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brucine

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Tout ce qui a été posté par brucine

  1. Je crois surtout qu'un équidé qui avait 28 ans de service, ce d'autant que mules et mulets sont pour le moins caractériels et ont un débourrage/dressage "basique" beaucoup plus long que celui du cheval, et qui donc avait 31 ans voire plus, était arrivé à un âge canonique pour l'espèce. Car enfin, personne n'a jamais vu un équidé hydraté et alimenté mourir du seul fait de se retrouver 2 jours en pâture, même si au départ on les y met souvent seuls pour éviter les frictions "inter-groupes" (juments, hongres avec ex-mâles dominants...).
  2. Il semblerait pourtant que le caporal-chef Tapanar 2 soit décédé, l'histoire ne dit pas de quoi, coliques, vieillesse... http://aufildesmotsetdelhistoire.unblog.fr/2014/05/20/adieu-lami-adieu-tapanar/
  3. "Et un petit aparté,attention à votre orthographe" L'hospice se moque, comme d'habitude, de la charité? De plus,je vous direzque d'après moi,l'armée est la pour protéger nos concitoyens, et ayant usé de violence sur un(ou plusieurs) de ceux-ci,il me parait peu probable que la commission accepte,mais ceci n'engage que mon avis personnel,donc une petite chance est envisageable! Pour la légion je ne peux vous en dire quoi que ce soit,des personnes plus avisés vous en diront sûrement plus! Et enfin,comme le dit Auréliane,il faut absolument être franc avec votre conseillé,et j'insiste vraiment sur ce point,car tout le monde peut faire des erreurs,mais il faut montrer qu'on en a tiré des leçons,non pas qu'on veux y échapper,sachant que bien que vous expliquiez au recruteur le pourquoi du comment,encore une fois,seule la commission prendra une décision,et que eux ne prendront pas la peine de vous écouter, mais jugerons sur votre dossier,et si vous avez de la chance,et que vous avez su vous expliquer devant le recruteur,"peut-être" que ce dernier aura mis un petit commentaire! Et si vous voulez mettre toutes les chances de votre côté,il faudra assurer aux tests au CSO,et pas que le sportif,mais aussi et surtout au niveau du comportement,de votre personnalité,profil psychologique,et tout çà sans mentir sinon ils le verront et la sentence sera irrévocable encore une fois!
  4. La solde du maistrancier débutant est en effet plus volontiers de 1200 € et des brouettes sans compter les primes. Ces dernières sont moins significatives pour les fusiliers que pour par exemple les personnels aéro pour qui elles ne sont pas loin de doubler la solde. On peut éventuellement comprendre que la marine s'intéresse à des profils bac+n (où n reste généralement petit) pour certaines spécialités techniques à l'école de maistrance, mais pour les fusiliers marins? Un bac AB ne signifie rien, ils sont aujourd'hui une proportion très importante des bacheliers, et puis il faudrait encore savoir de quel bac on parle, et quand bien même la mention serait-elle B (eux-aussi largement plus importants que par le passé) que je ne suis pas persuadé que la marine cherche avant tout des forts en thème plutôt qu'un profil et une motivation. En tout cas, je connais fort bien un ancien maistrancier, aujourd'hui officier, et qui n'a pour tout viatique qu'un bac S (mention passable tant il avait horreur à se donner du mal à ce qui ne l'intéressait pas) et d'avoir un peu passé de temps dans un enseignement supérieur qui l'emm.. pour les mêmes raisons et dont il est sorti sans aucun diplôme.
