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brucine

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Tout ce qui a été posté par brucine

  1. Ben voyons.... Et comme les juges sont aussi "fonctionnaire de l'état" (bien que actuellement très régulièrement mis en cause pour le plus souvent prendre parti pour les "libertés publiques" au détriment des forces de l'ordre), c'est évidemment par déni de justice qu'ils sont entrés en voie de condamnation. Oh, moi, je ne ramène rien: je suis civil, et à mon âge, je le resterai ad vitam aeternam et bien que, parfois, je le regrette. Ce n'est pas moi qui demande comment entrer dans l'institution, me contenant de rappeler que, malgré mon observation précédente à ce propos, tu continues non seulement à avoir un casier judiciaire documenté, mais à t'exprimer dans un "petit nègre" qui non seulement te dessert, mais rend compte d'une violence et d'une vulgarité tout à fait inappropriées. Libre à toi de penser que, dans ces conditions, nos armées sont la poubelle de qui personne ne veut, et je ne veux pas t'enlever tes illusions, craignant seulement, et dans ton intérêt, qu'elles ne soient pas sauf à ce que tu fasses un effort couronnée de succès.
  2. L'armée veut peut-être bien donner une deuxième chance à ceux dont le casier judiciaire n'est pas vierge, encore que, si effectivement le choix existe, il faudra donner à "l'employeur" une bonne raison d'outrepasser cette situation pour passer devant d'autres candidats qui n'ont pas ce handicap. Nonobstant la raison de cette inscription, nous avons ici un candidat qui, en outre, ne semble pas capable d'écrire deux mots consécutifs en français et là, le cumul devient sûrement pesant. Ne convient-il pas de se remettre soi-même en cause et de tout faire pour progresser avant de faire porter tous les maux à l'institution?
  3. Je ne sais pas à quoi sert, une nouvelle fois, de tourner le couteau dans la plaie de cette horreur, comme à d'autres égards on l'a fait à propos de l'Algérie. Si j'étais médisant, je dirais que ni le régime du "président abattu" ni celui du président actuel qui cherchent à nous donner des leçons sont recevables, puisque résultant chacun d'un coup d'état qui semble être la manière normale de gouverner en cette partie du globe. Maintenant, il est vrai que si marionnettes il y a, c'est qu'il y a forcément des marionnettistes. Oui, la "Françafrique" De Mitterand et de "Tonton m'a dit" (et qui d'ailleurs n'a pas été une innovation puisque existant déjà sous de Gaulle) semble avoir armé et privilégié les uns au détriment des autres parce qu'il se trouvait d'un côté une sphère d'influence francophone, de l'autre anglophone. Oui, des coups tordus dont nous ne connaîtrons probablement jamais les détails se sont sans doute déroulés sous l'égide de la DGSE et de personnalités emblématiques assez troubles (Barril...). Oui, les personnels de l'Ambassade de France à Kigali ont été sacrifiés, après tout, peu importe leur "clan", "ce n'étaient que des africains". Mais non, définitivement non, cela ne suffit pas à jeter l'opprobre sur les militaires de Turquoise, qui n'ont fait qu'obéir et qui n'ont pas à être rendus responsables de cette horreur où la France, que l'on a dit informée loin en amont de risques génocidaires, ne pouvait intervenir sans mandat régulièrement délivré par l'ONU et qui s'en contrefoutait. "Monsieur" Kagame, lui-même un s... de la pire espèce, devrait quelque part avoir davantage de pudeur à évoquer des exactions en lesquelles il et tout sauf innocent.
  4. Je ne suis pas sûr que le "nouveau dogme", pour pesant qu'il soit, soit totalement illogique et que l'on puisse donc en faire appel: admettre qu'un personnel qualifié opex soit stabilisé "sous traitement", c'est aussi sous-tendre, au minimum, que en toutes conditions Glaxo soit capable de fournir au militaire en question un célèbre petit aérosol carrossé en bleu. Et, même si je n'y comprends rien pour y être (c'est le cas de le dire) totalement extérieur, cela est antinomique (comme à d'autres égards telles allergies alimentaires) puisque cela disposerait que, dans les pires conditions qui soient, "l'intendance" soit à même de fournir le flacon en question.
