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Appel urgent cfim


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Bonjour,

Mon conjoint est en train de faire ses classes actuellement, et une situation est arrivée à la maison. Le problème c'est qu'ils n'ont jamais le droit au téléphone, je ne peux le joindre qu'à raison de quelques messages par jour quand il se cache, et 1h le weekend, sauf que j'ai besoin de l'appeler là pour régler les soucis. Leur permission a également été repoussée d'un jour parce certains ont eu de mauvais résultats, ça ne peut pas attendre trois jours. Sachant qu'en plus il est en dénonciation de contrat, mais il continue le cfim en attendant une réponse (on ne lui a pas demandé de CR) Peut-il demander une dérogation ou quelque chose pour passer un appel ?

Edited by NellielDC
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Première c'est très bizarre qu'il ne fasse pas de CR car ça fait parti de la procédure à suivre.

Le truc c'est que même si vous parvenez le téléphoner il ne pourra pas quitter le régiment avant la fin de la procédure qui prend en moyenne 1 semaine défois 2.

Il peut expliquer que c'est vraiment urgent et que vous êtes dans une situation désespérer; normalement ils accepteront surtout que comme il s'en va voilà.

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Apparemment personne dans sa section qui a dénoncié n'a fait de contre rendu, je trouvais ça bizarre aussi. Pourtant plusieurs sont déjà partis. 

 

Ce n'est pas pour qu'il quitte plus tôt, mais juste pour réussir à le téléphone, lui il n'ose pas demander il n'a pas envie que ça lui retombe dessus et qu'ils la lui mettent à l'envers pour partir. Certains de ses cadres sont abusifs alors on se méfie...

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Ah et ils ne le laisseront pas partir plus tôt quoi qu'il arrive, son camarade de chambre a dû déserter parce que sa mère était mourante et qu'ils voulaient pas accélérer le processus 😅 

Aujourd'hui ça fait pile une semaine qu'il a dénoncié son contrat auprès de son lieutenant. Aucune autre nouvelle depuis.

Edited by NellielDC
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Bon, le CR a enfin été demandé, mais juste avant un terrain comme par hasard, histoire de perdre 3 jours lol

Par contre j'avais une question. Est-ce normal que les cadres leur refusent de voir le médecin ? Mon copain est très malade, suspicion covid, et on lui a refusé d'aller au CMA. Les autres blessés de sa section n'ont pas le droit d'y aller non plus. Ca me choque un peu, mais c'est peut-être commun pendant le cfim ?

Edited by NellielDC
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En fait le problème pendant les classes maintenant la FGI qui se passe en CFIM, c'est de faire le tri entre la "vrai" maladie ou l'entorse au cerveau nommé aussi "baisse du moral" etc... Si vous envoyé tous les "gusses" qui ont l'envie dans les chaussettes, parce qu'il fait un peu froid, pas beaucoup dormi, à l'infirmerie les rangs vont vites se clairsemer le matin! Après, si c'est vraiment une blessures, ils n'ont pas le droit d'empêcher quelqu'un d'aller consulter! Il faut se faire mal sinon CR et retour dans le civil!!

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il y a 14 minutes, Waynes54 a dit :

En fait le problème pendant les classes maintenant la FGI qui se passe en CFIM, c'est de faire le tri entre la "vrai" maladie ou l'entorse au cerveau nommé aussi "baisse du moral" etc... Si vous envoyé tous les "gusses" qui ont l'envie dans les chaussettes, parce qu'il fait un peu froid, pas beaucoup dormi, à l'infirmerie les rangs vont vites se clairsemer le matin! Après, si c'est vraiment une blessures, ils n'ont pas le droit d'empêcher quelqu'un d'aller consulter! Il faut se faire mal sinon CR et retour dans le civil!!

Justement nous sommes en France et le "gusse" qui veut consulter l'encadrement doit s'y soumettre sans broncher.

D'autant au CFIM où les jeunes sont bercés pour les chouchouter au max pour ne pas les faire fuire.

L'instruction peut être stricte ce n'est pas dans ce sens là. Mais l'encadrement doit se plier aux règles du centre.

Donc si le camarade veut consulter. l'encadrement n'est pas en mesure de le lui interdire sinon si ils se retournent contre eux le chef de section est litteralement dans la merde à cause d'un caporal responsable de TIG qui fait de l'exès de zèle.

Edited by h2M
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Bah le truc c'est qu'il a suspicion de covid avec difficultés respiratoires, fièvre, diarrhée, courbatures, nausées, fatigue, la totale quoi lol. Il a fait un malaise aujourd'hui sur le terrain d'ailleurs. Et oui oui les autres qui ont été refusé étaient blessés, pas juste malades ou en baisse de moral.

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Il a refait un malaise aujourd'hui qui a fait rire tout le monde, on ne l'emmène toujours pas chez le médecin, ça fait 3 jours que son état empire. Quel recours ai-je ? Est-ce qu'il faut les menacer de porter plainte ? Et est-il possible de tous les dénoncer puisqu'à cause de leur refus il est ultra malade maintenant ?

Edited by NellielDC
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il y a 41 minutes, NellielDC a dit :

Il a refait un malaise aujourd'hui qui a fait rire tout le monde, on ne l'emmène toujours pas chez le médecin, ça fait 3 jours que son état empire. Quel recours ai-je ? Est-ce qu'il faut les menacer de porter plainte ? Et est-il possible de tous les dénoncer puisqu'à cause de leur refus il est ultra malade maintenant ?

Bonjour,

Cherchez à joindre le bureau environnement humain (BEH) du régiment de votre conjoint pour lui exposer la situation. C'est une cellule en charge de l'accompagnement des familles ( conjoint compris ) d'un militaire absent. L'interlocuteur se chargera de vous aider au mieux, en appelant peut-être directement le chef de section pour avoir un peu plus d'informations à ce sujet.

