e.dSS Posted May 17 Report Share Posted May 17 Bonsoir, Je pense me situer dans une impasse. Étudiant en classe préparatoire littéraire, l'année scolaire se termine dans un mois et mon admission en khâgne (deuxième année) est bientôt chose faite. Cependant, au fur et à mesure que les jours passent, le khâl approche. Étant né en Belgique (de parents eux-mêmes belges) et ayant vécu en France depuis mes 11 ans, j'ai pu accéder à la demande de naturalisation française que j'ai effectué à mes 18 ans. Bientôt âgé de 19 ans, mon dossier a été validé et est en attente d'examination. Le problème étant que l'inscription au concours se déroulera dans moins de sept mois et qu'il me restera également à passer un entretien d'assimilation ainsi que ma JDC. Je me retrouve donc en Pékin de prestige et commence à avoir peur d'avoir autant chiadé pour au final ne pas pouvoir intégrer... Hériter d'une longue tradition familiale militaire, le métier des armes est le seul qui me fasse vibrer et je considère la France comme ma patrie. Que faire si les délais de ma demande de naturalisation dépasse ceux de l'inscription aux concours d'entrée de l'ESM ? Je me suis présenté à plusieurs reprises au centre de recrutement de la légion étrangère de ma ville, qui sont prêts à m'accueillir à bras ouverts et m'ont fait passer les test psychotechniques. J'ai conscience qu'il est possible d'obtenir la nationalité française puis d'intégrer par la suite l'EMIA en tant que légionnaire mais j'ai peur que le fait que je ne possède qu'un bac +1 m'handicape pour la suite. Je pense khûber si je ne peu m'inscrire au concours mais je ne suis pas certain que mon établissement acceptera de me garder. Pour ce qui est des parcours OSC-E ou OSC-S, je m'y refuse l'accès, mon seul et unique désir est de m'engager dans l'armée française, je suis un bon élève mais je ne pourrais poursuivre de formations universitaires aussi longues qui ne m'intéressent pas. Voilà en résumé la situation dans laquelle je me trouve et les questions sans réponses que je me pose. C'est pas branlé, mais je reste optimiste et convaincu que je réaliserai mon idéal, une vie au service de la France. Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Yann pyromane Posted May 18 Report Share Posted May 18 Salut je pense que la présentation d'un légionnaire à l'EMIA ne se résume pas à un simple critère académique, il faudra déjà passer par d'autres fourches caudines notamment qu'on voit en toi un futur lieutenant et crois moi la prépa à côté c'est peanuts . Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
e.dSS Posted May 18 Author Report Share Posted May 18 Merci pour votre réponse, En effet, j'ai conscience du fait que la présentation d'un légionnaire à l'EMIA ne se résume pas un simple critère académique mais je pense tout de même que le fait d'être francophone et de n'avoir aucune autre passion que l'amour de la France peut jouer en ma faveur... Que me conseiller vous de faire si ma naturalisation française ne se fait pas avant décembre 2025 (date d'inscription au concours de l'ESM) ? M'engager à la légion étrangère ? Ou poursuivre une année de plus en classe préparatoire ? En vous remerciant d'avance pour vos réponses. Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Mathis37 Posted May 18 Report Share Posted May 18 il y a 40 minutes, e.dSS a dit : Merci pour votre réponse, En effet, j'ai conscience du fait que la présentation d'un légionnaire à l'EMIA ne se résume pas un simple critère académique mais je pense tout de même que le fait d'être francophone et de n'avoir aucune autre passion que l'amour de la France peut jouer en ma faveur... Que me conseiller vous de faire si ma naturalisation française ne se fait pas avant décembre 2025 (date d'inscription au concours de l'ESM) ? M'engager à la légion étrangère ? Ou poursuivre une année de plus en classe préparatoire ? En vous remerciant d'avance pour vos réponses. Salut, je suis passé passé aussi en cpge mili. Je sais que le concours littéraire est plus accessible, mais tout de même, aujourd’hui pour intégrer, khuber reste l’un des meilleurs moyens. Selon moi, même sans ce problème administratif ( sur lequel je ne vais pas m’avancer car j’en ai aucune idée), vous auriez khuber comme la majorité des cyrards. Et ensuite à vous l’ESM, après une année de khube. En revanche, le parcours légion/emia serait bien plus long, fastidieux et incertain. Pour moi la question ne se pose même pas, même si je peux comprendre la réticence à devoir khuber. Sans compter le fait que khuber vous donnera une licence, et donc en cas d’échec au concours à deux reprises, vous pourrez passer l’emia sur titre. 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Yann pyromane Posted May 18 Report Share Posted May 18 Bac +1 c'est pas un diplôme çà vaut pas grand chose voir rien du tout si tu bosses dur en prépa il faut au moins en sortir avec 120 ects voir 180 pour un khube en situation d'échec ( pas de honte le concours est difficile ) , poursuis tes études le plus loin possible çà t'évitera bien des écueils plus tard et multipliera tes chances de " passer par la fenêtre " pour devenir officier . Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
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