifiques pour intégrer l'ESM, il existe aussi une filière littéraire et SES (avec des coef différents).
  21. C'est 20 ans max pour les OSC-E sous réserve d'obtention du DEM. Donc t'as le temps de voir venir. Ceci étant, OSC-E dans le civil c'est pas ce qui à de plus vendeur ... Je côtoie pas mal de OSC-E à quelques années de la limite de contrat et ils balisent tous à l'idée de se reconvertir (à raison). Maintenant je vois que tu n'as que 15 ans. Pourquoi ne pas tenter le concours d'entrée à St-Cyr à l'issue de ton bac (2 ans de prépa) ? En cas de réussite tu seras de carrière et, si par malheur l'armée te gonfle, tu ne doit à l'institution que 7 ans et tu ressortiras à moins de 30 ans avec une excellente XP pro et un diplôme d'ingénieur estampillé ESM qui se revend bien (même un peu trop) sur le marché de l'emploi civil.
  22. La PMR devient un préalable obligatoire avant la signature du contrat. Elle est complétée par la suite par la FCR. La PMR + FCR = FMIR. Évidemment, elle ne saurait se suffire à elle-même pour être employable ... Du reste, c'est toute la problématique inhérente à la réserve : soit on fait des formations longues mais les gens ne sont pas dispo; soit on fait des formations courtes mais étalées dans le temps, et les gens se découragent (problème qu'on retrouve à tous les niveaux : en OR par ex c'est minimum 3 ans de formation en cours à distance + présentiel pour avoir le niveau d'un officier junior qui a bouclé son cursus purement militaire en 10 mois).
  23. Par exemple : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bruno_Clément-Bollée Semi-direct, marsouin, général de corps d'armée, propre.
  24. Hello ! N'étant pas enseignant-chercheur mais seulement chargé d'enseignement, la fac n'a pas eu son mot à dire du temps que j'assure les heures pour lesquelles je me suis engagé. Pour ce qui est de la thèse, j'ai quelques amis qui sont OR tout en étant contrat-doc / ATER. Dans l'absolu, la fac voit d'une mauvais oeil (voire interdit tout court) toute activité lorsque l'étudiant est sous contrat doctoral. Heureusement, le code de la défense comporte un article article L4211-7 qui dispose que : "Aucun établissement ou organisme de formation public ou privé ne peut prendre de mesure préjudiciable à l'accomplissement normal du cursus de formation entrepris par un étudiant ou un stagiaire en raison des absences qui résultent soit d'une activité au titre d'un engagement à servir dans la réserve opérationnelle, soit d'un appel ou d'un rappel des personnes soumises à l'obligation de disponibilité". Le thésard sous contrat doc étant sous statut étudiant, l'université ne peut pas s'opposer à cette activité. Toutefois, je me réserverai personnellement à en faire état (tout comme lorsqu'on postule dans une entreprise qui ne voit pas d'un bon oeil la réserve ou l'armée en général), de ma qualité d'OR tant que je n'ai pas le contrat dans la poche
  25. Le coup des rideaux ? Un départ "à l'ancienne", en tout cas.

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