Choix de page

Aller au contenu
Aumilitaire

brucine

Membres actifs
  • Compteur de contenus

    878
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par brucine

  1. Pourquoi, Auréliane? Si l'on excepte un trait d'humour certes un peu gras, je suis et j'ai toujours été pour ma part un fervent défenseur de l'affectation des femmes dans tous les emplois (la quasi-totalité, et les sous-marins en font partie) où des critères exceptionnels de force physique ne sont pas requis. Et je ne comprends d'ailleurs même pas (en dehors des "problèmes d'intendance") que l'on se pose la question de savoir si cette affectation est bonne ou mauvaise. Je n'ai fait que profiter de la "discussion" pour sauter non pas sur des officiers supérieurs ou pas, voire des "marinettes", mais pour évoquer une question subsidiaire techniquement intéressante qui est celle de la détermination de l'aptitude médicale sur SNLE (et ce quel que soit le sexe du militaire concerné).
  2. Oui, mon fils (qui n'est pas biffin mais fayot, et pas pilote mais officier TACAE) râle assez que en la "qualité" supplémentaire "d"officier sports" pour laquelle il a été désigné volontaire, il passe son temps à gratter davantage des mails que du papier, mais ça ne change pas grand-chose: l'armée dans laquelle il n'existera plus un rapport en 3 exemplaires de qui a éternué à quel moment ne sera plus l'armée.
  3. Le MINDEF a réfuté dernièrement toute "discrimination positive". Pour autant, en effet, les premières candidates sélectionnées sont des officiers supérieurs à la fois, comme il a été évoqué, pour des raisons de "logement", mais aussi parce que l'on imagine que le marin de base "mettra moins volontiers la main" sur un officier supérieur ayant montré son expérience du commandement. Mes grandes oreilles m'ont toutefois rapporté que des chefs d'unité avaient approché des officiers subalternes pour leur demander leur sentiment sur ces postes, personne ne disant s'ils l'ont fait sous couvert de leur hiérarchie ou s'ils se contentent de couvrir leurs arrières au cas où... Concernant l'aspect "médical" de la chose, il s'est en effet trouvé il y a longtemps un chirurgien de bord d'un SNLE atteint de l'appendicite, obligeant le SNLE en question à faire surface au milieu de nulle part pour l'évacuer, ça fait désordre. Je ne sais pas pour autant comment, en dehors de l'appendicite, on peut atteindre le "risque pathologique zéro", imaginons par exemple un type de méningite non vaccinable, catastrophe assurée... L'idée d'un test de grossesse me semble exotique puisque, même pratiqué la veille du départ (et admettant qu'il ne puisse jamais s'agir d'un faux négatif, certes moins fréquent si c'est la béta HCG plasmatique que l'on recherche), il n'est pas forcément capable de prémunir du risque de grossesse pendant toute la mission. On ne peut d'ailleurs, concernant des grossesses présumées plus anciennes, rechercher une aménorrhée qui n'est que déclarative. Bref, peut-être oblige-t-on "moralement" les personnes en question à un moyen de contraception (bien qu'aucun ne soit fiable à 100%). Ou peut-être est-ce une raison supplémentaire de recruter des officiers supérieurs: avec un peu de chance, une frégatonne qui n'aura pas fait une carrière très brillante sera déjà ménopausée...
  4. Le sigle T est par définition temporaire et ne préjuge pas la cotation définitive, à la hausse ou à la baisse, selon ce que des investigations complémentaires permettront de découvrir. L'hématurie en elle-même n'est pas forcément un symptôme extraordinaire. Microscopique et isolée, elle ne côte que G2. Macroscopique, elle peut néanmoins avoir des causes très bénignes (par exemple prostatite) ou beaucoup plus redoutables (certaines néphrites et néphropathies, bilharziose...). Toutes pathologies, d'ailleurs, dans lesquelles l'examen radiologique n'est que de peu secours.