  5. Il y en a effet une ambiguïté dans l'arrêté du 20 décembre 2012, qui est "la bible" en ce qui nous intéresse, et qui traite des matériels d'ostéosynthèse en place en son chapitre I (système locomoteur). Si l'on n'a jamais vu (en dehors du festival du cirque à Monte-Carlo) des gens habituellement se mouvoir sur la tête, il doit cependant être noté que, en son item 1.2.1.2 alinéa 1, cet arrêté ne se réfère pas seulement, concernant les ostéosynthèses en place et quelle que soit leur importance, aux membres supérieurs et inférieurs, mais à l'ensemble des sigles SIG auxquels est attribuée de ce fait la cotation 5. On pourra ergoter tant qu'on voudra que seule la cotation 6 vaut inaptitude définitive à tout emploi militaire que, déjà, l'indice 5 (Loc. Cit., article 3) dispose "des restrictions majeures d'activité, précisées par le médecin". A mon sens donc, et si certaines tolérances peuvent exister pour certains postes en cours de carrière, je ne connais (dans la marine, mais pourquoi en serait-il autrement ailleurs), aucune spécialité qui recrute à S,I, ou G supérieurs à 3.
  6. Sauf erreur de ma part, un marin embarqué ou à terre reste un marin, et bénéficie comme tout le monde des mêmes congés et de permissions sauf roulements particuliers (équipages des SNLE). Bien malin, et selon le type éventuel de bâtiment d'affectation (si ce n'est une base outremer...) et les restrictions budgétaires, qui saura quand et pour combien de temps le bâtiment en question sortira en mer. Mais ce n'est pas pour autant que, s'il n'y est pas, le marin rentrera à la maison au lieu de travailler dans son port d'attache. Reste le problème de la "continuité territoriale", à laquelle je ne comprends rien. Il n'y a plus de marins en Corse (encore que, quelques uns à Aspretto). S'il y a quelques heures libres, le marin affecté à Brest peut rentrer chez lui à Lorient ou à Paris (sauf astreinte); mais la question est alors de savoir si la marine prévoit (outre les tarifs préférentiels déjà existants) des conditions particulières pour les marins habitant "ailleurs" (DOM, Corse...).
  7. Il existe encore des métiers où l'on peut arriver au sommet de la "hiérarchie" sans bac, et où le bac, voire un diplôme spécialisé post-bac, est même un handicap puisque, pendant le temps consacré à ces formations, les autres auront emmagasiné des années d'expérience: je pense notamment à un sujet actuellement très médiatique, les chefs étoilés en cuisine gastronomique. Dans les métiers de l'artisanat, certains Compagnons du Tour de France font aussi des carrières pas "socialement", mais professionnellement remarquables. Il et par ailleurs inexact de dire que 80% d'une classe d'âge obtient le bac: c'est confondre une "classe d'âge" avec ceux qui sont effectivement inscrits dans une classe présentant ce diplôme, et c'est oublier que, au bilan, seuls 36% d'une classe d'âge obtiennent un baccalauréat général et que parmi ces 36%, et même si le bac continue d'être le premier grade universitaire, encore 1 sur 2 à 1 sur 3 sortiront de l'université sans aucun diplôme soit qu'ils n'aient pas été motivés, soit que le niveau de leur bac ne leur ait pas permis de franchir le mur avoué (CPGE...) ou pas (université) de la sélection. Je suis le premier à approuver qu'il faut garder non seulement une "roue de secours", mais aussi un papier qui facilitera l'évolution militaire en obtenant un diplôme aussi "monnayable" que faire se peut. Reste bien sûr à apprécier, dans ce contexte, si certains diplômes professionnels sans bac très valorisés valent moins que tel bac techno ou général peu côté et obtenu sans gloire: avec ou sans bac, c'est toujours la même histoire, ce sont, une fois passés sous silence les hasards heureux ou moins, les meilleurs (je veux dire les plus motivés et les plus courageux) d'une branche déterminée qui souvent réussiront le mieux.
  8. Je sais bien que la Marine étendait hier ses tentacules jusqu'à Nîmes-Garons et aujourd'hui toujours en région parisienne, mais quel tsunami l'aurait amenée à s'échouer à Agen?
  9. Et il y a même pire. Les peintres titulaires de la marine ont rang honorifique de capitaine de corvette, les écrivains du même métal, plus récents mais plus prétentieux, celui de capitaine de frégate (même si leurs rangs comportent actuellement au moins un CA et un CV à titre militaire).