  5. Je ne vois pas en quoi c'est mieux et il me semble que, de toute façon, l'état a déjà tranché: les deux forces sont toutes deux sous tutelle du ministre de l'intérieur et ont reçu des compétences géographiques différentes, histoire d'éviter qu'elles se "marchent sur les pieds". On peut supposer que cette organisation risque d'être préjudiciable à la communication des informations sur telle ou telle enquête, même si souvent dans le passé des composantes d'une même force (je pense plus particulièrement à la police) se sont trouvées en concurrence nuisible sur une même affaire. Pour autant, chacune garde certaines spécificités: par exemple Sarkozy a viré au profit de la police les gendarmes du GSPR, tandis que la gendarmerie dispose d'unités spécifiques (garde républicaine, gendarmerie maritime, PGHM...) et de déploiements OPEX à travers notamment sa prévôté. étant entendu qu'il est impensable de supprimer la police nationale (et ce bien qu'elle se désengage de plus en plus de ses missions au profit des milices privées et de celles publiques que sont les polices municipales), il est de toute façon inenvisageable de gommer d'un trait une arme aussi riche d'histoire et de traditions que la gendarmerie nationale.
  6. C'est tout vu, ou bien alors c'est que chacun peut s'asseoir à volonté sur toutes les lois, textes, règlements et arrêtés. Une décision, prise par extraordinaire par un médecin ne se conformant pas à ces arrêtés quand ils ne souffrent pas de marges d'interprétation (du type sigle Z de X à Y) n'a pas de sens s'il fait son travail et sera censurée peut-être avec moins d'effet immédiat que les redoutables aptitudes CEMPN, mais le sera forcément. A plus de 1,96m (et j'ignore pourquoi, peut-être le format des télésièges?) on n'est pas troupe de montagne, point barre. Comme on ne l'est pas dans la chasse (et là, les raisons sont évidentes, la taille du cockpit et des segments ramenée à celle du siège éjectable). Ou bien, c'est qu'il convient, même si on couche avec le médecin, de s'asseoir sur l'ensemble des arrêtés dont il est censé être le garant à travers le SIGYCOP, ou bien encore que nous vivons dans une république bananière: c'est juré, je n'ai pas loin de 60 ans, je ne vois plus si clair, mais si le médecin, s'appuyant sur des textes à la c... ne m'admet pas au commando Hubert, je lui rentre dedans...
  7. En effet: PACS Christi, ile ne se marièrent pas et n'eurent pas beaucoup d'enfants.
  8. J'oubliais: à cette "hauteur", le "risque" réside plus volontiers dans le poids que dans la taille http://www.boc.sga.defense.gouv.fr/pdf/2008/2008_036_p_defe0851849j_40090.pdf puisqu'il n'y est pas obscène de dépasser les 90kg fatidiques. Et le "risque inverse" existe aussi, puisqu'un poids significativement inférieur à cette limite pourrait faire taxer le sujet sinon de "maigreur" (qui n'est pas interdite), au moins de "musculature satisfaisante chez un sujet gracile" (G2) ou "musculature médiocre" (G3).
  9. L'instruction N° 812/DEF/RH-AT/PRH/LEG relative aux normes médicales d'aptitude applicables au personnel militaire de l'armée de terre dispose: 3.2.1. Restrictions particulières Taille minimale 1,65. Certaines fonctions de pilote et de servant d'engin lourd, moyen et léger de combat. 1,60. Pilote d'aéronef. Taille maximale. 1,90. Pilote et servant d'engin lourd, moyen et léger de combat. 1,96. Pilote d'aéronef et: 5. PROFIL MÉDICAL MINIMAL D'APTITUDE SPÉCIFIQUE À UN MILIEU OU À UN ENVIRONNEMENT Observation (16) applicable aux troupes de montagne et au service incendie BSPP (16) Taille comprise entre 1,60 m et 1,96 m. Pour les troupes de montagne, indice de masse corporelle (IMC) inférieur à 26. A contrario, il n'y de limite pour les TAP ni dans l'aptitude spécifique, ni dans le SIGYCOP général qui se contente de: La taille, en l'absence de pathologie sous-jacente influant sur le profil médical, ne constitue pas une cause médicale d'inaptitude si elle est en harmonie avec le poids et la musculature. Il appartient à chaque armée, direction ou service de préciser dans les textes réglementant l'aptitude à l'engagement, d'éventuels critères de taille selon la spécialité postulée.
  10. Serait-ce le syndrôme Lazare Ponticelli? (Il en reste de moins en moins, des vétérans de la bataille de Normandie). Qu'a-t-il donc fait d'exceptionnel, ce Monsieur Sullivan, à part, comme tant d'autres de la 82ème, atterrir là où il ne fallait pas et se retrouver esseulé avec quelques compagnons d'infortune, lui valant logiquement d'être fait prisonnier par l'ennemi?
