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  1. Au passage, il serait bon de passer par la rubrique PRESENTATION des MEMBRES y glisser votre présentation. Le Grain vous y convie aussi. BTX
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  2. Il est possible d’avoir été militaire et de le redevenir après quelques années de vie civile, sans pour autant être réserviste. Ainsi, en 2018, devant gagner la « bataille des compétences » sur fond de montée en puissance du programme SCORPION, l’armée de Terre avait lancé une campagne de recrutement s’adressant à ses anciens sous-officiers ayant quitté l’uniforme à l’issue de leur contrat ou après avoir démissionné pour suivre une reconversion. « La conquête des qualifications est désormais un enjeu majeur des ressources humaines. Par cette campagne de recrutement, l’armée de Terre répond à cette problématique et participe à la réduction des déficits en sous-officiers supérieurs constatés dans certaines spécialités », avait-elle expliqué à l’époque. N’étant pas nouveau, le réengagement d’anciens sous-officiers et de militaires du rang après une « interruption de service » était cependant soumis à des conditions strictes. Ainsi, les ex-sous-officiers de l’armée de Terre souhaitant « rempiler » devaient ne pas dépasser une ancienneté totale de service, fixée à 27 ans, souscrire un contrat de 5 ans et déposer leur demande « au moins 6 mois après la date » de leur « départ de l’institution ». Évidemment, ceux qui avaient bénéficié d’un dispositif d’incitation au débat [pécule, promotion fonctionnelle, pension afférente au grade supérieur] ne pouvaient pas être éligibles. Cela étant, lors de la pandémie de covid-19, les règles encadrant le réengagement d’anciens militaires ont temporairement été élargies et assouplies par la loi n° 2020-734 du 17 juin 2020 « relative à diverses dispositions liées à la crise sanitaire ». Ainsi, celle-ci a autorisé « les anciens militaires de carrière radiés des cadres depuis moins de 3 ans, à revenir au service jusqu’à la limite d’âge », à leur niveau d’ancienneté [grade/échelon]. Ce qui n’était pas le cas jusqu’alors puisque seuls ceux ayant servi « en vertu d’un contrat » pouvaient se réengager après un retour à vie civile. Mais ce qui est « temporaire » a souvent tendance à devenir définitif. « Dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire, la loi n° 2020-734 du 17 juin 2020 a autorisé pour une durée limitée le réengagement temporaire d’anciens militaires pour permettre aux armées de continuer à mener ses missions dans un contexte tendu lié aux enjeux de la crise sanitaire. Les armées dressent un bilan très positif de cette faculté qui leur a été offerte, conduisant le ministère des armées à souhaiter pérenniser ce dispositif », avait-il été expliqué dans l’exposé des motifs de la Loi de programmation militaire [LPM] 2024-30. Ce texte a même encore assoupli les règles « d’exception » adoptées durant la crise sanitaire car, désormais, la loi permet aux anciens militaires de carrière ayant « cessé leurs fonctions depuis moins de 5 ans » d’être « réintégrés dans des conditions de reprise attractives » [sous statut de carrière, au grade et à l’ancienneté de grade détenus lors de leur radiation des cadres, etc.]. Quant aux militaires ayant servi sous contrat, ils pouvaient « rempiler » avec un grade susceptible d’être inférieur à celui qu’ils détenaient au moment de leur radiation des contrôles… Et cela, « sans reprise d’échelon ni d’ancienneté d’échelon ». « La régression indiciaire accompagnant le réengagement, particulièrement sensible en cas de recrutement dans un grade inférieur, est un frein à l’attractivité de cette voie de recrutement. Il est proposé de légiférer pour remédier à cette situation décourageante », était-il soutenu dans l’exposé des motifs de la LPM 2024-30. Ces nouvelles mesures ont-elles porté leurs fruits depuis qu’elles sont entrées en vigueur ? Au vu des objectifs de l’armée de Terre en termes de recrutement [15 à 16 000 jeunes par an], le nombre d’anciens militaires ayant décidé de se réengager après une parenthèse civile peut sembler dérisoire. Mais, tout de même, selon le dernier numéro de Terre Mag, ils ont été environ 330 à franchir le pas l’an passé. « La procédure de réengagement est simple et immédiate. Un militaire du rang réengagé conserve le bénéfice de ses états de service [ancienneté, grade, diplômes, décorations et récompenses]. Son déroulement de carrière est le même que celui des autres militaires du rang et il peut prétendre à un recrutement sous-officiers ou officiers dès les conditions réunies », rappelle Terre Mag. Cependant, ce recrutement d’anciens militaires est à la main du « chef de la formation d’emploi ». https://www.opex360.com/2025/01/18/chaque-annee-environ-330-anciens-militaires-se-reengagent-dans-larmee-de-terre/