  10. Lors d'une cérémonie de remise des sabres à laquelle j'ai assisté à l'école navale, les OSC internes provenaient d'horizons très divers. Certains avaient donc un brevet de spécialité (aéro, sous-marins, parachutistes..), d'autres pas. Et, comme je suis curieux, j'ai demandé pourquoi, parmi ces jeunes gens sans doute tous aussi méritants, certains n'arboraient aucune médaille, d'autres seulement la Def Nat, d'autres encore jusqu'à 3 décorations et, en effet, la raison en est simple: certains, en fonction de leur spécialité précédente d'officier marinier, avaient participé à des opérations extérieures (Libye, notamment), et d'autres pas. Tel commandant de flottille portait aussi le ruban...du mérite maritime, sûrement pas acquis au combat. Dans le même ordre d'esprit, tout le monde sait que les officiers supérieurs reçoivent à peu près automatiquement "l'eau froide" à 5 panachés et "l'eau chaude" à 5 pleins sans fait de gloire particulier.
  11. Bien sûr, mais à condition de "décortiquer" la poitrine du récipiendaire: Def Nat, par exemple, ça ne raconte pas grand-chose d'autre que l'ancienneté du militaire, et encore, puisque les critères d'attribution des points entrent en compte.
  12. Ce qui est intéressant, c'est que le CV de Lorgeril conteste l'incompatibilité de son statut militaire et de celui d'élu, dans la mesure où il dit n'être investi d'aucun mandat électoral exécutif et n'être que conseiller municipal bénévole d'une liste sans étiquette politique, voir ses arguments de droit à cet égard: http://bsbc.blogvie.com/
  13. Pas entièrement vrai, notamment sur le point deux. Un certain nombre de diplômés de l'enseignement supérieur (c'est par exemple le cas des médecins et des pharmaciens) intègrent directement la réserve à un grade équivalent à celui de capitaine. Pour pinailler sur le point un (puisqu'il ne s'agit plus réellement de réserve), l'âge limite de recrutement des officiers commissionnés dans ces mêmes métiers (mais s'agissant alors très certainement d'experts d'un haut niveau académique) est fixé à 60 ans.
  14. 2 choses sont acquises: -sans avoir besoin de consulter Madame Irma, il est exclu de retrouver quoi que ce soit au bout de 3 mois d'abstinence. -et il n'existe (en dehors de cette abstinence) aucune recette miracle pour tromper la détection ou diminuer sa durée. Personne ne peut donc aider le consommateur, à part ce consommateur lui-même.
  15. Faudrait quand même arrêter de fumer, outre les herbes, la moquette. -Personne n'est capable de vous dire, en cas d'utilisation "chronique", au téléphone ou autrement, le délai de disparition des cannabinoïdes dans les urines. Il s'agit de données purement indicatives. Le test urinaire est d'ailleurs, lui aussi, purement indicatif et ne représente qu'un "indicateur d'abstinence" (un peu comme les gamma glutamyl transférases en matière d'intoxication alcoolique). La quantification, si elle est demandée suite à cette indication, s'effectue soit par voie sanguine, soit en effet par voie urinaire, mais impliquant des méthodes beaucoup plus fines et coûteuses (CPG/spectrométrie de masse). -Les cannabinoïdes sont lipophiles (en français, ils sont préférentiellement stockés dans les tissus adipeux). Ils en sont relargués progressivement, avec leur excrétion après métabolisation hépatique dans les urines et le selles dans un rapport respectif (de mémoire) de 40/60%. Il ne sert par conséquent à rien de boire ou pas, ils ne sont pas natifs dans les urines qui ne proviennent pas de l'Esprit Saint mais, très grossièrement, de toute substance plasmatique qui a une taille moléculaire suffisamment faible pour franchir le filtre rénal. Dans ce même ordre d'esprit, et sauf à souffrir d'un certain nombre de pathologies provoquant une rétention urinaire (et d'ailleurs le plus souvent liées non pas au "liquide" lui-même, mais à la filtration glomérulaire, aux ions transportés, à certaines formes d'hypertension ou de néphropathies..., un "cours" de néphrologie n'a pas sa place ici), boire plus que 1,5l d'eau n'aura qu'une conséquence: pisser davantage.
