Yann pyromane Posté(e) 21 décembre Signaler Posté(e) 21 décembre https://www.tf1info.fr/politique/nouveau-porte-avions-emmanuel-macron-annonce-la-construction-du-remplacant-du-charles-de-gaulle-2414101.html 1 Citer
BTX Posté(e) 21 décembre Signaler Posté(e) 21 décembre C'est pas trop tôt................. M'enfin ça servira au locataire désigné de l'Elysée puisque nous aurons eu 3 élections présidentielles entretemps. BTX 1 Citer Ya Rab Yeshua.
Yann pyromane Posté(e) 22 décembre Auteur Signaler Posté(e) 22 décembre Pour l'instant le nom est PA-NG (porte-avion nouvelle génération ) .Pas un exploit littéraire .😁 Citer
BTX Posté(e) 22 décembre Signaler Posté(e) 22 décembre https://lignesdedefense.ouest-france.fr/officiellement-la-construction-du-futur-porte-avions-peut-desormais-debuter/ Officiellement, la construction du futur porte-avions peut désormais débuter (elle n’a pas attendu) Photo Naval Group SA/Chantiers de l’Atlantique Le dossier de lancement en réalisation (DLR) du successeur du porte-avions Charles de Gaulle a été signé la semaine dernière lors d’un comité ministériel d’investissement. Emmanuel Macron l’a confirmé, dimanche, lors de son déplacement aux Émirats arabes unis. Il s’agit de l’ultime étape avant le lancement officiel de ce programme majeur qui verra l’entrée en service en 2038 du PA-NG. La décision annoncée aux EAU devant les troupes françaises qui y stationnent n’a rien d’une surprise ; elle marque l’aboutissement des étapes du marathon des décisions politiques, des études et des premiers marchés. Ainsi Naval Group et TechnicAtome ont été notifiés, le 26 avril 2024 par la Direction générale de l’armement et le Commissariat à l’énergie atomique, du premier marché dit « pré-DLR » ; ensuite une autorisation d’engagement de 10,2 milliards d’euros avait été inscrite dans le projet de loi de finances 2025. Cette annonce présidentielle se veut aussi comme une réponse à ceux qui craignent que le mur d’investissements nécessaires dans la durée et l’évolution des menaces ne mettent le projet sous pression. Si la loi de programmation militaire 2024-2030 prévoit d’allouer 413 milliards d’euros aux armées, elle peine à financer l’intégralité des programmes prévus. Ainsi, le troisième rail de catapulte, permettant de faire décoller plus rapidement les Rafale du porte-avions, n’a trouvé un financement qu’à la faveur d’une partie de la surmarche budgétaire de 3,5 milliards d’euros annoncée en juillet par Emmanuel Macron, selon le député Yannick Chenevard, rapporteur pour le budget de la marine, cité par mes confrères du Marin. Selon eux, « un décalage de la construction et donc de l’entrée en service du PA-NG laisserait la Marine nationale sans porte-avions. Une étude menée à l’occasion du prochain arrêt technique majeur du Charles de Gaulle permettra de dire en 2029 si le bâtiment peut être prolongé de quelques années au-delà de 2038, en fonction de l’état de ses chaufferies nucléaires et de sa structure ». Si tout va bien, la construction du futur bâtiment commencera à Saint-Nazaire en 2031, sous la maîtrise d’œuvre de Naval Group et des Chantiers de l’Atlantique. Citer Ya Rab Yeshua.