  11. Oui et non. Dans les spécialités "techniques" où la formation est longue et coûteuse (je connais mieux aéro que sous-marins, mais la situation n'est peut-être pas si différente), la logique voudrait en effet que l'on forme les personnels aussi tôt que possible, de manière en effet à rentabiliser leur contrat. Mais on continue d'assurer la formation initiale des jeunes dans des proportions qui dépassent largement le "taux d'attrition" tandis que, à l'autre bout, il y a une hémorragie d'officiers mariniers supérieurs expérimentés (malgré parfois des incitations financières pas négligeables pour les garder), et donc d'instructeurs. Dans la pratique, les jeunes peinent à acquérir toutes leurs qualifications parce qu'ils sont relativement nombreux, parce qu'il n'y a pas assez d'instructeurs, et parce que certaines qualifications exigent une débauche de moyens conjoints (présence par exemple, dans le cas qui nous intéresse, de frégates de surface et d'hélicoptères de lutte anti sous-marine, et des personnels qui les arment).
  12. Je n'ai pas dit que tu sera Y5, je n'en sais rien, et seul le médecin peut en décider lors de la visite médicale d'aptitude. A cet égard, cette décision ne peut dépendre que de l'examen lui-même, je ne suis pas médecin, et je doute d'ailleurs qu'un médecin, civil ou militaire, puisse statuer par mail ou sur un forum sans examen clinique. Si la cotation n'est pas fixe (Y4 à Y6), c'est qu'elle dépend de l'intensité des troubles (sans correction, comme précisé). Mais elle peut aussi par exemple dépendre du pronostic: statistiquement, cette pathologie décelée jeune est un critère d'évolution ultérieure plus grave, et cela est peut-être susceptible d'abaisser la note. Quoiqu'il en soit, ce que je voulais dire, c'est qu'il n'y a, schématiquement, que 2 cas de figure: -Y6: on est renvoyé à ses foyers et l'on parle d'autre chose -Y4 et Y5: si, de mémoire, des examens d'aptitude révisionnelle dans certaines situations peuvent admettre Y4 à la place de Y3 précédemment, à l'engagement, c'est pareil puisque ce n'est pas Y3. Toujours très schématiquement, Y5 (ou Y4) n'interdisent ni l'inscription dans les CPGE, ni l'admission dans les écoles, ni l'incorporation, mais confinent le sujet à "des activités de soutien". Je ne fais donc que répéter que, dès lors qu'on sait que l'on ne sera pas Y3, reste à ne pas être Y6 et, entre les deux, à ne postuler pour l'engagement que si l'on est sûr de pouvoir s'accomplir dans les spécialités qui restent ouvertes (voir INSTRUCTION N° 812/DEF/RH-AT/PRH/LEG relative aux normes médicales d'aptitude applicables au personnel militaire de l'armée de terre., B.O. Armées, 15 octobre 2012, édition chronologique n°46 du 29 octobre 2012) et en étant conscient que cette situation limitera probablement l'évolution de carrière (les mauvaises langues diront que cela ne change pas grand-chose, puisqu'il est maintenant prévu d'encourager y compris une partie des officiers de carrière vers la sortie à chacun des grades de capitaine, commandant et lieutenant-colonel). La seule solution pour en avoir le coeur net consisterait à consulter un ophtalmo militaire (par exemple HIA Val de Grâce) mais d'une part, même une telle visite n'a pas formellement valeur d'expertise médicale d'incorporation, d'autre part je ne sais pas si un civil peut solliciter une visite dans ces conditions et combien elle serait facturée (c'est sûrement beaucoup moins complexe que les visites médicales CEMPN qui, quand elles sont facturées non pas directement aux compagnies aériennes mais aux civils demandeurs, coûtent un bras...).
