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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 07/08/2025 dans toutes les zones

  1. Merci à vous deux @BTX, bien entendu ! Une seule semaine de vacances prévue, et tout le reste est mouvementé à coup de séance de sport. Ne pas subir ! @Yann pyromane, exact, choix "simples" mais avec un plaisir important. Je laisse les super-héros ou les Captain Price de Call of Duty de côté Bien entendu pour les deux PM, on essaye la tête de liste ! Louis.
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  2. Bonjour à toutes et à tous, J'ouvre ce jour, la classe ODS 2027.En effet, même si les écrits auront lieu en novembre 2026 au centrex ,il importe que vous soyez au top le jour J .Les candidats qui auront 10 années de carrière en 2026 sont les premiers concernés 6 semaines sont prévues sur l'année 2026 de mai à décembre après l'inscription au concours en mars/avril: .4 semaines pour préparer les épreuves écrites: mai, juin, septembre, octobre (une à deux semaines de drill suffisent pour bien comprendre et appliquer la méthode que j'ai décortiquée dans le module concours ods 2026) -2 semaines en décembre pour préparer les épreuves orales Les candidats (dates) qui veulent réussir me rejoignent en MP. Cordialement
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  3. C'est une cérémonie très émouvante et particulière pour les familles des militaires du rang, sous-officiers et majors qui accèdent ce soir la au grade de sous lieutenant C'est le "point d'orgue d'une semaine passée à coetquidan où tous ces personnels admis ont été accueillis dans la "maison mère" sans distinction de tenues ou de grades. Ayant "participé" depuis 18 ans a plusieurs triomphes avec les OAEA et les ODS et adoubé plusieurs d'entre eux, j'ai chaque fois ressenti une émotion comparable à celle de ma cérémonie des sabres en novembre 1973....
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  4. Depuis peu, les commandos marine, en particulier ceux du commando Hubert, basé à Saint-Mandrier [Var], utilisent le Propulseur sous-marin de 3e génération [PSM3G], grâce à un hangar de pont amovible [encore appelé Dry Dock Shelter, ou DDS] placé derrière le kiosque des sous-marins nucléaires d’attaque [SNA] de classe Suffren. Produit par Exail [ex-ECA Group] et doté d’un mât télescopique muni d’un capteur optronique et de systèmes de transmission, cet engin peut emporter une dizaine de nageurs de combat pour des missions d’infiltration. Mais ses caractéristiques sont confidentielles. « C’est un véritable outil anti-déni d’accès. […] Il y a très peu de nations qui possèdent ce type de vecteur et maîtrisent la capacité globale du triptyque PSM-DDS-SNA. Les capacités opérationnelles du PSM3G sont révolutionnaires par rapport à l’actuel PSM2G », précise la Marine nationale. Outre le PSM3G, les commandos marine utilisent aussi des « tracteurs sous-marins » [TSM], comme, du reste, les nageurs de combat du 1er Régiment de Parachutistes d’Infanterie de Marine [RPIMa] et du 13e Régiment de Dragons Parachutistes [RDP]. De dimensions réduites, ces propulseurs sous-marins permettent de doubler le rayon d’action des plongeurs tout en emportant une charge utile [notamment des explosifs] de plusieurs dizaines de kilogrammes. En novembre 2010, il avait été rapporté que la Marine nationale s’intéressait au tracteur sous-marin DPD [Diver Propulsion Device], conçu par l’entreprise américaine STIDD et commercialisé en France par TR Équipements (ci-dessus). Il s’agissait de remplacer les modèles autrefois fournis par la société française Premeco. Visiblement, ce modèle a donné satisfaction, à en juger par les rares photographies du Commando Hubert publiées à l’occasion de reportages sur les forces spéciales. D’une masse de 75 kilogrammes à sec, le DPD mesure 2,24 mètres une fois déployé, pour un diamètre de 61 centimètres. Il permet de transporter deux plongeurs avec leurs équipements [soit 40 kilos] sur une dizaine de nautiques. D’une autonomie de 4 heures, grâce à des batteries lithium-ion, il est doté d’un système de navigation par GPS et d’une antenne télescopique. Mais ces engins ont fait leur temps. En effet, via un avis de marché qu’elle vient de publier, la Direction générale de l’armement [DGA] a fait savoir qu’elle était en quête de nouveaux tracteurs sous-marins destinés à la Marine nationale. « Un tracteur sous-marin […] est un