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brucine

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  1. Plus sérieusement, Had, n'y-a-t-il pas, et y compris en temps de paix, des stages survie organisés pour les personnels navigants chez les "méchants" de Cazaux intra-muros ou/et sur des sites extérieurs spécifiques (neige, désert...)?
  2. Concernant le polynôme du second degré, pas tout à fait. Il y a 2 solutions distinctes réelles si le discriminant est strictement positif, 2 solutions distinctes imaginaires si le discriminant est strictement négatif, et 2 solutions identiques (racine double) s'il est nul. Mais, au sens large, il peut n'y avoir aucune solution (a et b=0, c non nul) ou une infinité (a, b et c sont nuls). Dans l'exercice classique de résolution en BASIC, il faut en outre prévoir une pirouette par une boucle suivant le cas a=0 (tester à suivre si b, puis c sont nuls), puisque la division par zéro interdit toute poursuite du calcul. Maintenant, la complexité, chacun la sienne, j'ai l'impression que, dans son métier comme dans ceux de la quasi-totalité des militaires, Had s'en fout à juste raison autant que son hamster: ce qu'il lui a été demandé d'élucider, ce ne sont pas des séries de Fourier et comment y survivre, mais de le faire à autre chose.
  3. Oui, bon... L'aspirant dans la marine a officiellement les prérogatives d'officier au titre desquelles il se voit remettre le sabre (je crois me souvenir que les élèves commissaires portent eux l'épée), mais n'a en tant qu'élève pas vraiment d'autre distinction que se voir balancer du "lieutenant" par le planton: il reste, comme du temps où il n'était que sous-officier, dans un statut un peu "bâtard" où il n'est réellement ni sous-officier, ni officier. Comme son nom l'indique, l'aspirant "aspire" à devenir officier, exception faite bien sûr des VOA et éventuellement de la réserve citoyenne/opérationnelle au-delà du grade d'aspirant même s'il est acquis sous condition de diplôme à l'engagement puisque, sauf erreur de ma part et contrairement aux officiers subalternes d'active, l'avancement se fait toujours au choix. Je ne connais rien de la réserve, mais dans l'active, il existe des grades intermédiaires au cours de la formation: tant qu'il n'est pas titulaire de son BAT, le maistrancier, par exemple, est successivement "élève maistrancier" (sabords rouge et bleu) puis "quartier-maître maistrancier" (QM1, restant les seuls sabords bleus). Le major, lui, n'est OMS de plein titre que depuis peu (2009) puisqu'il existait auparavant un corps autonome des majors entre officiers mariniers et officiers.
  4. Encore que: les aumôniers militaires sont, même s'ils ne le sont pas, assimilés officiers. Maintenant, c'est sûr que concernant le rite catholique (je ne connais pas bien les autres), ce qui y est bu et mangé manque un peu de variété et nécessite d'autant moins des connaissances culinaires professionnelles que je crois comprendre que notre candidat est issu de l'option non pas "art culinaire" mais "gestion hôtelière".
  5. A mon époque Jurassique, il en était fait une introduction en classes de terminale scientifique, à laquelle j'ai rajouté une (petite) couche en premier cycle à la fac des sciences avant de m'orienter vers une autre voie. Je t'accorde cependant que, si x=a+bi où a est nul et b des réels quelconque non nuls, le produit de x1=b1i et de x2=b2i ne suit cette règle que concernant l'ordonnée cartésienne b (si b1 et b2 sont négatifs, b1*b2 est positif) puisque par définition i*i est négatif. Et cela n'a évidemment pas de sens concernant les complexes eux-mêmes puisque, quelle que soit la valeur de leur partie réelle ou imaginaire, on ne peut pas les qualifier eux-mêmes de négatifs ou positifs. Mais bon, tout le monde (y compris ton serviteur) ne fait depuis quelques messages que sodomiser les diptères pour détourner le sens d'une double négation qui n'a rien à voir ni avec la logique mathématique, ni avec les nombres complexes...
  6. Outre que les Palais Nationaux sont au moins sous la surveillance de la Garde, dont on nous dit qu'elle n'est pas que chamarrée mais faite de vrais soldats, la radio se faisait elle l'écho de ce que, en dehors d'effectivement la grande médiatisation qui a eu lieu aujourd'hui, ce type d'exercice, dont le scénario peut varier, n'est pas une première ni exceptionnel.
  7. Pourquoi des nombres réels? Le produit de deux nombres imaginaires purs suit les mêmes règles. Et c'est par ailleurs un principe de logique bien connu, où la double négation d'une proposition vaut son affirmation.