BTX Posté(e) 22 décembre Signaler Posté(e) 22 décembre https://www.opex360.com/2025/12/22/permanence-aeronavale-la-commande-dun-eventuel-second-porte-avions-devra-etre-notifiee-avant-2029/ La commande d’un éventuel second porte-avions devra être notifiée avant 2029 Depuis les Émirats arabes unis, comme annoncé par la Loi de finances 2025, le président Macron a confirmé le lancement en réalisation du porte-avions de nouvelle génération [PANG], dont la construction a d’ailleurs déjà commencé. « À l’heure des prédateurs, nous devons être forts pour être craints et en particulier forts sur les mers. Voilà pourquoi conformément aux deux dernières Lois de programmation militaire et après un examen complet et minutieux, j’ai décidé de doter la France d’un nouveau porte-avions. La décision de lancer en réalisation ce très grand programme a été prise cette semaine. […] Ce nouveau porte-avions sera l’illustration de la puissance de notre nation, puissance de l’industrie, de la technique, puissance au service de la liberté sur les mers et dans les remous du temps », a en effet déclaré M. Macron. Pour rappel, ce nouveau porte-avions aura un déplacement de 80 000 tonnes pour une longueur de 310 mètres. Doté d’une propulsion reposant sur deux chaufferies nucléaires K22, il devra être en mesure de naviguer à la vitesse maximale de 30 nœuds, de mettre en œuvre des armes à énergie dirigée, des brouilleurs de forte puissance et, surtout, trois catapultes électromagnétiques [EMALS] associées à un dispositif de récupération des aéronefs appelé AAG [Advanced Arresting Gear]. Cela étant, la question de la « permanence d’alerte » des capacités aéronavales reste encore à trancher… alors que, selon le général Fabien Mandon, le chef d’état-major des armées [CEMA], elle devait être prise en compte dans les travaux préparatoires au lancement en réalisation du PA NG. « Au plan militaire, j’ai besoin de permanence. Un outil de combat qui est disponible 65 % du temps, ce n’est pas l’idéal. En tout cas, pour moi, soit il est disponible quand j’en ai besoin, soit il n’est pas disponible. Donc, la détermination du futur porte-avions, dans sa géométrie, son volume et son coût, est essentielle. On est en train de terminer ces travaux, qui vont être présentés à notre ministre », avait en effet affirmé le CEMA, devant la commission sénatoriale des Affaires étrangères et de la Défense. « On doit réfléchir à l’évolution de ce système. On est en train de terminer ce travail […] . J’espère avoir la permanence », avait-il insisté. Une « permanence d’alerte » suppose de disposer de deux porte-avions. Comme l’a expliqué l’amiral Nicolas Vaujour, le chef d’état-major de la Marine nationale [CEMM], lors d’une récente audition au Sénat [*], deux solutions souveraines sont possibles. La plus évidente consisterait à maintenir le porte-avions Charles de Gaulle en service plus longtemps que prévu. « Si vous privilégiez la rapidité, car vous estimez qu’il faut à notre pays cet outil souverain de puissance et de supériorité aéromaritime, il convient de prolonger le Charles-de-Gaulle et d’avancer le plus vite possible sur le PA NG. Le cas échéant, la France serait dotée de deux porte-avions en 2038 », a-t-il dit. Mais encore faut-il que le porte-avions Charles de Gaulle puisse être prolongé. « Nous le saurons en 2029, au moment de [son] arrêt technique », a souligné le CEMM. Plus précisément, le troisième arrêt technique majeur [ATM] du Charles de Gaulle est prévu en 2027 et devrait durer entre 18 et 24 mois. Ce n’est qu’à cette occasion qu’il sera possible de regarder l’état des cuves de ses deux réacteurs nucléaires K15 et, le cas échéant de de changer leur cœur. Cette affaire relève de la Direction des applications militaires [DAM] du Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives [CEA]. Quant au coût d’une telle opération, il s’élèverait à environ 1 milliard d’euros. En tout cas, la prolongation du Charles de Gaulle, qui est opérationnel depuis 25 ans, est une hypothèse crédible. Admis au service en 1975, le porte-avions américains USS Nimitz vient ainsi de terminer son ultime mission, au bout de 50 ans de service