  13. Je n'ai pas dit que tu sera Y5, je n'en sais rien, et seul le médecin peut en décider lors de la visite médicale d'aptitude. A cet égard, cette décision ne peut dépendre que de l'examen lui-même, je ne suis pas médecin, et je doute d'ailleurs qu'un médecin, civil ou militaire, puisse statuer par mail ou sur un forum sans examen clinique. Si la cotation n'est pas fixe (Y4 à Y6), c'est qu'elle dépend de l'intensité des troubles (sans correction, comme précisé). Mais elle peut aussi par exemple dépendre du pronostic: statistiquement, cette pathologie décelée jeune est un critère d'évolution ultérieure plus grave, et cela est peut-être susceptible d'abaisser la note. Quoiqu'il en soit, ce que je voulais dire, c'est qu'il n'y a, schématiquement, que 2 cas de figure: -Y6: on est renvoyé à ses foyers et l'on parle d'autre chose -Y4 et Y5: si, de mémoire, des examens d'aptitude révisionnelle dans certaines situations peuvent admettre Y4 à la place de Y3 précédemment, à l'engagement, c'est pareil puisque ce n'est pas Y3. Toujours très schématiquement, Y5 (ou Y4) n'interdisent ni l'inscription dans les CPGE, ni l'admission dans les écoles, ni l'incorporation, mais confinent le sujet à "des activités de soutien". Je ne fais donc que répéter que, dès lors qu'on sait que l'on ne sera pas Y3, reste à ne pas être Y6 et, entre les deux, à ne postuler pour l'engagement que si l'on est sûr de pouvoir s'accomplir dans les spécialités qui restent ouvertes (voir INSTRUCTION N° 812/DEF/RH-AT/PRH/LEG relative aux normes médicales d'aptitude applicables au personnel militaire de l'armée de terre., B.O. Armées, 15 octobre 2012, édition chronologique n°46 du 29 octobre 2012) et en étant conscient que cette situation limitera probablement l'évolution de carrière (les mauvaises langues diront que cela ne change pas grand-chose, puisqu'il est maintenant prévu d'encourager y compris une partie des officiers de carrière vers la sortie à chacun des grades de capitaine, commandant et lieutenant-colonel). La seule solution pour en avoir le coeur net consisterait à consulter un ophtalmo militaire (par exemple HIA Val de Grâce) mais d'une part, même une telle visite n'a pas formellement valeur d'expertise médicale d'incorporation, d'autre part je ne sais pas si un civil peut solliciter une visite dans ces conditions et combien elle serait facturée (c'est sûrement beaucoup moins complexe que les visites médicales CEMPN qui, quand elles sont facturées non pas directement aux compagnies aériennes mais aux civils demandeurs, coûtent un bras...).
  14. La première guerre mondiale était le fait d'une "nation de paysans": bretons ou corses, ne parlant pas toujours français, ils sont allés au combat bien sûr parce qu'ils avaient été mobilisés, mais sans se poser aucune question. C'est à l'approche de la seconde guerre mondiale que les choses ont changé, en Bretagne comme ailleurs: Evidemment, Sein (Compagnon de la Libération, à l'identique de Mathurin Henrio qui en fût, à titre posthume, le plus jeune) était "le quart de la France", et d'autres se battirent à Saint-Marcel. Et d'autres, comme Breizh Atao, confondirent autonomie ou indépendance avec la collusion la plus rance avec l'ennemi. Ceux de Bédée ou d'ailleurs se sont battus comme toute une Nation qui, moins de 20 ans plus tard à Münich, avait, comment dirai-je, des valeurs très différentes sans qu'on puisse (sauf à pardonner à Breizh Atao l'impardonnable) les en incriminer, ainsi va l'Histoire...