  16. De nombreux messages sur ce forum semblent témoigner d'une grande confusion. Tout d'abord sur le "SIGYCOP" lui-même (arrêté du 20 décembre 2012, se substituant à l'instruction 2100). De nombreux messages sont postés alors qu'il n'a pas été consulté alors même que, pour un certain nombre de pathologies automatiquement affectées d'un sigle donné, le verdict est sans appel. A contrario, et comme en avertit lui-même cet arrêté en son article premier, il est impossible d'être exhaustif dans ce domaine: pour des pathologies qui, soit n'y figurent pas, soit proposent une cotation variable, personne d'autre que le médecin du CSO (après éventuellement avis d'un spécialiste d'un HIA) ne pourra donner de réponse, et je ne suis même pas persuadé qu'un médecin lecteur de ces forums le pourrait dans nombre de cas, puisqu'il ne dispose pas du dossier. Confusion ensuite entre toujours cet arrêté, qui est interarmes et ne fait qu'établir une grille de cotation générale, et l'activité envisagée et là où elle l'est: chaque armée définit un profil d'aptitude à ses différents emplois; en clair, quand le SIGYCOP est connu, il faut le croiser avec l'emploi et l'armée envisagés. Même flou, encore discuté aujourd'hui, sur les voies de recours possibles. Bref, je crois utile de rassembler les différents textes et il existe (je n'ai pas d'actions) un site à cet égard, celui de l'AFEDROMIL où il suffit de faire la recherche "aptitude médicale" et de chercher un peu pour obtenir tous les documents utiles: http://adefdromil.org/?s=aptitude+médicale
  17. De source officielle malaisienne, le MH 370 est officiellement déclaré sombré dans le sud de l'océan indien (là où ont ces derniers jours été repérés des débris, mais dont la paternité n'est pas encore établie à ce jour). Il est fait allusivement état de "données satellitaires" ayant certifié la position de l'avion dans cette zone: en français, et même en l'absence d'accident ou de sabotage, il n'a pu qu'y tomber faute de carburant. Il reste toutefois sidérant de savoir ce que l'appareil faisait dans cette zone, à peu près à l'aplomb des TAAF (Amsterdam et St Paul) et à environ 2000 km de Perth, puisque aucun terrain d'aviation ne se trouve sur le cap ainsi dessiné. Différentes sources en profitent pour "allumer" l'armée de l'air malaisienne (ou plus exactement ce qui en tient lieu) puisqu'il est dorénavant acquis que l'appareil a été "logé" au début de son périple par les radars militaires primaires malaisiens, mais sans que s'en soit suivie une demande de renseignements en ayant permis l'identification, et encore moins l'interception que cet échec aurait automatiquement du déclencher. Nouvelle conférence de presse malaisienne promise mardi, wait and see.. http://lci.tf1.fr/monde/asie/mh-370-l-avion-est-tombe-dans-l-ocean-indien-a-l-ouest-de-l-australie-8388360.html
  18. Le titulaire garde en principe son ancienne CNI qu'il remettra seulement lors de son échange avec la nouvelle. Notez que, pour une CNI sécurisée délivrée entre le 2 janvier 2004 et le 31 décembre 2013 à une personne majeure lors de cette délivrance, la validité de cette CNI, alors de 10 ans, est automatiquement prolongée de 5 ans, de manière à avoir, comme les nouvelles cartes, une validité de 15 ans. http://www.interieur.gouv.fr/Actualites/L-actu-du-Ministere/Duree-de-validite-de-la-CNI
  19. Passons sur les élucubrations des "aliens"... Je ne suis pas expert en balistique. La Corée du Nord a évidemment la capacité idoine, mais "s'amuse" actuellement plutôt avec des missiles courte portée, et le fait que l'on pense aujourd'hui que le MH 370 a pris un cap Sud s'oppose un peu à cette théorie. Je vous rappelle que l'on a trouvé des débris pas encore identifiés dans une zone inhospitalière de l'océan indien. Ce que l'on sait aujourd'hui avec une quasi-certitude, c'est que "quelqu'un" disposant de capacités de pilotage récentes et actualisées (l'équipage ou des passagers qualifiés) a détourné l'avion de sa route pour prendre soit un cap nord-ouest, soit sud-ouest. La deuxième hypothèse est favorisée non seulement par les débris éventuels mais par le fait que, malgré les techniques délibérément mises en oeuvre par les pilotes pour échapper aux radars et localisations civils, l'appareil n'aurait pas manqué d'être repéré par les radars militaires des pays survolés dans le premier cas de figure. On sait aussi, sans que la raison en ait été avancée, que l'appareil avait en fret des batteries lithium-ion hautement inflammables. Tout cela ne nous expliquant toujours pas, à l'heure où j'écris, dans quelles conditions l'avion a pu exploser ou se désintégrer (il a très probablement fait l'un ou l'autre, l'idée d'une chute en mer par défaut de carburant semble plus exotique même si, volant très bas pour échapper aux radars, l'avion aurait consommé plus) alors que l'on nous dit notamment que "les grandes oreilles" des satellites américains (conçus pour déceler toute température inhabituelle, i.e. celle d'un missile balistique russe) sont capables de déceler une telle anomalie en tout point du globe. Un peu de géographie pour éclairer mon propos (voir par exemple http://sources.asie.free.fr/SIG/asiaSE.html): en cas de route nord-ouest, l'avion aurait survolé la mer d'Andaman, sous souveraineté indienne, et où des recherches ont été menées, et pourquoi pas la Birmanie et (déjà...) les radars chinois. La Corée est très, très loin: il faut d'abord prendre la route normale nord-est, ce qui n'a pas été fait, franchir l'espace aérien chinois sur une très grande distance (et atterrir à Pékin tant qu'à faire à passer dans le coin), mission impossible....