engin automoteur de forme et de taille variable destiné aux plongeurs, leur permettant d’augmenter leur rayon d’action et de transporter du matériel. Ils sont constitués possiblement de sous-ensembles sur étagères, seront utilisés par des plongeurs de la Marine nationale depuis la terre [quai, etc.] ou la mer [embarcations, etc.] pour diverses actions comme la reconnaissance sous-marine, l’intervention contre les obstacles sous-marins, etc. », rappelle d’abord la DGA. Ces futurs TSM devront avoir des « performances propulsives » et une autonomie devant permettre à « un binôme de plongeurs d’augmenter significativement son rayon d’action via une autonomie supérieure à 10 nautiques avec un fort état de mer », précise-t-elle, avant d’ajouter que le « système de propulsion [unité d’énergie, moteur, hélice] devra être « fonctionnellement redondé ». Autre spécification : l’utilisateur devra être en mesure d’assurer « certaines tâches de maintenance en autonomie comme le remplacement de moteur, d’unité d’énergie ou d’hélice ». Enfin, les TSM recherchés devront être dotés « d’un système de cartographie et de navigation, de moyens de positionnement, d’un sonar de navigation et de sonars latéraux ». Selon l’avis de la DGA, l’industriel qui sera retenu aura à fournir deux TSM « à courte échéance », ces derniers devant faire l’objet d’une « commande ferme ». Puis, douze autres suivront par la suite. La valeur du marché est estimée à 30 millions d’euros maximum. Cette somme couvre « des prestations associées comprenant notamment la fourniture d’accessoires, de sous-ensembles, de conditionnements de transport, la formation, la documentation d’utilisation et de maintenance ainsi que des rechanges et outillages ». Les candidats – et leurs éventuels sous-contractants – devront être basés « exclusivement sur le territoire de l’Union européenne ». Et la DGA d’ajouter : « La livraison des matériels et la réalisation de la formation se dérouleront au sein des principales bases navales de la Marine Nationale en France métropolitaine. Les documents seront livrés à Paris ou Toulon ». Reste à voir le modèle susceptible d’être choisi. En 2021, le 1er RPIMa a reçu deux TSM de type Divejet RD2, fournis par l’entreprise allemande Rotinor, via TR Équipements. Mais ses performances ne sont sans doute pas celles qu’attendent les commandos marine, dont le choix pourrait se porter sur une solution française, à savoir celle proposée par Alseamar, avec le Murene. Photo : ALSEAMAR https://www.opex360.com/2025/08/07/le-ministere-des-armees-est-en-quete-de-14-nouveaux-tracteurs-sous-marins-pour-les-commandos-marine/
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  5. Exact c'est pour çà qu'un petit jeune du site qui avait choisi le Train c'est retrouvé au RTP ( bien classé) et ses potes fantassins de choc béret bleu dans des "vieilles casernes oubliées " là il larguait sans doute sur Gaza 😁....
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  6. Pense à une paire de baskets de qualité qui vont t'éviter pas mal de problème au niveau des membres inférieurs..çà nage pas au top loin de là mais çà court beaucoup ....
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  7. Attention, les voeux et le mode recrutement MDR/EVAT diffère fortement du recrutement EVSO/Sous-Off. Pour les EVAT on formule de un à trois choix de "régiment" ou garnison (le 1er RI, le 2e RMAT, le 3e RHC, 4e Chasseurs, 5e Dragons, 6e Génie, ...) Pour les Sous-off on choisi le DS (Domaine de Spécialité) : Infanterie, Génie Combat, RH, Sports, Musique, ... et en fonction de sa "scolarité" à l'ENSOA et des résultats obtenus on pourra choisir parmi les régiments recrutant dans cette spécialité à ce moment précis, ou bien on "sera choisi" en fonction de son classement ... Clairon
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  8. On te souhaite de rester dans le projet initial , mais là les résultats seront déterminants .Comme pour tous y compris les candidats officiers ...Il s'agit d'une gestion de masse .
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  9. Intéressant, je l’ignorais. J’attends le retour, ma candidature étant EVSO, et par conséquent MDR par la même occasion, je vais devoir discuter du choix final avec mon CeR. (Enfin, choix "final" en adéquation avec mes résultats et motivations). Effectivement, celui qui vise un régiment précis a tout intérêt à y candidater directement.