  15. Je n'ai pas trop le temps de faire ce soir l'exégèse de cette situation (et je suis professionnel de santé, mais pas médecin, et civil, et je ne comprends en outre pas grand-chose à l'armée de terre). Je ne fais donc qu'attirer l'attention sur certains points. -Un profil Y5 est "compatible avec la majorité des activités de soutien", et n'est donc pas éliminatoire au recrutement. -Chaque CPGE militaire (dans le civil, on fait ce que l'on veut) est en droit d'édicter ses propres critères à cet égard. Je ne connais que ceux du Lycée Naval (Y5 suffit), mais il y a bien sûr un hic: la qualification la plus évidente de l'officier de marine (le brevet de chef de quart passerelle) requiert Y3 initial. -"L'aptitude révisionnelle" (qualifiée de "renouvellement sous conditions") admet, pour schématiser et dans l'exemple que j'ai pris, que l'officier déjà expérimenté et qualifié chef de quart pourra ne présenter qu'une qualité Y4. Pour résumer, il n'est dans ces conditions pas impossible de suivre une CPGE militaire et d'intégrer à suivre une des grandes écoles militaires. Mais, si l'on ne veut pas être cruellement déçu, il convient de se souvenir que les postes et spécialités "exposés", ceux-là mêmes qui ouvriront toutes choses égales par ailleurs une carrière prestigieuse, resteront sans doute à jamais fermés. Mais pas ceux de "l'administration militaire" y compris à haut niveau, par exemple (décidément, je ne connais, un peu, que cela) ceux de commissaires ou d'AAM dans la Marine. Et, du moment que l'on est coté même Y5 "sans prothèse de contact", ça passe (sauf règlement contraire de certaines CPGE) tant dans ces CPGE qu'à l'admission dans les grandes écoles: la seule chose intéressante, c'est ce qui se passe une fois admis dans les deux.
  16. C'est fou d'ainsi vouloir nier à la fois la connaissance interne que certains en ont et l'évidence à la portée de tous. L'armée française est divisée en 4 corps d'armes (on oublie volontiers la gendarmerie), l'armée de terre (puisqu'on en parle), étant composée de plusieurs armes. Certaines armes (comme l'ALAT) ont un commandement spécifique et il existe à l'inverse des commandements spécifiques de structures qui ne sont pas des armes (Légion, commandements interarmées...). Sauf erreur de ma part, la notion de "corps d'armée" a disparu de l'armée d'aujourd'hui, restant "seulement" des personnes qui ont ces rangs et prérogatives. Mais, trêve de blabla, adressons-nous au Bon Dieu plutôt qu'à Ses Saints: http://www.legion-etrangere.com/ (La Légion est une) "Troupe combattante interarmes" et: "Le général Commandant la Légion étrangère est directement subordonné au chef d'état-major de l'armée de Terre. " Donc ni "autonomie", ni "indépendance", ni pertinence du fait que "c'est elle qu'ont envoie toujours en premier" (sic), quand bien même cela serait vrai alors que savoir qui l'on positionne en priorité où et selon les besoins ne relève que de l'autorité politique et de celle des CEMA et ici CEMAT.
  17. Mais malgré tout, et si c'est comme dans la marine, les OSC sont présentés au drapeau de l'école à laquelle ils sont rattachés et font l'objet, comme tous les officiers (et même certains sous-officiers, mais c'est une autre histoire), d'une cérémonie de remise des sabres qui est d'autant plus un moment privilégié s'ils ont pu choisir un parrain (ou une marraine...) qui leur est cher et si certains de leurs proches ont pu y assister. Et il me semble que, même s'ils ne portent pas davantage le casoar que les élèves de l'EMIA, les OSC du 4ème bataillon prennent également part au Triomphe, que j'ai vu il y a longtemps en qualité de "riverain" (je suis d'origine morbihannaise) et qui est une cérémonie spectaculaire et émouvante que tout un chacun passant par là devrait aller voir.