  20. Un peu de lecture récente (civile, mais pourquoi pas) à ce propos: http://focuscampus.blog.lemonde.fr/2014/03/22/formation-aux-metiers-de-laerien-les-ingredients-dune-filiere-qui-reussit/#xtor=RSS-3208
  21. J'ai un fils qui a porté un brevet aéro lors de sa formation OSC à l'école navale parmi des gens venus d'horizons très différents, et y compris lors des cérémonies, la "chose" faisant donc partie intégrante de la tenue. Les primes, effectivement, c'est une autre histoire, qui est à ce que j'en sais sous les feux des économies budgétaires: si, dans le cas que je cite, disparaissent évidemment les primes spécifiques (style appontage nuit), la prime aéro est encore en sursis pour les personnels provisoirement affectés à terre. Concernant les "curés", il n'y en a pas dans nos armées puisque, par définition, il n'y a pas de "cure" (en français, de paroisse); il y a bien un évêque aux armées, mais pour le reste des aumôniers. Je connais un type, instructeur d'équitation civil, qui avait fait à l'ENE Saumur une formation à la monte en amazone. Sur place, tout le monde, à sa grande surprise, lui balançait du "Mon Père": mais là, c'était de l'humour militaire, les instructeurs militaires du Cadre avaient décidé de faire courir le bruit que, s'il devait monter ainsi, c'était pour pouvoir le faire avec une soutane.
  22. Non, je suis un breton exilé depuis quelques années dans un patelin de Seine et Marne (là où est la chèvre, elle broute), à une vingtaine de minutes de Melun en voiture, nettement moins en moto (quand des képis autres que de l'EOGN ne bronzent pas le long des routes). J'y vais de temps à autre (encore que rien d'autre que la fromagerie et notamment son choix insensé de Brie n'y trouve vraiment grâce à mes yeux), ou bien je la traverse en revenant par exemple de me balader à Fontainebleau. Mais dans tous les cas, au retour, la route m'amène à tourner à gauche exactement en face des grilles en question.
  23. Cela dit, j'habite tout près, les grilles de l'EOGN de Melun, c'est quand même, si j'ose le qualificatif, vachement moins bucolique, à dire vrai assez austère et impressionnant, et ça ressemble à ça:
  24. Et pourquoi pas? Mais une fois que, si l'on parlait d'aéronavale, tu continuerais, Had, à noyer le poisson (pilote), il faudrait en effet sûrement commencer à courir plutôt que de s'imaginer que nos armées tendent les bras à tous ceux (et celles) qui deviendraient sous-officiers puis officiers "les doigts dans le nez" avec pour seul viatique un bac et sans s'être défoncé, assis ou debout, au moins un minimum.
  25. Je n'y connais rien, donc juste une observation. Il s'agit de savoir si les compagnies privées en question recrutent sur un éventuel CV (de seulement 4 ans dans l'hypothèse qui nous intéresse, et y compris le temps de formation) ou si elles privilégient une équivalence de diplôme. Auquel cas (mais encore une fois, c'est une chose à laquelle je suis totalement étranger), il me semble (consulter le RNCP) que ces équivalences existent seulement pour le BAT et/ou le BS. Et que donc la situation serait bien meilleure si, au cours de son cursus de matelot, le candidat a pu intégrer l'école de maistrance.

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