  5. Non. Outre que la situation des OSC (qui dans l'avenir seront proportionnellement de plus en plus nombreux) n'est pas traitée, on peut fort bien, même si c'est anecdotique, devenir officier de carrière en externe (à partir du civil) sans avoir présenté le concours CPGE: http://www.recrutement.terre.defense.gouv.fr/bac-3-5/avec-votre-niveau-d-etude/engagez-vous-comme-officier-sur-titre http://www.recrutement.terre.defense.gouv.fr/bac-0-2/avec-votre-niveau-d-etude/engagez-vous-comme-eleve-officier-en-formation-initiale-en-allemagne Cela dit, la demoiselle semble d'une part s'intéresser non pas aux voies de recrutement, mais aux différents cursus une fois l'école intégrée, et d'autre part poser une question qui porte, si je ne m'abuse, non pas sur l'ESM mais sur l'ERM, qui en est l'équivalent belge et dont j'ignore tout.
  6. Oui, dans le temps, on envoyait les bidasses chercher la clé du champ de tir, et les apprenties de ma coupable profession chercher du "sirop de Cordum". Les temps changent...
  7. Elle en est en effet politique, et ce qu'on lit tous les jours dans tel journal du soir dont les lecteurs sont plutôt de gauche et souvent fonctionnaires est que, plutôt de que geler le point d'indice des fonctionnaires, il faudrait mettre au régime les militaires. Comme s'ils n'avaient pas été, et ne continuent pas, à être les premières victimes des économies budgétaires, et ce d'autant que, c'est bien connu, elles sont "muettes". L'état "non-opérationnel" ou quantitativement insuffisant sans parler des ressources humaines, d'une partie significative de nos matériels coûteux (les exemples les plus frappants sont la montée en charge des programmes Rafale et NH90, en attendant quoi on essaie de boucher les trous avec des appareils obsolètes quand ils fonctionnent) en est le témoin, sans compter que, même quand les matériels sont disponibles, leur quota d'utilisation suffit à peine à couvrir les missions opérationnelles au détriment de l'entraînement et de l'instruction. Oui, la solution est politique, et revient à ce que les élus accréditent auprès des électeurs, on peut toujours rêver, que la souveraineté nationale mérite au moins autant de sacrifices économiques que de nommer 60 000 nouveaux enseignants histoire de bourrer les urnes.
  8. Et il s'y trouve même des articles que j'ai trouvé purement scandaleux, comme celui-ci: https://www.aumilitaire.com/1245-lexecution-du-colonel-jean-bastien-thiry-le-11-mars-1963-2.html Commençant par noter que Bastien-Thiry n'était pas colonel, ni même lieutenant-colonel, mais un "planqué" (ingénieur militaire de rang équivalent), les raisons prêtées à De Gaulle d'avoir gracié ses acolytes mais pas lui sont que: -il n'avait (courage, fuyons) pas eu celui de perpétrer lui-même ce qu'il avait fomenté -et il avait, ce faisant, mis en danger la vie de gens qui n'y étaient pour rien (Madame De Gaulle dans la voiture, et des quidams qui avaient eu le mauvais goût de circuler sur la voie publique à cet instant). On pourra gloser tant qu'on voudra sur la légitimité de la Cour de Justice et même sur celle d'un chef d'état dont certains ne cessèrent d'attaquer le "coup d'état permanent" pour ensuite mieux se l'approprier qu'il convient de se souvenir du contexte de l'époque, FLN, OAS, attentats, le Dieu des uns et des autres retrouvera les siens. Dans ce contexte, rien d'anormal à ce que Bastien-Thiry ait été fusillé, et n'ayant d'ailleurs pas été retenu contre lui une telle lâcheté qui, malgré son rang d'officier, aurait pu l'amener à être pendu.
  9. Un raccourci curieux? Ce n'est pas parce que les étudiants civils des écoles de commerce ou d'ingénieurs font des stages pendant leurs études que leur cursus n'est pas réputé (et c'est d'ailleurs obligatoire pour la certification des écoles d'ingénieurs, dont l'ESM dans la branche concernée) être (on ne parle plus en années) de 6 semestres après CPGE. Et l'école d'application, c'est la "quatrième année".
  10. Oui, mais eux ont besoin de "voir". Un sous-marin militaire, ça ne descend qu'à quelques centaines de mètres, mais pour voir quoi? Le risque d'être vu est aussi hypothétique puisque, à très faible distance, on ne voit rien non plus de l'extérieur. Je ne suis pas un expert en physique et/ou en acoustique. Sur ce dernier point, je ne sais donc pas si ces hublots augmenteraient les chances d'être "entendu". Ils sont par contre un point de faiblesse à la fois dans la résistance de la coque, sans doute son hydrodynamique, très certainement la résistance à la corrosion et nécessitent des matériaux spécifiques et très coûteux. Cerise sur le gâteau, ils commettraient le crime suprême sur ce type de bâtiment: prendre une place chèrement dévolue à autre chose. Pourquoi, dans ces conditions, faire quelque chose qui, dans le meilleur des cas, ne servirait à rien?