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  3. Merci, Clairon. La difficulté pour les OSC de passer officier de carrière me repousse, et je n'ai vraiment pas envie d'aller jusqu'au master pour candidater au concours OST. De plus, être chef de blindé m'attire vraiment et rien ne m'empêche, si j'ai les épaules, de me présenter à l'EMIA.
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  4. bONJOUR A TOUTES ET A TOUS, Avec 29 admis et 7 complémentaires sur 40 admissibles ,ma classe ods 2025 a démontré une fois de plus qu'une préparation sérieuse et soutenue pendant 10 mois est un gage de succès...au cas ou certains réveurs ou naifs penseraient encore le contraire.... Il faut donc me rejoindre en MP même si vous êtes en séjour (2 admis/2 préparés...)pour cette dernière année de formateur et bénéficier d'une préparation "excellente" comme disent mes admis 2025...cdt
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  5. https://www.opex360.com/2025/02/13/le-ministere-des-armees-deploie-sa-propre-solution-dintelligence-artificielle-generative/ Au regard des importants volumes de données dont elles ont besoin pour fonctionner, les applications d’intelligence artificielle dite générative, comme ChatGPT, peuvent présenter une menace pour la sécurité nationale. Tel est le cas de celle développée par l’éditeur chinois DeepSeek, celle-ci ayant fait l’objet de restrictions dans certains pays, quand elle n’a pas été interdite, comme à Taïwan. Cela étant, si une application française d’intelligence artificielle générative existe grâce à Mistral AI, le ministère des Armées s’est lancé dans le développement de sa propre solution « sécurisée et souveraine ». Solution qui, appelée GenIAI, est désormais accessible sur son réseau interne « Intradef ». « Les équipes du Centre d’expertise données et IA [CEDIA] du Secrétariat général pour l’administration [SGA] ont développé depuis 2022 cette plateforme de services IA, portée par l’État-major des armées [EMA]. La Direction générale du numérique [DGNUM], la Direction interarmées des réseaux d’infrastructure et des systèmes d’information [DIRISI], l’Agence du numérique de défense [AND] et l’Agence ministérielle pour l’intelligence artificielle de défense [AMIAD] ont permis sa mise en service », a annoncé le ministère des Armées, via un communiqué diffusé le 12 février. Cette application d’intelligence artificielle générative a fait l’objet d’expérimentations pendant plusieurs mois. Devant être déployée progressivement, elle va permettre aux armées, directions et services d’optimiser certaines de leurs activités quotidiennes et d’alléger les « tâches répétitives » et / ou « chronophages ». Cette IA générative compte au moins cinq « premières » fonctionnalités, dont un « agent conversationnel » capable de répondre aux questions et d’offrir une aide à la rédaction de textes. Ce qui sera certainement appréciable quand on connaît l’appétence du ministère des Armées pour les sigles et autres acronymes… Elle propose également un « synthétiseur » pour « extraire » les idées et les informations importantes d’un texte ainsi qu’un traducteur. Enfin, elle peut retranscrire automatiquement des contenus audio et convertir « automatiquement des textuels d’une image en un fichier texte ». D’autres fonctionnalités sont en cours de développement. Elles devraient être disponibles dans le courant de cette année, promet le ministère des Armées. Pour le chef du C2LAB IA à l’EMA, Olivier Aguillon, cet outil vise « à réallouer le temps économisé au profit des étapes critiques du processus d’état-major qui nécessitent un plus fort investissement en réflexion ».