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  10. A noter aussi qu'il n'y a aucune obligation a formuler 3 voeux, vous pouvez si vous le voulez n'en formuler que 1 ou 2, ça diminue vos chances certes, mais si vous avez les capacités et un but précis, ça peut se comprendre Clairon
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  11. Envers un candidat qui s'appelle "douze" ... On comprend 😁 Clairon
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  12. Merci pour ces précisions, tout est clair. Plus qu’à patienter. Je suppose que les propositions peuvent aussi dépendre des sessions de recrutement de chaque régiment.
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  13. ENSOA et CFIM n'ont STRICTEMENT rien de semblable. Au CFIM, la FGI dure quatre mois destinée à faire acquérir à l'EVAT les fondamentaux du métier de soldat et les actes élémentaires, se poster, se déplacer et utiliser son arme. Le plus "dur" sera en compagnie au régiment lors de la formation à la spécialité (emploi) de l'EVAT. Saint Maixent est une Ecole Militaire, chargée d'une longue et glorieuse histoire. Elle a formé et forme depuis des siècles des officiers d'Infanterie et désormais des sous-officiers. Six mois de formation initiale. Des cours, des sorties terrain, des exercices de jour et de nuit, du sport, du tir et beaucoup de données théoriques à ingurgiter et à maîtriser. On vous inculque les principes qui feront de vous un Sous-Officier, càd, un spécialiste. Voici ce que j'écrivais jadis aux futurs EVSO : Quels que soient au final vos domaines de spécialités et filières, vous avez choisi d'exercer le métier des armes. A nul autre comparable. Dur, exigeant, complexe, sous-payé et exposé aux critiques de tout bord, politique et militaire confondu. En prenant cette voie, vous n'avez pas choisi la facilité loin s'en faut. Vous serez pris entre l'enclume, les EVAT à l'image de la société, et le marteau, les officiers. Il faudra conquérir votre place, chaque jour et à chaque instant contestée. Un sous-officier commande. Lui seul commande les EVAT. Il commande parce qu'il a 1/la compétence 2/le savoir-faire L'officier doit rester à sa place, rien que sa place et toute sa place et l'occuper. Il commande des sous-officiers. Exiger de vos officiers des ordres clairs et précis, exécutables par la troupe càd les EVAT. Il vous faudra le rappeler INLASSABLEMENT à votre chef de section. Comment pourrait-il en être autrement ? Comment pourriez-vous assumer vos responsabilités au combat si, dès le temps de paix au quartier, vous tolériez que l'officier prenne votre place et fasse votre boulot. Que penseront de vous vos EVAT ? Que vous êtes incompétent et paresseux. En prenant cette voie, vous n'avez pas choisi la facilité loin s'en faut. Il faudra cultiver l'exemplarité, ne pas se laisser aller au copinage. Soyez dur avec vous-même pour pouvoir l'être avec vos subordonnés. Bannissez le tutoiement. Exigez de vos petits gradés (caporaux-chefs et caporaux) le respect dû à votre statut et à vos compétences.". BTX
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  14. merci BTX 💪🏽 Actuellement je brancardier et je me disais que brancardier secouriste ( auxiliaire sanitaire) serais une belle évolution dans mon domaine. sinon RH ou administration
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  15. Bonjour l'équipe Petit mot pour la patrouille, j'utilise ma présentation pour marquer quelques éléments d'évolution tout au long de la candidature. - La découverte du CIRFA - JUIN : Passage d'un premier appel téléphonique en milieu juin, encore au Portugal pour lancer le projet d'OSC-E. Le Sergent m'ayant reçu au téléphone apprécie que je ne sois pas venu mains dans les poches, surtout pour un officier, quand il est question des choix et des opérations à venir. JUILLET : Travail sur moi-même, sur mon projet, et modification des choix initiaux car un reportage sur l'Opération Barkhane (disponible ici https://www.youtube.com/watch?v=5F8YEDLsccY ) m'a fait développé passion pour.....L'arme du Train. Le Sergent m'appelle pour caler un rendez-vous en début Août pour discuter de tout ça. AOÛT : Rendez-vous de présentation le jour même, le sergent me dit de ne rien amener mais j'amène tout de même fiches et projets pour ma candidature. La discussion porte beaucoup sur la découverte des postes d'OSC-S, chose