vittorio venturi Posté(e) 6 novembre 2023 Signaler Posté(e) 6 novembre 2023 Bonjour, Mike Hoare dans son livre “Congo mercenary” décrit entre autres l’arrivée à Kamina des premiers volontaires; parmi eux y avait de tout, un peu comme à Aubagne, mais Hoare fut surpris, plus que des ivrognes ou des veines variqueses, du fait que un volontaire avait trainé avec soi une machine à écrire. Aujourd’hui en pleine ère numerique ça peut faire rire les plus jeunes, mais l’importance de pouvoir communiquer au milieu d’un territoire hostile etait bien présente dans l’esprit d’un chef d’unité. Bbrhum a demandè le 20 octobre ce q’on peut porter au régiment; pour nous légionnaires du rang la reponse etait simple: RIEN, pour ça etait étonnant voire un caporal qui avait avec soi une petite Olivetti lettera 22 que utilisait pour les exigences de la section – compte rendu, programme du jour, chants à apprendre etc-. Vous comprenez qu’avec la babel des langues des légionnaires un texte écrit etait essentiel. Un jour c’est donné que cette Olivetti avait le chariot enrayé et j’ai découvert qu’une petite vis dévisé le bloquait, vite réparé vite exempté des corvées!! 1 Citer
BTX Posté(e) 6 novembre 2023 Signaler Posté(e) 6 novembre 2023 VITTORIO Vous ne croyez pas si bien dire ! Beaucoup d'entre nous ont connu et usé du carnet Manifold pour ventiler entre sections de combat les ordres venant du CDU. Et pour ma part, en OPEX, j'avais avec moi une machine à écrire portative pour la rédaction des messages. Au BOI, on utilisait les machines à traitement de texte avec un grand chariot. Tout comme l'HP 41CV BTX 1 Citer Ya Rab Yeshua.
vittorio venturi Posté(e) 6 novembre 2023 Auteur Signaler Posté(e) 6 novembre 2023 Il y a 7 heures, BTX a dit : Beaucoup d'entre nous ont connu et usé du carnet Manifold Bonjour, du cousu main! 1 Citer
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