  18. L'acuité auditive, résultant d'un test d'audiométrie tonale par voie aérienne n'est pas, la preuve, le seul paramètre entrant dans le sigle O. Cette audiométrie rend, pour chaque oreille, une plage audiométrique niveau sonore (dB) contre fréquence (Hz) symbolisée, du meilleur au moins bon, par les chiffres romains de I à V, le sigle O pour acuité auditive étant obtenu par combinaison des valeurs pour chaque oreille: il n'est donc pas question d'une notation chiffrée sur 10, 20, ou ce que l'on voudra. En revanche, les mêmes textes officiels, excluant la chirurgie de l'oreille moyenne cotent la perforation tympanique isolée: Perforation tympanique, quel que soit l'aspect, unilatérale ou bilatérale. O 3 à 5 Cela est donc indépendant de l'aspect sinon de la taille, et en théorie seul le sigle O5 provoque des "restrictions majeures d'activité" tandis que, dans la pratique, aucun recrutement n'est possible (je passe sur les fonctions très particulières exigeant O1) sans un SIGYCOP à O3 (et O2 dans quelques spécialités ou fonctions spécifiques). Aucun recours autre que de voir requalifier la perforation O3 plutôt que O5 (mais à quel titre?) ne semble possible.
  19. C'est quand même moche que Internet, une grande idée, des connaissances à l'infini à portée de clic de tout un chacun, soit devenu le domaine du pire, le "Closer" de l'information, la négation même de l'objectivité. Amel Bent, si l'on en croit Wikipédia "se destinait à des études de psychologie" alors que, née en 1985, elle a "concouru" à la "Nouvelle Star" en 2004, soit à 19 ans: peut-être finalement n'est-elle même pas bachelière, à l'instar d'un autre minable encensé par les media (Michel Lebb, souvent présenté comme agrégé de philosophie alors qu'il n'en détient qu'une maîtrise). Maintenant, c'est sûr que si on appelait Amel Bent ou Nabila à la défense des aptitudes TAP, elles partagent un polygone de sustentation qui est leur seule gloire et qui a peut-être, qui sait, des qualités aérodynamiques qui d'ailleurs leur permettent de s'envoyer en l'air...
  20. On ne cesse de répéter que le moral des militaires est en berne. A en croire "Le Monde.fr", la parade a été trouvée, et consisterait, quitte pourtant à chercher à y injecter davantage de logique formelle (ou au moins son "Canada Dry") que de morale, à mathématiser ce moral. http://www.lemonde.fr/politique/article/2014/05/28/la-folle-equation-qui-calcule-le-moral-des-militaires_4428199_823448.html#xtor=RSS-3208 Je reconnais humblement, et bien que je sois diplômé de sciences trop appliquées pour elles aussi être exactes, que je n'ai rien compris (ni d'ailleurs cherché à le faire). Les mauvaises langues prétendraient que, même s'ils n'ont le plus souvent leur place dans nos armées qu'en qualité d'OSC, il faut au moins sortir de Sciences Pipeau (ou, comme le disait Coluche, avoir fait 2 ans de droit et tout le reste à l'envers) pour élaborer de telles élucubrations. En tout cas, je n'interviens céans que pour solliciter de l'aimable assistance une collecte préventive de comprimés d'aspirine tant le survol de cette ubuesque plaisanterie m'a occasionné de fortes migraines, ce avant même que je cherche à en comprendre la cabalistique, et affectant gravement mon moral: mais cela n'a aucune importance, puisque je suis civil (ou qu'en tout cas je fais le maximum pour le rester...).
  21. Même pas. Le secret défense ne peut formellement être invoqué que quand l'autorité, sollicitée par la justice pour témoigner, s'est retranchée derrière lui pour ne pas le faire. Or, tel n'a pas été le cas. La justice s'appuie dans son non-lieu sur les résultats de l'enquête du BEA Mer, qui concluent à un accident de pêche. Le MINDEF de l'époque (MAM) a formellement déclaré (questions au gouvernement, A.N., 4 mai 2005) avoir demandé et obtenu (via la Préfecture Maritime de l'Atlantique) des autorités britanniques la liste de tout ce qui bougeait sur zone le jour en question (bâtiments civils, interalliés, et britanniques indépendants de l'exercice OTAN) et communiqué la position des sous-marins français. Il en ressort soit qu'aucun sur zone ne peut être incriminé, soit que les autorités britanniques et/ou françaises ont sciemment falsifié ces listes. C'est cette dernière thèse qui nourrit d'autant l'hypothèse du complot que le BEA dépend également d'un ministère (transports) et que la défense met aussi en cause de ce fait son indépendance: mais là, on va très loin, puisque la collusion simultanée de 2 ministères ne saurait être entreprise qu'au plus haut niveau de l'état. Si secret défense il y a eu, c'est à un niveau beaucoup plus modeste, la défense ayant souhaité entendre les enregistrements sonores de tous les bâtiments disposant "d'oreilles" à proximité (et y incluse la frégate Primauguet).