  8. La méthadone n'est pas un antalgique, et l'oxycodone ne fait pas partie des antalgiques destinés aux douleurs modérées. Le souci, c'est que la bandelette de dépistage n'est pas spécifique à l'oxycodone mais recherche un ensemble d'opiacés. Comme tout test urinaire à la bandelette, il n'y a de valeur qu'indicative devant ensuite être confirmée au labo, où je suppose que sa présence serait très mal vue: -le produit en question fait, sur le plan légal, l'objet de sévères restrictions de délivrance et n'y est pas le plus volontiers prescrit de cette catégorie dans les douleurs occasionnelles. -en revanche, et même s'il est plus populaire en Amérique du Nord (mais le marché noir existe partout), il est en tête du hit-parade des substances détournées dans cette catégorie. Même si le seuil est assez sensible (100 ng/ml), il dépend évidemment de nombre de facteurs tels que les doses "administrées", leur fréquence, mais aussi la susceptibilité individuelle du "patient", sa corpulence, son alimentation, et pourquoi pas l'âge du capitaine: on sait seulement que le dépistage est possible à partir de 2 jours après la prise et pendant au moins 2 à 4 jours, mais personne n'est fakir pour prédire ce qu'il en sera te concernant. Pour le reste, je botte en touche puisque je ne sais pas quand ces tests sont pratiqués (CSO et/ou visite médicale d'incorporation), et quelles conséquences provisoires ou définitives en sont tirées, me contentant de renvoyer à un discussion (un peu vive...) qui avait déjà eu lieu en l'espèce: https://www.aumilitaire.com/forum/8101-incorporation-depistage-de-stupefiants.html Un dentiste (je n'ai jamais vu aucun en prescrire) ou un médecin n'a, dans les conditions de délivrance évoquées, aucune raison de faire une ordonnance de complaisance pour laquelle il pourra être lui-même inquiété, et le "remède" serait pire que le mal, montrant que soit on cherche à prendre le médecin militaire pour un idiot, soit à lui faire penser qu'une telle prescription était fondée (elle ne l'est jamais pour des douleurs dentaires) et à chercher "ailleurs": deux hypothèses aussi détestables l'une que l'autre.
  9. La terminologie "EOPAN OSC" est à la fois un pléonasme ou un abus de langage: Certes, les EOPAN sont OSC, mais ils forment par rapport aux autres OSC (corps des officiers de marine et des officiers spécialisés de la marine) une branche spécifique et "autonome" notamment parce que, à leur différence et du fait des conditions de recrutement différentes (internes ou externes sur diplôme pour les autres), ile ne peuvent de mémoire prétendre à une réversion dans d'autres spécialités ou prétendre à "l'école navale interne". Concernant le droit à présenter les épreuves, je ne parlais pas de celles initiales (en effet 3 fois sous réserve de limite d'âge) mais des nombreux candidats invités à rejoindre leur foyer après avoir réussi les épreuves initiales (donc au cours, et jusqu'au dernier moment, de toute la formation en vol). J'ai oublié de mettre le doigt sur la visite médicale, elle aussi très exigeante et passant par des trucs tordus: il suffit par exemple d'être un beau mec sans gras de 2m de haut ou pas loin pour risquer d'en être remercié, puisque sont appréciés le poids total (limites de charge du parachute pour les disciplines concernées) et la taille des segments (même remarque à propos de la longueur des fémurs pour les sièges éjectables). A propos de "culture militaire et géostratégique", et même si je botte en touche pour ne plus me souvenir des ouvrages et périodiques adéquats, n'importe quoi ou à peu près peut tomber impliquant le rôle de nos armes et de notre pays (et des autres...) en termes géopolitiques, économiques, forces militaires et intérêts en présence... Il me semble que, entre autres questions, le fiston avait par exemple eu à disserter du rôle de la France en Afghanistan devant le jury, et il y a aussi des "jeux de rôle": on apprécie le niveau d'intervention des candidats réunis entre eux dans une pièce et amenés à discuter d'un sujet.