  11. Il me semble, oui, bien que la question n'ait pas grand sens. En effet, l'instruction 102 relative à l'aptitude dans la marine nationale (http://www.netmarine.net/tradi/engagez/792-810%20aptitude%20medicale.pdf) ne dit rien du SIGYCOP des navigants, se contentant de renvoyer "aux annexes p) et q)", lesquelles disposent des standards d'aptitude médicale des personnels navigants des armées (dits "standards aviation", SGA, SVA, SCA, SAA, dont seuls SVA et SCA concernent la vision). Il convient donc de se reporter à: http://www.boc.sga.defense.gouv.fr/pdf/2008/2008_014_p_defe0850474j_37095.pdf lesquelles aptitudes sont appréciées par le CEMPN de l'HIA Ste Anne à Toulon dès lors que l'on sollicite un emploi navigant. L'ELBOR doit au minimum avoir SVA 4 et SCA 2.
  12. Tant qu'à faire, pourquoi pas aussi les différentes spécialités aéro ELBOR, assez proches (peut-être davantage sur hélicoptère que sur avion, où passer son temps devant des appareils en tranche cargo n'est pas forcément fascinant)? Et qui, c'est un plus appréciable, bénéficient des différentes primes aéro augmentant largement la solde d'un second maître débutant. Elles requièrent bien sûr l'habilitation médicale personnel navigant, mais pas la mer à boire pour un jeune sportif et en bonne santé.
  13. http://www.leparisien.fr/societe/enquete-ce-mal-etrange-qui-ronge-les-anciens-d-albion-21-04-2014-3784045.php
  14. A Maistrance non plus, ils ne font pas carrière, sauf à passer les brevets supérieurs ou à réussir le concours d'officier de carrière en interne (ou à prolonger leur carrière en y substituant celui d'OSC). Ces possibilités sont simplement plus grandes pour le maistrancier que pour le QMF, pour qui elles passent toujours (sauf pour les OSC), par être au préalable promus maistranciers.
  15. Un certain nombre des cuisiniers les plus prestigieux n'a débuté qu'avec un CAP et si certains font exception (comme Roellinger qui était ingénieur chimiste), aucun n'est à ma connaissance polytechnicien. Maintenant, et si en effet le rata de base est souvent délégué à l'extérieur, la théorie veut malgré tout que, quand il ne l'est pas, des cuisiniers qui ne sont pas forcément des cadors le préparent, il faut tout de même un pro des conditions de préparation en collectivité. Et, à la marge, il continue d'y avoir de vrais cuisiniers dans la Défense, ne serait-ce que ceux détachés au nom du secret défense à servir des "clientèles sensibles" (ambassades, palais de l'Elysée...).
  16. Ce qui, d'ailleurs, est très souvent approximatif. On ne prend pas le temps de lire l'ensemble du contrat, les clauses, les exclusions, les petites lignes, de s'inquiéter de ce qui n'est pas écrit, ou bien on se laisse berner par des offres mirifiques et outrancières, comme "400% de remboursement pour les lunettes et les prothèses dentaires": en arithmétique bien ordonnée, 4 fois zéro, ça fait toujours zéro (ou pour ceux qui préfèrent l'algèbre à l'arithmétique, 4 fois epsilon est aussi négligeable qu'epsilon).