que je n'avais pas vraiment comprise au début, mais qui fût bien éclairée après une démonstration d'un dépôt de candidature. Je lui parle de mon parcours scolaire, de mes expériences bénévoles et de ma vie en général, le métier d'officier n'est pas une simple "aubaine", mais une volonté et une vocation à l'être. Nous nous accordons sur les choix, malgré son envie que je passe en OSC-S par le Master, sur : - 1er choix : OSCE - Cavalerie lourde (régiment ciblé : 501e RCC) - 2e choix : OSCE - Train (régiment souhaité : 516e Train) - 3e choix : OSCE - Artillerie (régiment souhaité : 16e RA) Si révisions des choix, ou insuffisance pour, je passerais en OSC-S. Ce qu'il en ressort de bon : - Individu avec des choix réalistes et logiques (ça lui change des candidats FS / RPIMa) - Mobilité internationale avec les langues - Passionné par ses études - L'associatif et le passé scout risquent d'impacter positivement. Ce qui est à améliorer / ce qui peut poser soucis : - Sport, il faut continuer pour être meilleur. - Pas d'expérience professionnelle "à proprement parler" à vendre, peut être le point noir du dossier. L'entretien se fini sur une discussion autour du char et du terrain, et d'un petit RETEX de son service en Afghanistan... Sans oublier le dossier à remplir pour faire 2 PM (une Découverte et une Supérieure). Quelques jours plus tard, je reçois un mail du Sergent m'indiquant que l'officier (un capitaine) gérant le département souhaiterais me voir courant Septembre. Peut être que le dossier n'est pas si mal finalement ? La suite bientôt !
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  16. merci messieurs.. ces 28 journées face à la classe, même en visioconférence ont amené 100% d'admissibles depuis 2019...grâce à une préparation méticuleuse des cours par le prof de maths, ex adjoint DIRISI à Metz dans les années 2000 avant de revoir l'infra transmissions (années 2010) de Djibouti..
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  17. Bonjour, Je suis de la 382eme promotion si vous avez des questions je serais content de vous éclairer ! Une montre simple de decathlon fera l'affaire pour les montres du reste ce sera surtout des affaires afin de prévoir le 1er terrain qui sera utile. Pour les cours prise de note sur petit carnet puis recopier sur feuille A4 dans un porte vue puis classeur vous apprendrez en re écrivant vos cours l'ordinateur pas top selon moi.
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  18. A un jet de pierre des Invalides...
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  19. https://www.opex360.com/2025/08/05/la-dga-valide-une-solution-pour-garantir-la-precision-des-tirs-depuis-un-helicoptere-nh90-de-larmee-de-terre/ En 2018, lors de l’opération Thalathine, lancée pour libérer des otages retenus par des pirates somaliens après l’abordage du voilier Le Ponant, un commando marine, armé d’un fusil McMillan TAC-50, avait réussi un tir d’arrêt en logeant une balle de 12,7 x 99 mm dans le moteur d’un véhicule 4×4 utilisé par les ravisseurs… depuis un hélicoptère Panther. Cette action avait ensuite permis de récupérer une partie de la rançon versée par l’armateur et d’appréhender six individus liés, de près ou de loin, à l’attaque du voilier. D’où l’importance d’un tel savoir-faire, que, par ailleurs, les tireurs d’élite de l’armée de l’Air & de l’Espace maîtrisent pour faire appliquer les « mesures actives de sûreté aérienne » depuis les hélicoptères Fennec. Or, effectuer un tir de précision quand on se trouve à bord d’un aéronef qui bouge et vibre n’est pas une tâche aisée. D’où la solution développée par la société française COSE. Appelée STRIKE [pour Stabilisateur de Tir Réglable d’Intervention Kinésique Équilibré], elle consiste à installer à bord d’un hélicoptère un bras stabilisé qui « sert de support d’armements pour le tir de haute précision à longues distances ». Si, il y a peu, les hélicoptères de reconnaissance et d’attaque Gazelle pouvaient en être équipés, ce n’était pas le cas des autres appareils de l’Aviation légère de l’armée de Terre [ALAT], notamment ceux du 4e Régiment d’hélicoptères de forces spéciales [RHFS]. Aussi, en février, le Groupement aéromobilité de la Section technique de l’armée de Terre [GAMSTAT] a fait savoir qu’il avait effectué une évaluation technico-opérationnelle du système STRIKE, depuis un