  10. Je ne suis en effet que père d'un aéromarin (collé aux épreuves simulateur EOPAN à Toulon). Donc, seulement quelques commentaires vécus de l'extérieur. Attention à Navale, y compris par concours externe (c'est encore plus délicat par concours externe sur titre bac+5, et pire encore par concours interne): on s'y trouve par définition en concurrence avec des Bordaches que l'on aime ou pas, mais dont certains ont un très haut niveau académique. Bien qu'il soit question à la sortie de "brasser" le niveau des élèves en ne considérant plus dans leur spécialisation que leur seul rang, rien ne garantit que l'on soit à la sortie en capacité de choisir aéronavale (une dizaine de postes par promo, je crois). Quand bien même serait-ce le cas que l'on doit être apte personnel navigant (CEMPN Toulon= Centre d'Expertise Médicale du Personnel Navigant) et franchir le simulateur et consorts: je connais au moins un exemple d'une bordache devenue surfacière pour y avoir échoué, beaucoup de dépit. Concernant le recrutement OSC (EOPAN), j'ai d'autant moins de recette miracle (si tant est qu'il en existe une) que je rappelle que le candidat que j'évoque y a échoué (une seule fois, limite d'âge ensuite) et qu'il est à présent OSC d'une autre spécialité. Je ne crois cependant pas les sélections "intellectuelles" très différentes des autres spécialités aéro (et ce d'autant plus que EOPAN recrute sur bac, et les autres spécialités aéro si elles sont externes à bac+5). Il y a 3 ou 4 promos d'une dizaine de personnes par an, et dont presque la moitié (là à égalité avec les bordaches) échouera pendant les sélections en vol à tous les niveaux. A la différence que, comme je l'ai dit, le bordache sera reversé dans une autre spécialité, et l'EOPAN renvoyé à ses foyers. Bien sûr, une bonne connaissance du monde marin, aéro, militaire, géostratégique, de l'anglais, mais tout cela se travaille. Le premier gros écueil est sans doute celui de l'entretien de motivation, le suivant le test de simulation et, concernant l'entretien, c'est d'autant insondable qu'il ne s'agit pas d'un concours sur épreuves. Une chose évidente toutefois, et bien que certains aient tendance à la négliger: l'armée cherche des militaires et marins, pas des "Rambo" ou des gens qui ne veulent que se faire plaisir aux commandes d'un engin. On lit des choses contradictoires sur la durée des contrats: sauf erreur de ma part, le contrat initial est de 13 ans, et peut être renouvelé jusqu'à 20 ans, mais la formation elle-même dure au moins 3-4 ans selon les spécialités. D'autres sources disent que le contrat est de 8 ans signé APRES la nomination au grade EV2, ce qui revient sensiblement au même. Je ne sais rien de l'activation en tant qu'officier de carrière à l'issue de ces contrats, sinon qu'on la dit rare et difficile, mais il ne faut pas rêver: même si c'est moins vrai des hélicoptères ou de la chasse, les pilotes se recyclent le plus souvent (grassement) dans le civil.
  11. Il n'y a en effet pas de spécialité de treuilliste. Il s'agit d'une qualification (parmi tant d'autres) acquise par le personnel non-pilote après son BAT. Ainsi, sur Lynx, le treuilliste est ELBOR/ASMBO (et peut aussi être mitrailleur sabord si l'occasion s'en présente), tandis que sur NH90, il est ELBOR/SENSO, les deux étant maistranciers et médicalement aptes personnel navigant. Se référer donc à la formation maistrance idoine. De mémoire, c'est une de celles qui sont les moins abondantes numériquement parlant (une dizaine d'admis par promo pour l'ensemble des ELBOR y compris les GETBO qui volent sur ATL, pas plus de la moitié pour les ASMBO) et les plus longues en terme de formation: si la théorie (toujours de mémoire) est de 8 mois, la durée est beaucoup plus longue en ces temps de disette budgétaire, puisque chaque qualification requiert avant et après le macaronnage des moyens importants et conjoints en hommes et en matériels (instructeurs, hélicoptères disponibles en état de marche pour l'instruction, navires de surface, sous-marins...).
  12. Le mec du CIRFA, il n'était probablement pas marin, et encore moins aéromarin (et en tout cas, ce sont en principe les BICM qui sont "compétents"). Ce n'est pourtant pas compliqué: -Navale, en externe sur concours CPGE, c'est râpé, tu n'as pas le niveau. -Navale toujours, concours sur titres, il faut être dans les meilleurs autour de bac+5: même commentaire. -Navale encore, recrutement interne d'OSM ou d'OSC longs: par définition, on est déjà marin, de quartier-maître (cela s'est déjà vu), à le plus souvent second maître, parfois officier marinier plus gradé et même de temps à autre aspirant ou EV. Le hic, c'est que d'une part il faut un certain temps et conditions de service, d'autre part que la cursus pilote en est toujours exclu (mais pas celui de navigant, par exemple les officiers TACAE). Bref, Navale, y compris via l'ex "école militaire de la flotte", ce n'est même pas la peine d'y penser. Quant au cursus EOPAN, il ne forme que des OSC longs (et cela même si le coût et la longueur des "études" font qu'ils sont souvent renouvelés), et a pour limite d'âge sauf erreur de ma part moins de 23 ans (il va être temps de te dépêcher...), mais un niveau théorique qui, s'il n'est sur le papier que de bac, l'est en pratique de bac S. Sachant que ce sont moins les épreuves théoriques ou sportives qui éliminent qu'un niveau d'anglais correct (TOEFL), le psy, et le "grand jury", qui donnent droit à ceux qui y ont été retenus de recommencer la même chose en plus "hard" à Toulon: y ajouter CEMPN et simulateur qui sont tous deux redoutables, et qui eux-mêmes ne donneront le droit à nombre des peu d'élus restant que de se faire jeter au cours de la formation proprement dite. Mais, même si les aléas sont sans doute moins grands que le gros lot, c'est comme au loto, et même si tu as un handicap d'âge et de formation initiale, tous les gagnants ont tenté leur chance...