  17. On confond peut-être (et ils font tout pour ça) les activités "maladie" de UNEO et celles de prévoyance (d'ailleurs déléguées par UNEO en réassurance à d'autres organismes). Ce n'est pas parce que l'on souscrit une complémentaire santé à UNEO que cette prévoyance est assurée, elle fait l'objet d'autres contrats optionnels (et évidemment des cotisations qui vont avec). Sur le plan de la maladie, je ne vois rien qui rende UNEO meilleure que, globalement, la concurrence. En revanche, et c'est en effet d'autant plus vrai en OPEX, allez trouver un assureur civil en compensation de solde/invalidité/décès pour des événements survenus au mieux lors d'entraînements quasiment inassurables (des exemples criants sont parachutisme, treuillage...) et au pire lors d'actions de combat. Pour revenir à la question de base (et sauf bien sûr erreur déclarative ou administrative), l'inscription à la CNMSS n'est ni plus, ni moins longue que celle aux régimes étudiants, mais souffre du même handicap: pour un jeune qui n'a jamais travaillé (et qui donc n'a pas une attestation sécurité sociale d'un autre régime), le parcours du combattant, si j'ose, passe par l'interrogation du fichier INSEE centralisé (à Nevers, si j'ai bonne mémoire) après éventuel questionnement d'état-civil auprès de la commune de naissance (si c'est par exemple en Afrique, c'est plus compliqué) et avant mise en oeuvre du dispositif Sésam Vitale, lui aussi centralisé et inter-régimes. Notons à cet égard que la réaction est d'autant plus lente que les régimes spéciaux (dont la CNMSS) ne disposent pas, à l'instar des CPAM et MSA, d'échelon local de proximité. Les mauvaise langues me prétendront que, avant que j'aie eu le temps d'écrire ce qui précède, "l'étranger en situation irrégulière", même s'il ne parle pas un mot de français, aura déjà une attestation de droits sous un numéro provisoire, mais ils n'auront pas entièrement raison, puisque cela se fait à la diligence et aux frais non pas des organismes de sécurité sociale, mais des Conseils Généraux. Last but not least: -L'inscription au régime obligatoire, même si les justificatifs tardent, est rétroactive (sauf peut-être dans le RSI qui ne nous concerne pas) au premier jour de la situation conférant les droits. -Et, mais je laisse à cet égard s'exprimer les spécialistes, il me semble que selon son statut (et en particulier pendant les classes ou les opérations sous les drapeaux), le militaire n'a d'autre choix que de confier sa santé au SSA qui est alors réputé entreprendre les actions nécessaires.
  18. Un "complément alimentaire", c'est une notion juridique qui permet d'y classer à peu près n'importe quoi pour se donner une crédibilité sans passer par les foudres des procédures d'autorisation de mise sur le marché des médicaments. Ils ont par conséquent tous en commun que jamais personne n'a démontré de manière formelle à quoi ils servent ou pas. Je reste persuadé, sauf peut-être (en dehors des pratiques objectivement dopantes) le cas des athlètes de haut niveau chez qui on ne sait d'ailleurs plus très bien quelle part de la préparation est responsable de quoi, et ce n'est d'ailleurs pas ma position personnelle mais le consensus médical à cet égard, que votre condition physique s'acquiert non pas par les perlimpinpins que vous mangez (et tant mieux si, au moins, ils ne sont pas dangereux) mais par un exercice adapté éventuellement accompagné d'une alimentation de même. Le hic, comme disait ou presque un autre, c'est que cela casse le mythe du tout et tout de suite, et que ne s'y trouvent que de la sueur et des larmes. Je vois tous les jours ou presque des tas de gens qui fréquentent la salle de muscu (à l'exclusion de tout sport véritable sauf un peu de footing rapporté et dont on ne sait réellement comment il est conduit) et qui ont vu fondre leur portefeuille, mais pas leur durillon de comptoir: les miracles, même à Lourdes il n'y en pas souvent....
  19. UNEO est une mutuelle (facultative) et qui ne saurait donc avoir aucun pouvoir sur l'inscription du militaire au régime obligatoire de sécurité sociale qui est la CNMSS.
  20. And so what? Seuls les personnels affectés en permanence aux aéronefs sont "qualifiés AVIA": ce n'est pas parce que, dans un passé plus ou moins récent, les hélicoptères de l'aéronavale ont treuillé tel ancien ALFUSCO qualifié commando (l'avant-dernier ne l'a jamais été...)sur un BCR qu'il était, à son âge, encore qualifié AVIA, ou parce qu'ils l'ont fait d'un MINDEF sur un SNLE qu'il l'a jamais été. Je suppose qu'un hélicoptère embarquant de manière circonstancielle des commandos se satisfait qu'ils soient, et c'est déjà pas mal, qualifiés commandos, mais qu'il n'est requis aucune qualification de ce type pour d'autres personnels devant simplement être transportés et projetés au sol ou en mer selon les besoins?