hélicoptère de manœuvre AS532 Cougar. Et cela avec l’appui de tireurs de précision du 1er Régiment de Parachutistes d’infanterie de Marine [RPIMa]. Le NH-90 TTH « Caïman » pourra également être équipé du STRIKE. C’est en effet ce qu’a annoncé la Direction générale de l’armement [DGA], ce 5 août, via le réseau social LinkedIn. « Après son intégration précédente sur Gazelle, Cougar et Fennec, la DGA a mené des essais en vol pour assurer la compatibilité du [système] Strike avec le NH90 de l’Aviation légère de l’armée de Terre dans plusieurs configurations », a-t-elle en effet indiqué. Le Strike « permet aux tireurs embarqués de rester précis sans être contraints par le poids de l’arme mise en œuvre et les vibrations de l’hélicoptère » et « peut aussi accueillir un appareil photo avec téléobjectif pour les missions de renseignement », a par ailleurs rappelé la DGA. Lors des essais qu’elle a menés, le Strike a été évalué avec une mitrailleuse M3M de 12,7 mm qui, fournie par FN Herstal, a une portée maximale de 6 500 mètres et une cadence de tir de 1 000 coups par minute, un fusil d’assaut HK417, un fusil de précision PGM Hecate II et un appareil de photographie. « Les essais ont confirmé l’aptitude de ce système à être installé à bord d’un NH90 », s’est ensuite félicitée la DGA. « Cette ouverture de domaine a été réalisée par DGA Essais en vol en collaboration avec le GAMSTAT […] qui effectuera prochainement une évaluation opérationnelle de ce système », a-t-elle conclu. Photo : DGA
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  20. J'y ai joué pendant plusieurs années Arma 2 puis 3 avec des mods réalistes (notamment pour l'armement, vehicule, matos... + médical) dans une asso organisé en 2 teams redfor (tendance pacte de Varsovie)/ bluefor (tendance Otan) avec organisation hierarchique cdc/cdg/cde, des combats pvp 20-25vs20-25, scénari personnalisé, entrainement avec de vraies procédures militaires (il y avait des anciens d'active), briefing de mission, debriefing, retex... On avait même organisé des rencontres pvp contre une asso similaire italienne 40vs40...
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  21. J'ai appris à lire une carte avec boussole sur cet excellent jeu ! (entre autre)
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  22. Bonjour a tous, Je salue tout d'abord les personnes qui m'ont déjà côtoyé lors de ma période de doute et de questionnement lorsque j'étais civil. Je n'ai pas énormément posté sur le forum mais j'ai eu l'occasion de parler a certains d'entre vous avant mon incorporation et même si les "statistiques" ne parlaient pas en ma faveur, je n'ai eu que du soutien sur ce forum. Mon histoire a donc commencée l'année dernière en 2023, lorsque que sur un "coup de tête" qui n'en était pas vraiment un j'ai décidé de tout plaquer (travail, situation etc...) pour m'engager a plus de 28 ans , presque 29 ans dans l'armée de terre. A ce moment la, les questions que je me suis posées étaient nombreuses et pour la plupart sans réponses. Chaque fois que je parlais de mon engagement tardif tout le monde me disait que les "vieux" ne tenaient pas, même mes cadres durant la FGI m'ont bien fait sentir que j'étais un peu le spécimen rare de la troupe. Il y a des avantages tout de même, tout dépend sur qui on tombe je dirais et je me sens chanceux, sans que cela n'enlève rien a ma fierté d'avoir été au bout des choses. Avec le recul ce n'est bien sur que le commencement. J'ai signé mon contrat d'engagement le 04 avril 2023, dès mon arrivée et encore a l'heure actuelle je me sens un petit peu appart. Les chefs d'équipes s'exclament en entendant mon âge et ma situation de famille (pacsé, 2 enfants), me demandent "ce que je fous la" (🤣). Ma réponse sera a chaque fois sans appel, je suis pas la pour rigoler, et pourtant j'ai rigolé, j'ai pleuré, et j'ai changé pendant cette période de classes, et je ne regrette rien. Mais j'y reviendrais plus tard tout au long de ce RETEX. La formation commence relativement tranquillement, nous apprenons a nous connaitre, je suis tout de suite mis en face de questions auxquels les autres EVI n'ont pas le droit. (Qu'est ce que ça fait d'être commandé par plus jeune ? C'est dur avec la famille ? C'est difficile la différence d'âge avec les camarades ? etc...) Puis vient l'entretien avec mon CDS (je salue cet homme formidable