  13. Comme Hatonjan l'a écrit, il n'y a pas de sous-lieutenant dans la marine. Il existe plusieurs voies d'accès au statut d'OSC. Schématiquement, ils (et elles) sont nommés EV2 le 1er août suivant la sortie de leur cursus à l'école militaire de la flotte, puis à l'ancienneté EV1 le 1er août suivant, LV au bout de 4 ans dans le grade précédent. http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000019476102 et plus particulièrement son article 27. Le paradoxe est évidemment que dans certaines spécialités (sous-marins, aéro...), le jeune aspirant à l'école militaire de la flotte ou EV2 gagne moins, du fait de la perte de certaines primes, que quand il était officier marinier dans le cas des OSC spécialisés en interne. Mais je ne suis pas sûr que la solde soit le facteur principal de ce choix, ou de celui de devenir OSC en général.
  14. Ben c'est comme le Port-Salut (c'est marqué dessus): il faut mener, pour schématiser, des études d'ingénieur dans le domaine informatique, réseaux, télécommunications, cryptographie..., encore que ces conditions ne soient, puisqu'on parle de mathématiques, ni nécesssaires ni suffisantes: par définition, la DGSE, c'est confidentiel et, que je sache, ni Madame Turenge ni Monsieur n'avaient hier un tel profil. Bref, il me paraît totalement impossible de suivre aucun cursus de formation avec la certitude ou seulement une probabilité de travailler pour la DGSE et ce d'autant qu'elle doit, comme partout ailleurs, recruter davantage de contractuels en fonction de la variété des missions qui leur sont confiées que de personnels "statutaires".
  15. Possible que les mecs jettent un oeil sur des rondeurs qu'ils n'ont pas, mais ça existe aussi dans le civil, où les nanas portent parfois des décolletés qui ne sont de toute façon pas réglementaires dans la marine. Et puis, de toute façon, la promiscuité dans un sous-marin a aussi un avantage: elle empêche des contacts intempestifs qui seraient au vu et au su de tout le monde. A contrario, est encore plus sexiste le commentaire qui voudrait qu'une sous-marinière soit forcément un cageot. Non, le "problème" de base a été moultes fois évoqué, et ne tient qu'à l'absence (comme d'ailleurs sur certains batiments de surface) de quartiers différenciés, notamment sanitaires. En allant même plus loin, c'est sans doute un faux problème: l'essentiel des mecs ne saute pas sur une nana en bikini ou même en monokini sur une plage et, dans une société "moderne", je ne vois pas quel problème il y aurait donc à croiser une fille, fût-elle en soutien-gorge. Et si un tel problème existe, c'est à l'évidence celui des mecs, pas des nanas.
  16. Négatif à ce que j'ai pu en lire. Les QMF peuvent éventuellement être choisis pour le cours du BAT en interne, mais les VLT, selon niveau de dipôme, peuvent postuler soit aux QMF, soit à Maistrance, personne n'y disant que l'année qu'ils auront accomplie en tant que VLT y représente un avantage ou un inconvénient. http://www.pole-emploi.fr/candidat/le-recrutement-equipage-@/suarticle.jspz?id=60612 En codicille, ce serait bien si tu ne te dispersais pas sur plein de messages différents et restais dans une logique que tu as développée dans d'autres messages.