  22. La chambre d'instruction du TGI de Nantes vient de rendre un non-lieu dans l'affaire du Bugaled Breizh. Maître Dominique Tricaud, avocat d'une des parties civiles, a aussitôt déclaré sur les ondes qu'il entendait former appel près la Cour d'Appel de Rennes, en répétant les motifs qu'il avait déjà exposés à cette chambre d'instruction sans les voir prospérer: http://www.lemarin.fr/tl_files/_media/Newsletter/Documents_annexes/2013/SLRTricauddemandeactes.pdf Il met en cause l'expert qui a été désigné, le CA(2S) Dominique Salles, ancien commandant de l'escadrille des SNLE. "Les incohérences, erreurs et approximations contenues dans les rapports de Dominique SALLES sont nombreuses. Elles ne sont pas fortuites et ont systématiquement conduit l’expert à écarter la responsabilité des sous-marins mis en cause." Maître Tricaud suggère que le CA Salles ne saurait être indépendant et impartial: "De par sa carrière militaire, Dominique SALLES est donc intiment lié à l’OTAN et aux autorités des marines européennes, au premier rang desquelles la Marine française et la Royal Navy" En clair, et il a écrit par ailleurs que, s'il était "réserviste" (sic), le CA Salles restait officier, la thèse de Maître Tricaud est qu'il a agi "en service commandé", même si ces mots précis sont la paternité d'un autre des avocats (Maître Kermarrec), et ce qui revient à l'accuser, en sa qualité d'expert, de forfaiture. http://www.letelegramme.fr/informations/bugaled-breizh-des-doutes-sur-l-expertise-24-06-2011-1347697.php Notons que Maître Kermarrec suggère l'hypothèse d'un sous-marin britannique ou français, tandis que Maître Tricaud met en cause sans démontrer ses présomptions le seul HMS Turbulent et que ses expertises techniques avaient amené le CA Salles à conclure que, si sous-marin il y avait, il ne pouvait être qu'américain. Voilà en tout cas notre amiral sérieusement "habillé pour l'hiver"...
  23. Il y a une rubrique spéciale du forum intitulée "présentation" par laquelle tu dois passer. Cela dit, il convient, comme d'habitude, de se reporter à l'arrêt du 20 décembre 2012, qui dispose: Article 10.3.8 - Affections de l'appareil génital masculin (index 170) (...) Ainéa 3: Hydrocèle: -selon volume: G2 à G3T -opérée: G2 En français, une hydrocèle est le plus souvent idiopathique, mais parfois récidivante: il y a donc lieu de lui attribuer un indice temporaire T le temps que soit elle soit opérée, soit que soit exclue une cause pathologique (blessure, infection, hernie inguinale, cancer des testicules...). Elle doit donc logiquement entraîner inaptitude temporaire et examens complémentaires si elle est présente à la visite médicale. Le classement définitif G2, quand il intervient, autorise la quasi-totalité des spécialités militaires, mais encore faudrait-il savoir celle à laquelle tu te destines.
  24. D'après la prose de la Marine nationale, c'est en effet 2 ans. La formation de "l'atomicien de propulsion navale" n'est pas tout à fait la même selon qu'il est officier et déjà ingénieur (école navale ou ingénieur de spécialité énergie), officier "interne" (OSM), ou officier marinier. Le RNCP ne prévoit l'équivalence d'ingénieur atomicien civil que pour ceux qui détiennent déjà un cursus ingénieur (CTI), et seulement une licence pour les autres. Les officiers mariniers doivent au préalable être titulaires du BS. http://marine.marins.free.fr/recrutement/atomicien.pdf
  25. La réponse à la question est précisément apportée ce jour même par ailleurs sur le forum. Il suffit de chercher (un peu) et de lire (beaucoup, c'est toujours utile).

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