Vous trouverez les coordonnés du BEH du régiment en cliquant sur la carte dans ce lien :

https://rh-terre.defense.gouv.fr/condition-du-personnel/infos-familles-terre/carte-beh

 

Tenez nous au courant

 

Je rajouterai également qu'en cas d'urgence, puisqu'il communique avec vous, il a tout a fait le droit de composer le 18 ou le 15. Les secours interviendront sans probleme et sera pris en charge immédiatement si nécessaire. Une fois revenus au CFIM le médecin le recevra directement.

Si il décide de joindre les services de secours il faut qu'il rende compte immédiatement à son encadrement sans délais.

 

Edited by h2M
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Bonjour,

Il n'a toujours pas vu le médecin, pas de place apparemment. Il a toujours des difficultés respiratoires, mais étant épuisé il a décidé de laisser tomber comme il a donné son CR dimanche et qu'il devrait être lâché d'ici quelques jours. 

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Donc ça voudrait dire qu'il a encore 2-3 semaines à tirer ? J'espère pas vu qu'on lui a dit 1 semaine max, il se retient déjà de déserter... Comme il est malade sans pouvoir voir le médecin + les abus il en peut plus là :/

Edited by NellielDC
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Croyez bien que ses cadres de contact directs voudraient bien qu'il parte le plus vite possible même dans l'heure mais ils ne gèrent pas la partie administrative. C'est un service dédié qui s'occupe de ça. Et c'est long, il faut les signatures d'untel etc. Mais soyez sûre qu'il va partir. 

 

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Je viens aux nouvelles. Il a pu voir le médecin finalement, bon ça n'a servi à rien. Par contre, on ne veut pas le laisser partir. Ils n'ont toujours pas lancé les démarches parce qu'ils demandent sans cesse à ce qu'il change d'avis. Le lieutenant, le sergent, le capitaine, ils sont tous en train de chercher à lui forcer la main. Il en est à son deuxième compte rendu. On lui a dit qu'au pire comme la FGI se termine le 12 décembre, il pourra partir à ce moment là, mais je ne vois pas en quoi il n'est pas obligé de continuer en FTS si les cadres n'acceptent toujours pas sa dénonciation ? Et s'ils ne l'acceptent pas c'est parce qu'il est premier partout et est ultra discipliné, le dernier gros contrôle qu'ils ont fait il a eu 19,79, ça leur a confirmé qu'il faut absolument l'empêcher de partir. J'ai peur qu'ils ne le laissent vraiment pas partir pour le coup.

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23 minutes ago, NellielDC said:

J'ai peur qu'ils ne le laissent vraiment pas partir pour le coup.

Alors, il faut demander rapport au colonel CDC. L'armée est en manque d'effectifs, ceci explique cela.

Le rapport avec le chef de corps permet de remettre l'église au milieu du village. Il faut bien formuler la demande à partir, et ça doit marcher.
(Pour moi, c'est absurde de faire retenir les gens de cette manière, mais pour certains...)

Moi legionnaire, moi pas bien francais parler.

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il y a une heure, NellielDC a dit :

Je viens aux nouvelles. Il a pu voir le médecin finalement, bon ça n'a servi à rien. Par contre, on ne veut pas le laisser partir. Ils n'ont toujours pas lancé les démarches parce qu'ils demandent sans cesse à ce qu'il change d'avis. Le lieutenant, le sergent, le capitaine, ils sont tous en train de chercher à lui forcer la main. Il en est à son deuxième compte rendu. On lui a dit qu'au pire comme la FGI se termine le 12 décembre, il pourra partir à ce moment là, mais je ne vois pas en quoi il n'est pas obligé de continuer en FTS si les cadres n'acceptent toujours pas sa dénonciation ? Et s'ils ne l'acceptent pas c'est parce qu'il est premier partout et est ultra discipliné, le dernier gros contrôle qu'ils ont fait il a eu 19,79, ça leur a confirmé qu'il faut absolument l'empêcher de partir. J'ai peur qu'ils ne le laissent vraiment pas partir pour le coup.

Citation

Le contrat d'engagement initial ainsi que le premier des contrats intervenant après une interruption de service ne deviennent définitifs qu'à l'issue d'une période probatoire de six mois.

....

Au cours de la période probatoire, quelle qu'en soit la durée, le contrat peut être dénoncé unilatéralement par chacune des parties.

https://www.legifrance.gouv.fr/loda/article_lc/LEGIARTI000042485180

 

LAW IS LAW

Même aussi bon soit-il ça m'étonnerait qu'un commandant d'unité (le fameux capitaine que vous citez) fasse du forcing pour retenir quelqu'un qui veut s'en aller.

Votre conjoint peut demander à s'entretenir avec le PEVAT(président de catégorie) du CFIM ou de son régiment. Les cadres le mettront en contact avec lui.

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Bonjour, je vous connais pas tous les deux

Il y a quelque chose qui m’intrigue dans cette histoire 

Vous nous écrivez qu’il est le meilleur de sa promotion, qu’il se donne au maximum mais qu’il veut partir.

Que toutes les procédures sont très longues  ce qui va à l’encontre des habitudes 

Pour moi, vieux machin, quand on se donne du mal pour être devant,que l’on n’arrive pas a faire avancer son dossier de depart, c’est que l’on aime ce que l’on fait sinon pourquoi.

Alors je demande si c’est lui qui veut partir ou si c’est vous qui lui mettait de la pression pour qu’il quitte l’armée.

Qui ne dit pas la vérité dans cette histoire?

Peut être ai je tort 

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