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  6. Bienvenue Et bientôt vous allez vous atteler à la préparation du concours d'admission à l'EMIA. Vite LE COACH. BTX
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  7. https://www.terre.defense.gouv.fr/drhat/actualites/formation-officiers-reservistes-evolution-plus-flexibilite-dexigence Direction : DRHAT / Publié le : 10 décembre 2024 Dans le cadre d’une réserve pleinement intégrée, la formation des officiers réservistes a été modernisée. Objectif : répondre aux besoins opérationnels tout en s’adaptant à la disponibilité des réservistes. Découvrez les nouvelles voies de formation et leurs spécificités. Formation des officiers réservistes - © armée de Terre/Défense Une formation au plus près des besoins La formation des officiers repose désormais davantage sur une logique d’adéquation entre les parcours, la fonction et le grade avec un système garantissant une meilleure reconnaissance mutuelle pour renforcer la fidélisation des réservistes. Les nouveautés : une réduction de la durée de formation, augmentation de l’enseignement à distance (EAD) pour les modules théoriques et des mises en situation pratiques systématiques. Ces ajustements visent à offrir des formations exigeantes mais adaptées à la réalité opérationnelle et aux disponibilités des réservistes. Les parcours possibles pour les officiers Trois grandes voies sont proposées selon les aspirations et qualifications des candidats : 1. La voie commandement (corps des officiers des armes – COA) : accessible par un recrutement direct (polytechnique ou grandes écoles), semi-direct, ou rang. Elle permet de devenir chef de section, puis commandant d’unité élémentaire. 2. La voie état-major (corps technique et administratif – CTA) : ouverte aux détenteurs d’un Master via un recrutement direct ou semi-direct, elle prépare aux postes de rédacteur en état-major. 3. La voie spécialiste : elle ne nécessite pas de formation initiale spécifique au sein de l’armée de Terre (1). Détails des parcours de formation 1. La formation des officiers de réserve voie commandement (cursus semi-direct) : Chef de section : • un module d’enseignement à distance (1 semaine). • deux modules pratiques (12 jours et 7 jours) dispensés à l’AMSCC (2). • une période de 7 jours en binôme avec un chef de section d’active. L’officier reçoit également une formation de moniteur en instruction sur le tir de combat (ISTC). Officier traitant en état-major : Après quelques années de lieutenant, l’officier peut obtenir une qualification interarmes de 1er niveau (QIA1-R) en suivant un module d’enseignement à distance validée par une mise en situation comme officier traitant en état-major lors d’un exercice. Commandant d’unité : Les officiers titulaires d’un brevet de chef de section et d’une QIA1-R, destinés à commander une unité élémentaire de réserve (UER- 150 réservistes) suivent une formation complémentaire de 12 jours en école d’arme, complétée par 7 jours en binômage avec un commandant d’unité d’active. 2. La formation des officiers de réserve – voie état-major Le rédacteur état-major se voit proposer deux modules de 12 jours pendant lesquels il découvre les fondamentaux militaires (AMSCC) et ceux de l’état-major (ESORSEM) (3). Le rédacteur expérimenté se voit proposer une qualification interarmées de 1er niveau état-major (QIA1-R EM) dispensée par l’ESORSEM en 14 jours. 