  17. Assurément, et en tout cas au moins le matin puisque, c'est connu, grand-mère fait du bon café.
  18. 1) 16 semaines 2) instruction générale et militaire, sport, premiers secours, TOEIC, permis côtier... http://www.defense.gouv.fr/marine/ressources-humaines/ecoles-et-formations/ecole-de-maistrance/ecole-de-maistrance 3) résultant de 2): non 4) De mémoire, pas sûr, il me semble qu'il y a entre les deux un bref "stage d'observation en unité" en tout cas, à l'issue de la formation initiale réussie (mais bon...), direction EPPA Toulon: http://www.eppa.sante.defense.gouv.fr/ecole/centres/cpdei/index.htm mais étant évidemment entendu que l'on aura préalablement, et comme ce qui se passe dans le civil, satisfait aux épreuves de recrutement du concours d'entrée.
  19. Mais non... La règle, bien qu'imparfaite et ne se suffisant pas en elle-même en l'absence d'autres critères, c'est l'IMC, dont il convient de rappeler qu'il s'obtient en divisant le poids par le carré de la taille. Si par conséquent un sujet mesure 1,75m, l'IMC vaut environ 24,50 et certes le surpoids théorique commence à 25, mais on est un peu plus proche de 24 pour un sujet de 1,65m pour 65kg, ce qui peut malgré tout être beaucoup si le sujet est une sujette. Et, à cette aulne, Teddy Riner ou, sans parler des sumos, n'importe quel pilier de rugby est évidemment pathologiquement obèse.
  20. Pas sûr qu'il y ait des volontaires pour une telle transformation... Rendons à Boileau ce qui n'appartient pas à César: "arrivent" (et pas "viennent").
  21. Il convient tout de même de noter que l'éloignement entre parmi les critères: http://www.defense.gouv.fr/reserves/reserviste-militaire/devenir-reserviste/rejoindre-la-reserve-operationnelle et qu'il appartient aux postulants résidant à l'étranger de contacter l'attaché de défense de l'ambassade de France dans le pays concerné (loc. cit.). Par ailleurs, les conditions d'admission en tant qu'officier de réserve ont été décrites ici-même: https://www.aumilitaire.com/forum/8175-sous-lieutenant-dans-la-reserve.html Il en résulte (outre que l'impétrant n'est pas d'emblée sous-lieutenant, mais simple soldat puis aspirant à l'issue de la formation initiale) que, si le niveau Master y est dans le cas qui nous intéresse un pré-requis, il n'emporte pas automatiquement que le candidat sera pour autant forcément admis dans la réserve en qualité d'élève-officier, et il est en tout état de cause certain qu'il ne le deviendra qu'après avoir subi avec succès les épreuves de formation initiale de l'officier de réserve.
  22. Ce n'est pas formellement exclu, voire même au-delà (62 à 66 ans) pour au moins les adjudants de certaines spécialités techniques ni, pas à 60 ans mais à 58 ou 59, mais on ne va pas pinailler, pour ceux ayant atteint le grade d'adjudant-chef ou de major hors ces spécialités. Dans le même temps, les officiers des armes et officiers spécialisés, sauf les officiers généraux et le cas spécifique des colonels de gendarmerie, ont également une limite d'âge avant 60 ans. http://droit-finances.commentcamarche.net/legifrance/50-code-de-la-defense/120963/limites-d-age-et-de-duree-des-services
  23. Oui, bon, on va pas faire de la sémantique: hier (enfin, bon, un peu avant...), mon C.V. de grand-père présentait sa profession comme "soldat" (littéralement, celui qui perçoit la solde), aujourd'hui, il serait "marin d'état", autres temps, autres moeurs... Quelle horreur... Tu as lu cet épisode de Lucky-Luke où le chapelier assiégé dans le fort suggère au commandant de cavalerie de manger les chevaux? -Monsieur, la cavalerie ne mange pas davantage ses chevaux que vous ne mangez vos chapeaux!
  24. La presse civile rapporte que le mec en question serait en cours de rapatriement pour aussitôt être mis aux arrêts, si ça s'arrête là, il s'en tirera bien.
  25. Bien que je comprenne le sens de ce que tu as voulu dire, peut-on écrire qu'un marin n'est pas un soldat? Concernant l'équitation, et si ce qui m'a été rapporté est exact, la section à Lanvéoc serait réduite à la portion congrue et "n'embaucherait plus", pour la plus grande gloire de son drapeau, que les jeunes (ou moins jeunes, d'ailleurs) sortant en concours. Et je ne parle pas dans le cas qui m'intéresse d'un débutant qui voudrait se mettre à ce sport, pourquoi pas, mais d'un cavalier disposant d'un galop 7 depuis longtemps. Ce qui lui a fait une belle jambe quand, comme tous les aspirants, il a été envoyé en expédition de survie: la "casse" y a été importante pour les raisons que j'ai évoquées, et pour ce qui n'est, dans l'armée de terre, qu'un exercice banal et habituel.

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