  21. Les critères d'aptitude médicale OSC C-OPS (qui ne sont pas, si j'ose, la mer à boire puisque correspondant à la qualification de chef de quart) sont-ils donc supérieurs à ceux exigés pour la spécialité ENERGNUC à l'école de maistrance et qui sont, eux aussi, destinés à embarquer non seulement en surface mais aussi sur des sous-marins?
  22. On comprend l'intérêt de la gendarmerie à former une partie des officiers en recrutement externe en immersion dans l'école, et donc au mieux des intérêts de tous, mais n'éteignant pas les voies de recrutement externe déjà existantes. Sauf erreur de ma part, il ne s'agit pas d'une CPI au sens où on l'entend le plus souvent, puisque les élèves n'en sont pas admis à l'école sur contrôle continu, mais subissent le concours "comme tout le monde", contrairement à ce qui se passe dans les CPI des grandes écoles d'ingénieurs. Autre différentiel, elle s'adresse à des étudiants déjà formés, par opposition hier aux élèves professeurs (IPES) et toujours aujourd'hui aux cadets du SSA. Pourquoi donc, schématiquement, ne la destiner qu'à des boursiers qui, d'ailleurs, auront bénéficié de ces bourses dans le cursus les menant au master 2? Ne s'y trouve-t-il pas une rupture de l'égalité des chances de tous dans la réussite du concours? Ou, exprimé autrement, comment "les autres" préparent-ils ce concours et à quel prix, sachant d'ailleurs que le boursier titulaire d'un master 2 pourra toujours, s'il n'est pas en situation d'emploi, subvenir à ses besoins lors de la préparation du concours en s'inscrivant dans une école doctorale lui permettant de conserver les bourses en question? Bien sûr, le "CPIste" peut toujours espérer avoir ainsi de plus grandes chances de réussir au concours, et de ne pas sacrifier une année blanche où il n'aurait fait que préparer le concours sans aucune certitude d'y être reçu.
  23. Le fait que la rémunération s'exerce ou non par le biais du CESU n'est pas pertinent. Le champ d'une activité accessoire doit être énuméré au titre de R.4122-26, fait l'objet d'une autorisation hiérarchique préalable aux termes de R.4122-28, et peut voir cette hiérarchie s'opposer à cette activité dès lors que (R.4122-31) "l'intérêt du service le justifie". http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000019527763&fastPos=2&fastReqId=1293494298&categorieLien=id&oldAction=rechTexte
  24. Mon bon coeur me perdra. Profils médicaux AVIA: http://www.boc.sga.defense.gouv.fr/visu/boc_visu4.php?nor=E0850474J&id=19644/ Google est votre ami au même titre que Légifrance: saisissez par exemple "alat profil médical aviation".
  25. L'aptitude médicale des personnels navigants n'est pas visée par le corpus du SIGYCOP lui-même (exception faite de tailles minimale et maximale) mais par une annexe dédiée dite "AVIA" et dont on trouve les références officielles dans ce SIGYCOP. http://circulaire.legifrance.gouv.fr/pdf/2013/08/cir_37370.pdf Je cite: (6) Cf. instruction n° 3300/DEF/EMAT/EMPL/AA - n° 350/DEF/EMAT/BEP/P du 25 février 1987 modifiée, instruction n°800/DEF/DCSSA/AST/AME du 20 février 2008 modifiée, et instruction n° 881/DEF/DCSSA/2/AS - n°900/DPMAA/4/INST du 1er mars 1980 modifiée Toute chirurgie réfractive entraîne de facto l'inaptitude définitive à tout emploi de personnel navigant ou dans les spécialités du contrôle aérien Bon, ce soir, je suis fatigué, Légifrance is your friend: entrez-y donc les références de ces fichues instructions, pas belle la vie? Cela dit, et pour les moins courageux, je dispose de celles de l'aéronavale qui ne doivent pas être très différentes et que je peux mettre en ligne en tant que de besoin. NB: le bulletin officiel des armées fait partie intégrantes des textes réglementaires et législatifs; à ce titre, il est parfaitement public et publié sur Légifrance au même titre que le J.O. de la République, de l'Assemblée, du Sénat ou de ce que vous voulez, et il n'y a en aucune manière de secret défense ou de commission Théodule qui empêche quiconque de le consulter.

© Aumilitaire - Contact - CGU

×
×
  • Créer...