car lui aussi s'est engagé tard et du haut de son grade d'ADJ en fin de carrière il est le seul a n'avoir fait aucune différence entre moi et les autres camarades). Il me fait comprendre que je vais être un "guide" pour les autres au cours de la formation et que mes connaissances déjà acquises sur la valeur du travail dans la vie civile font de moi un modèle a suivre. Je me dois d'être exemplaire en tant qu'ancien, tout jeune en service. Pas de blabla inutile sur l'autorité, les règles a suivre, il compte sur moi pour ne pas faire d'écarts, et m'accorde sa confiance. Conséquences de cette décision, TOUT les cadres m'accordent également leur confiance et aussi du respect. J'ai découvert une facette de certains cadres lors de conversations privées qui en était la preuve et je les remercie de m'avoir fait confiance. La formation a commencée et la 1ère semaine n'est évidemment que l'introduction a la vraie formation initiale de MDR, nous percevons nos tenues, notre paquetage et tout ce qui va bien pour suivre l'instruction et nous faisons quelques séances de "sport" (sport voulu et sport non voulu 😆). Tout change dans ma tête, le déplacement en colonne, les rassemblements, les premières séances de maniement des armes, je ne le vois pas car je suis très investi mais je change également. Et puis vient le moment ou nous quittons le régiment direction Coëtquidan. Je pense que c'est sur cette période que je vais le plus apprendre sur moi même et évoluer. Je vais apprendre l'humilité, je vais me lier d'amitié avec un jeune homme qui sera meilleur que moi et sera mon épaule lors des nuits blanches, des exercices, qui me tirera en avant quand mon corps ne suivra pas, qui me rafraichira la mémoire lorsque j'aurais oublié les aspects théoriques de certains sujets d'instruction et me sauvera la mise devant un caporal chef qu'il ne valait mieux pas énerver. Il sera mon modèle mental et psychologique sur les mois qui suivront. L'âge a t'il vraiment son importance lorsque l'on se rend compte de tout ça ? (Je ne pense pas). Je vais également prendre conscience que mon niveau physique est loin d'être au top, même si j'ai certains atouts et je vais rencontrer d'autres personnes qui sauront m'encourager et mettre en valeur mes progrès au fil des terrains. Des hommes de 20 ans qui ont une âme de leader. Je ne vais bien entendu pas revenir en détail sur chaque jour de l'instruction car ce RETEX ferait la taille d'une bible. J'ai suivi l'instruction comme chacun, j'ai appris un connaitre un jeune chef d'équipe avec un charisme exceptionnel, qui, en une soirée a su transformer notre section et la faire passer de jeunes EVI dispersés a un groupe soudé prêt a tout endurer. Il nous a aidé a créer notre identité propre en tant que section, nous mettre en valeur et nous pousser jusqu'au bout. J'ai été félicité directement par mon chef de groupe, j'ai été "cité" en exemple pour ma détermination et mon professionnalisme par mon SOA et mon CDS lors de la cérémonie de remise de mon patch régimentaire (pour chaque groupe de combat un engagé volontaire avait été choisi également). J'ai reçu ma première tape sur l'épaule (celle qui fait vaciller) par mon SOA lors de cette même cérémonie et j'ai pu lui serrer la main avec admiration et respect car cet homme incarnait a ce moment la et incarne encore aujourd'hui un exemple de perfection militaire a mes yeux , tant sur le plan physique que mental et sur sa manière de faire son travail. Les terrains se sont succédés, les marches, les instructions, les cours, les MOAL, j'ai eu mal, j'ai eu peur, je suis tombé, je me suis relevé et j'ai appris ce qu'était la véritable fatigue physique lors du rallye de fin de FGI. Que de bons souvenirs. Retour au régiment. Place a la FTS. C'est en revenant au régiment seulement quelques mois après le début de cette histoire que je pris la plus grosse claque et que je compris que j'avais changé. Même si je n'avais effectué que la moitié de l'instruction je me sentais déjà militaire, et prêt pour les prochaines étapes. La FTS fut également une période d'arrivée et de départs, quand certains comprirent que la spécialité n'était pas pour eux, ou après avoir tâté le terrain et la fatigue qu'ils ne voulaient pas se faire mal et continuer. Certains changements dans l'encadrement brisèrent d'une certaine manière la cohésion que nous nous étions