et après avoir été intensivement sollicité et connu des déploiements de très longue durée, comme en 2020, avec 11 mois passés en mer [et plus de 180 000 km parcourus. La seconde solution avancée par l’amiral Vaujour passerait par la commande d’un second PA NG, identique au premier. Cette option est « la plus cohérente et la plus efficiente » pour « atteindre la permanence en 2042-43 », a-t-il fait valoir. Seulement, pour qu’elle le soit effectivement, il n’y a guère de temps à perdre. « L’optimum, du point de vue de l’outil industriel, consisterait à commander un deuxième porte-avions quatre ans après la première commande, soit en 2029 », a avancé le CEMM. L’idée de réaliser un porte-avions européen, encore proposée par l’ancien commissaire européen Thierry Breton à l’antenne de CNews, ce 22 décembre, l’amiral Vaujour l’a écartée catégoriquement. « Le porte-avions européen, je n’y crois pas, car il sera impossible de partager la décision d’emploi », a-t-il dit. En revanche, selon lui, une coordination étroite avec des partenaires européens paraît « une perspective plus crédible » étant donné qu’il « s’agit de garantir qu’un porte-avions européen soit toujours disponible » pour une zone d’opération donnée, comme l’Indopacifique. « Quand nous avons envoyé le Charles-de-Gaulle dans l’Indopacifique, nous avons succédé à un porte-avions italien et un porte-avions britannique nous a suivis. Cette synchronisation n’était pas le fruit du hasard : elle était le résultat d’une coopération trilatérale entre le First Sea Lord, le chef d’état-major de la marine italienne et moi-même », a dit le CEMM. Or, « ce que nous avons fait au niveau militaire, il est possible de le faire, en cas de crise majeure, au niveau politique », a-t-il estimé. Au passage, anticipant les éventuelles critiques sur la construction du PA NG, l’amiral Vaujour a suggéré que le porte-avions a encore de beaux jours devant lui. « En 2010, il y avait 27 porte-avions dans le monde. En 2030, il y en aura 37. On assiste à une prolifération dans ce domaine : les Turcs veulent en construire, les Espagnols veulent en obtenir, les Italiens veulent construire un porte-avions nucléaire, les Indiens veulent passer au porte-avions à catapulte, les Chinois ont reçu leur troisième en construisent leur quatrième et veulent aller à six, les Américains en sont toujours à onze. Seuls les Russes n’en ont pas, c’est une de leurs faiblesses, qu’il nous faut exploiter : ils n’ont jamais réussi à mettre en œuvre durablement cet outil de supériorité aéromaritime », a-t-il fait observer. [*] Tenue à huis clos, son compte rendu vient d’être publié Citer Ya Rab Yeshua.
piranha Posté(e) 22 décembre Signaler Posté(e) 22 décembre La récente attaque de drones navals ukrainiens (USV) contre un sous-marin russe qui se cachait dans un port (!!!) pousse à réfléchir : à quoi bon, au fond, les porte-avions aujourd’hui ? Déjà auparavant, ils étaient régulièrement frappés aussi bien par des sous-marins que par l’aviation, et aujourd’hui, avec le développement des drones maritimes et aériens ainsi que des armements de missiles, j’ai l’impression qu’un porte-avions ne survivra pas longtemps. Les utiliser pour des guerres coloniales ? Mais il semble que nous ayons tout abandonné, les ambitions coloniales, c’est terminé. Il faudrait d’urgence rééquiper l’armée, acheter des munitions — alors pourquoi diable avons-nous besoin d’un porte-avions ? Incompréhensible. 1 Citer Moi etrangere, moi pas bien francais parler.
Yann pyromane Posté(e) 22 décembre Auteur Signaler Posté(e) 22 décembre Parce que qui tient les mers tient la terre et çà depuis toujours ...demande à Napoléon 😁 1 1 Citer
Stvn Posté(e) 22 décembre Signaler Posté(e) 22 décembre La France possède beaucoup d'océan, le porte-avions permet de surveiller et protéger l'espace maritime, premier point, le deuxième c'est l'envoi en tout temps et tout lieu d'une force de frappe rapide. Donc c'est utile car si on va par là, tout peut être détruit même la planète... si tout le monde balance ses ogives nucléaires, on meurt tous sans exception. 1 Citer Signature 😁
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