3. Un parcours commun en seconde partie de carrière Après une expérience de commandement ou de rédaction, les officiers sont préparés à occuper des postes stratégiques, comme le commandement d’un état-major tactique ou la direction d’un corps de réserve. Ce parcours comprend : • Qualification interarmes de 2e niveau (QIA2-R) : accès via un examen après un module préparatoire de 14 jours (ESORSEM). Le stage principal dure 19 jours. • Enseignement militaire supérieur du second degré (EMS2) : destiné aux officiers sélectionnés pour des postes de commandement de haut niveau (bataillon de réserve) ou de très haute responsabilité, avec un programme adapté à leur profil. Parcours officier - © armée de Terre/Défense [1] Ouverte à toutes les personnes détentrices d’une qualification issue du milieu civil dans les spécialités dont l’emploi trouve une utilité au sein des unités. Le grade d’un réserviste spécialiste est lié à son niveau d’expertise et de responsabilité. [2] Académie Militaire de Saint-Cyr Coëtquidan [3] École supérieure des officiers de réserve spécialistes état-major
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  8. Bonjour, Je peux te proposer de prendre un RDV téléphonique avec le lieutenant François, chef de section en compagnie d’intervention, au sein des formations militaires de la sécurité civile. Lien de son profil pour prendre un RDV depuis myjobglasses C'est un nouveau dispositif qu'a mis en place sengager.fr qui permet aux candidats d'échanger avec des militaires en appel ou en visio
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  9. Beau travail ! Pour finasser, on pourrait y ajouter les implantations OTIAD... (DMDs, EMIAZD...)
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  10. Oui tout est volatil , je connais pas mal de jeunes même si je date , le but c'est pas de CDI . Je butine les jobs en attendant la terre promise ou on bosse en "distanciel" .Pas de job avant 10H du matin . Dans le monde des métiers manuels que je connais bien , les valeurs restent proches des attendus militaires . C'est notre époque ..
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  11. Heureusement que le ramassage est légal, tant qu'il est bien encadré et fait avec bon sens, sans risque inutile, demésuré et pour la vie d'autrui... Ça s'appelle s'aguérrir et devenir rustique. Ça aide à la cohésion du groupe, et à la discipline. On y est tous passés même s'il paraît que de nos jours les recrues font ouin ouin et qu'il ne faut plus trop pousser sinon ils partent... Et encore, à l'époque on avait la claque pédagogique en pleine face ou derrière la tête... maintenant apparemment ce n'est plus très accepté...
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  12. Quand on demande le rapport du chef de corps, on sollicite un entretien avec le chef de corps. En présence du CDU. La procédure est simple : format A3 - manuscrit à l'encre noire - Le sapeur de réserve SWEETIX 7e compagnie de réserve 65e régiment deu génie à Monsieur le colonel commandant le 65e régiment du génie Objet = demande de résiliation de contrat ESR. J'ai l'honneur de vous demander la résiliation de mon contrat ESR souscrit le .............. Depuis le ..........2024, j'éprouve le sentiment de...........Mon chef de section adopte une attitude à mon égard............J'en ai rendu compte le ............puis le ............à mon CDU. Qui a classé sans suite les éléments que je lui ai communiqués. J'observe que douze réservistes ont quitté prématurément la compagnie. Etc. Signé SWEETIX
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  13. C'était l'époque où en DA à Montpellier, l'encadrement vantait les qualités et l'intérêt professionnel pour le déroulement optimal du parcours professionnel de rejoindre le puissant CBM = ses RIMéca, ses GC, etc. sans oublier ses RICA. L'idiot qui tentait l'aventure en rejoignant la Légion étrangère en Corse était perdu d'avance. A fortiori, quand il atterrissait au 2e RE le régiment le plus mauvais de la LE à l'époque. M'enfin. BTX
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  14. C'est fou ces profils, on en croise partout maintenant. Un de mes jeunes à l'orientation dernièrement: "je réfléchis encore si je veux faire Saint-Maix, concours officier, basculer dans l'armée de l'air ou tout simplement reprendre les études dans le civil".
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