créer durant les mois qui précédaient. Mais pour moi pas question d'abandonner et j'appris a connaitre ma nouvelle cheffe de groupe qui est encore aujourd'hui un modèle sur le plan physique et qui n'as rien a envier aux hommes, qui prouve que même sans les barèmes sportifs "adaptés", a elle seule, elle aurait tout explosé. C'est elle également qui me fera le plus progresser sur le plan physique, proche de ses hommes elle saura gérer bon nombre de situations a son niveau et nous fera passer des journées géniales. Une Sergent direct qui continue encore aujourd'hui a se démarquer dans sa carrière en réussissant des tests de sélection pour aller dans des unités spécialisées. Les instructions se succédant, les terrains, le sport, les ramassantes a pas d'heure, le tout couronné de quelques jours au mythique fort de Penthièvre finiront de me forger et de me prouver que je peut en tant que "vieux", suivre le rythme comme tout le monde. Mieux encore, de faible civil, je faisais désormais les footings dans le groupe de niveau le plus élevé, l'occasion pour moi de me découvrir une petite passion et un profond engouement pour la course a pied. J'effectuais sans problème les séances de sport de tout type et je continuais de travailler l'aspect théorique avec acharnement. Me propulsant en fin de formation a la 5ème place du classement. C'est avec une immense fierté que j'enfilais la tenue de cérémonie le jour ou la formation s'arrêta pour recevoir la fourragère des mains d'un caporal chef que je respecte encore aujourd'hui énormément. Le message qu'il me donna alors restera a jamais gravé dans ma mémoire. Sous les yeux humides de mon père lorsque notre section marcha au pas, en chantant, je ressentis une des émotions les plus fortes et intenses qu'il m'ai été donné de vivre. Mon cœur battant à tout rompre dans ma poitrine. La fierté dans les yeux de ma mère, l'amour dans les yeux de ma compagne, et la chaleur de son étreinte fit de cette belle matinée un souvenir inébranlable et marqué a jamais dans mon cœur. J'étais devenu militaire, au service de son pays, et j'avais devant moi une carrière prête a se dérouler. Je me suis découvert, mis a nu, j'ai appris l'humilité, la fierté, l'échec et la réussite. Ces mois de formation resteront inscrits pour toujours, et aucun mot ne pourra jamais décrire l'intensité du début de ma nouvelle vie qui avait commencée au moment ou l'encre de ma signature vint s'apposer sur mon contrat d'engagement. J'ai eu l'occasion de voir certaines personnes se demander si c'était "possible" de s'engager quand on arrive a 28 ou 29 ans, a ceux la je répondrais qu'au delà du possible il est surtout question de volonté, d'évolution, et de mental. Oui certaines choses sont plus difficiles que pour d'autres engagés plus jeunes, mais il y a aussi des choses plus faciles a appréhender selon son vécu personnel. La vie en communauté n'est pas toujours facile quand nous avons l'habitude d'être déjà autonome dans sa vie civile. Il faut savoir se mettre au second plan et apprendre des autres, la ou l'âge n'a finalement aucune importance lorsque l'on se pose la question de ce qui est vraiment nécessaire dans un métier opérationnel comme le nôtre. Pour tout ceux qui hésitent, n'hésitez pas, foncez, et n'ayez aucun regret. Tout est possible. Il suffit de le vouloir. Merci de m'avoir lu jusqu'au bout, loin d'être un RETEX sur la formation en elle même je voulais surtout vous faire part de ma vision des choses, l'aspect un petit peu psychologique de ce qui peut se passer dans nos têtes lorsque l'on arrive dans un milieu spécifique comme l'armée de terre. J'ai eu du mal a trouver les mots justes pour décrire ce que j'ai ressenti dans ces moments, j'espère ne pas avoir fait trop de fautes (orthographe conjugaisons...) je ne suis pas un grand écrivain. Si jamais vous avez des questions j'y répondrais bien sur. Je vous souhaite a tous une très bonne continuation et comme on le dis souvent chez nous, "Bon vent, Bonne mer !" .🫡
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  23. Ce n'est pas un RETEX au sens propre du terme mais c'est un témoignage sincère d'un garçon qui a vécu et vivra longtemps encore une expérience humaine particulière. Comme beaucoup l'ont vécue avant lui sous d'autres cieux. Epinglé et mis en évidence. BTX
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